Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Les actionnaires du Racing

Chargement...

Flux RSS 7500 messages · 584.838 lectures · Premier message par superdou · Dernier message par guigues

  • L'ouverture du capital, ce n'est pas un effet d'annonce ou un voeu pieu récurrent depuis des années qui ne se réalise pas faute de motivés et de gueguerres internes ? =;
  • Exactement ce que disent les DN. "Ca se bouscule pas au portillon".
  • Il est marrant le Pignatelli, il est fâché contre les "mauvais conseillers" de Ginestet et exige d'avoir plus de poids dans les décisions que prend le club sur le plan sportif.
    C'est n'importe quoi, je doute qu'il ait une connaissance exacerbée du monde du football...
    Maintenant il est clair qu'il faut donner les clés du Racing, tant au niveau sportif qu'administratif, à des gens qui connaissent le foot et ses aléas.

    Concernant l'ouverture du capital, c'est vital aujourd'hui.
    Ca ne se bouscule pas au portillon, mais c'est aussi à notre président de trouver des garanties pour limiter les pertes, aller voir à droite à gauche (Allemagne ?).
    Un grand ménage s'impose, une nouvelle fois...
  • Faut faire le ménage c est vitale pour le club. Ca fait trop d année que le club est gérer comme une entreprise familial malgré le changement de direction environ tout les 4ans . Il faut construire sur des base seine. On doit gérer le racing autrement, arrêter de donner des postes clés a des amis , ouvrir le capital du racing a plus de monde et arrêter les conflits interne.
  • Les détails de l'actionnariat.

    En décembre 2005, Philippe Ginestet a déboursé 1,23 millions d'euros pour racheter au pool d'actionnaires alsaciens propriétaires 82% des parts d'EuroRacing, la holding qui possède 78% de la SASP (société anonyme à objet sportif) du club. Il n'en détient plus que 70%, après en avoir revendu 12% à Dominique Pignatelli. Les autres actionnaires sont Egon Gindorf (16,31%), D. Pignatelli donc (12%), Thierry Wendling (1,06) et Pierre Schmidt (0,31%). L'industriel Robert Lohr a acheté en juillet 2007 20% de la SASP pour 2 millions.

    L'Alsace
  • D'après ça Lohr aurait plus de part capital que Ginestet .
    Ils ont oublié de préciser le compte courant associé .

    J'ai trouvé sur L'Alsace :

    "Philippe Ginestet est naturellement celui qui a dépensé le plus d'argent : 5,523 millions depuis décembre 2005. Dominique Pignatelli a déboursé 1,065 million ; Egon Gindorf, 717 640 euros ; Thierry Wendling, 46 640 euros ; et Pierre Schmidt, 6200 euros (1). En mars 2008, l'industriel Robert Lohr a pour sa part alimenté le compte courant de 600 000 euros. Tous ces chiffres n'intègrent pas la valeur de leurs actions.
    Le club est donc redevable aux différents actionnaires de 7,958 millions (et des poussières). Sans parler des intérêts (4 % par an). Une sacrée somme pour un club dont le budget 2009-2010 est annoncé à... 15 millions. Rappelons que les actionnaires en question ont accepté de différer la récupération de leur dû jusqu'au retour de l'équipe en L 1."

    J'aime assez le gars actionnaire avec un versement de 6200 € , je peux donner 1000 € pour l'être .
  • Clair, allez... versons tous un millier d'€uros histoire de voir la bête de l'intérieur.


    L'Alsace compte 1,8M d'habitants, le Bas Rhin 1M (au cas ou les nabitants de la Norinie jugeraient que le Racing ne mérite pas un tel investissement :p).
    Si chaque habitant donne 10€ au Racing par année, on repart comme en quarante :) (ou p'têtre comme en 76/77/78 plutôt avec un final à la 79).
  • C'est ce que je me disait, faudrait monter un collectif entre gens qui aiment vraiment le Racing et rentrez dans le capital du club, comme sa ce fait en Espagne.
  • Des repreneurs, cela doit se trouver, comment font les autres clubs ?
  • Gindorf, le retour ?

    Citation:

    Actionnaires dans le doute



    En décembre 2005, le pôle d'actionnaires du Racing avait donné la priorité à Philippe Ginestet et rejeté la proposition du lunetier Alain Afflelou.

    Aujourd'hui certains regrettent et misent sur Léonard Specht élu dans l'urgence samedi dernier. Où va le Racing ? Les doutes sont apparus à différentes étapes du règne de Philippe Ginestet. Aujourd'hui, ils éclatent au grand jour. Tous unis derrière l'entrepreneur immobilier, séduit par son projet, son discours, les actionnaires étaient à 200% derrière l'un des plus jeunes présidents à la tête d'un club de Ligue 1. Mais le vent du renouveau s'est éteint progressivement. Rapidement même.

    «J'ai fait le mauvais choix»

    « Recruter des amis et même des membres de sa famille (N.D.L.R.: allusion à Pierre Ginestet, le frère du président à la tête de la cellule recrutement) me faisaient penser qu'il privilégiait ses contacts plutôt que la compétence », précise-t-il. Un an après le retour en L1, lorsque le Racing file à nouveau tout droit en L2 au printemps 2008, Egon Gindorf démissionne du Conseil d'Administration mais reste actionnaire. « C'est pour cela que j'ai quitté le conseil. J'étais un peu amer. Finalement, moi qui est donné la priorité à Philippe Ginestet, j'ai fait le mauvais choix ». Autre actionnaire Dominique Pignatelli. Autre mécontentement. Le président des SR Hoenheim ne comprend pas que le Racing se soit séparé de Jean- Pierre Papin. « Avec ses qualités et ses défauts, il a fait remonter le club en L1 », confie Dominique Pignatelli actionnaire à 12% de la holding EuroRacing (lire ci-dessous) « moi je suis pour la méritocratie et JPP méritait d'entraîner cette équipe en L1 », affirme Pignatelli. « Je n'ai pas été écouté. En revanche Philippe a suivi les conseils de mauvais génies » dixit Pignatelli. « Philippe a trop décidé lui-même. Il voulait tout faire. Un président n'est pas entraîneur. Les entraîneurs ? ils n'étaient jamais entendus », lâche Egon Gindorf. Aujourd'hui Egon Gindorf et Dominique Pignatelli ne souhaitent pas se désengager et compte sur Léonard Specht « un homme de consensus » selon DM. « Je lui donne tout mon appui pour rejoindre des eaux plus tranquilles et parler à nouveau de sport », soutient Gindorf à Strasbourg depuis la fin de semaine dernière qui a vu Léonard Specht la veille de son intronisation. En attendant on cherche surtout les euros nécessaires au rachat des parts de Philippe Ginestet. La situation économique complique les démarches. Qui peut, veut investir aujourd'hui dans ce club abonné aux problèmes ?

    D'après nos informations un pôle de repreneurs alsaciens réfléchit à la question.


    Capital mode d'emploi

    Depuis l'été 2007 la répartition du capital se compose de la holding EuroRacing qui détient 80% du Racing et de la société RLS79 créée par Robert Lohr et Léonard Specht lors de leur entrée dans le capital à cette période, investie à hauteur de 20%. Le désormais ex-futur président Philippe Ginestet détient 70% des parts de a holding. Le reste est partagé entre Egon Gindorf (17%), Dominique Pignatelli (12%) et Thierry Wendling (1%).


    LAFA
  • Un petit tour dans le classement des plus grandes fortunes pour voir qu'à la 46ème, on retrouve un alsacien, en la personne de Patrick Drahi, le propriétaire d'Altice, donc également de Numéricable, diffuseur de la L2 notamment. Avec ses 900 millions d'euros, il ne serait pas intéressé pour reprendre le Racing ? :'>
  • Et nous faire un tout petit chèque de 6 à 8m€ pour arracher Robert Lewandowski $-)

    => ok je retourne jouer à football manager b-(
  • Sa fortune en 2008 : 900 M€
    en 2007 : 1 M€

    Soit une inflation de 89900%.

    Au moment ou tout le monde plonge lui il explose? Je connais pas grand chose dans le monde des affaires, mais là quand même... :O
    Ceci dit, je doute qu'il soit alsacien (d'origine ni même d'adoption), donc en tant qu'homme d'affaires sont intérêt pour le Racing doit être proche de zéro.
    Dommage... :D.
  • Quand on est actionnaire du raçing avec un pret a 4% on gagne de l'argent !
  • dolores a écrit, le 2009-06-10 18:14:41 :
    Sa fortune en 2008 : 900 M€
    en 2007 : 1 M€

    Soit une inflation de 89900%.

    Au moment ou tout le monde plonge lui il explose? Je connais pas grand chose dans le monde des affaires, mais là quand même... :O
    Ceci dit, je doute qu'il soit alsacien (d'origine ni même d'adoption), donc en tant qu'homme d'affaires sont intérêt pour le Racing doit être proche de zéro.
    Dommage... :D.


    Il me semble qu'il avait vendu son entreprise entre ces 2 dates.
  • deldongo a écrit, le 2009-06-10 07:21:52 :
    D'après ça Lohr aurait plus de part capital que Ginestet .
    Ils ont oublié de préciser le compte courant associé .

    J'ai trouvé sur L'Alsace :

    "Philippe Ginestet est naturellement celui qui a dépensé le plus d'argent : 5,523 millions depuis décembre 2005. Dominique Pignatelli a déboursé 1,065 million ; Egon Gindorf, 717 640 euros ; Thierry Wendling, 46 640 euros ; et Pierre Schmidt, 6200 euros (1). En mars 2008, l'industriel Robert Lohr a pour sa part alimenté le compte courant de 600 000 euros. Tous ces chiffres n'intègrent pas la valeur de leurs actions.
    Le club est donc redevable aux différents actionnaires de 7,958 millions (et des poussières). Sans parler des intérêts (4 % par an). Une sacrée somme pour un club dont le budget 2009-2010 est annoncé à... 15 millions. Rappelons que les actionnaires en question ont accepté de différer la récupération de leur dû jusqu'au retour de l'équipe en L 1."

    J'aime assez le gars actionnaire avec un versement de 6200 € , je peux donner 1000 € pour l'être .


    Ne s'agit-il pas des dividendes auxquels les actionnaires ont renoncé et qui ont été réinjectés dans le compte courant ?
  • Dominique Pignatelli je le trouve bien remuant lui ses derniers temps. Entre ses déclarations fracassantes sur la collégialité et ses envies de Gress, il a surtout l'air de vouloir monter sur la grande scène du Racing.

    Que sait on de lui à part qu'il semble être moustachu et élu UMP à Hoenheim ?
  • Où se passe les réunions du Conseil d'Administration ?
    A la Meinau ?
  • guigues a écrit, le 2009-06-15 01:01:06 :
    Dominique Pignatelli je le trouve bien remuant lui ses derniers temps. Entre ses déclarations fracassantes sur la collégialité et ses envies de Gress, il a surtout l'air de vouloir monter sur la grande scène du Racing.

    Que sait on de lui à part qu'il semble être moustachu et élu UMP à Hoenheim ?



    Un bon profil à la Adler ou à la Schmidt, je veux pas investir, mais je veux décider.

    Le mot "collégialité" me sort par les trous de nez depuis l'ère Keller.
  • Certains , qui possèdent un peu d'argent , bin ils se prennent pour des dieux .
    J'ai du blé, je suis le meilleur . Alors ils "investissent" dans un club de foot et la tête enfle encore plus .

    J'espère qu'ils ont des parts et en fonction un nombre de voix pour les décisions à prendre .Car le gars avec 6 000 euros pourrait foutre le bronx .
  • On voit aujourd'hui le retour des anciens avec qui Gress a aimé travailler.
    Que devient J. Kientz, qui a fait revenir Gilbert au Racing il y a 18 ans déjà ?
    Il a du quitter la direction du Racing pour des raisons extérieures et Gress l'a toujours regretter. Est-il possible de le voir revenir dans le club ?
  • Un investissement à perte

    Pour assainir une situation financière délicate, marquée par des fonds propres négatifs de près de 1,5 million d'euros, la valeur nominale des actions de la SASP Racing (société anonyme sportive professionnelle) a été divisée vendredi par... 79. Les actionnaires du club ne sont pas à la fête.

    L'information est passée inaperçue, mais est pourtant loin d'être anodine. Vendredi, la SASP Racing a, en assemblée générale extraordinaire, procédé à ce qu'on appelle en jargon économique à un « coup d'accordéon ».
    Pour faire simple, le capital social de cette SASP, détenu à 78 % par EuroRacing (1), 20 % par RLS 79 (la société créée par l'industriel Robert Lohr avec le nouveau président Léonard Specht) et 2 % par une foule d'actionnaires ultra minoritaires, a fait l'objet d'une augmentation-réduction. Ce « coup d'accordéon » a eu pour effet d'effacer les pertes cumulées, mais aussi de faire valser le montant des parts de la SASP.
    A l'ouverture de cette AG extraordinaire, la valeur nominale d'une action était de 24,5 euros. Quelques minutes plus tard, elle était tombée à 0,31 euro. Le capital a d'abord été porté de 6,133 millions à 7,786 millions, grâce à la création de 67000 actions nouvelles – de 24,5 euros - au profit d'EuroRacing et RLS 79. Les autres actionnaires n'ont pas souscrit à cette augmentation. Dans la foulée, une réduction de capital à 100 000 euros, par voie d'imputation des pertes, a à son tour été validée.
    A 50 000 euros près (2), cette double opération a donc gommé un déficit cumulé de 7,686 millions, dont une petite moitié provenait du lourd héritage de l'ère Mc Cormack. Au 30 juin 2003, quelques semaines après le départ de la multinationale américaine, les fonds propres du RCS étaient tombés sous la moitié du capital social. Depuis, ils n'avaient cessé de décliner, jusqu'à atteindre moins 1,5 million (voir par ailleurs).

    De 2 millions à 20 000 euros

    Dans l'affaire, les actionnaires d'EuroRacing et RLS 79 ont été doublement lésés. D'abord parce qu'une partie de leur compte courant d'actionnaires (environ 8 millions au total) a été transformée - pour 1,652 million - en actions à 24,5 euros, avant d'être immédiatement réduite en actions à 0,31 euro.
    En quelques instants, la valeur des parts d'EuroRacing dans la SASP est ainsi passée de 4,789 millions à 78 486 euros. Mais la perte nette n'est en réalité que virtuelle pour la holding : en 2003, cette dernière avait racheté le club à Mc Cormack pour un euro symbolique.
    Pour RLS 79 (Robert Lohr et Léonard Specht donc), le coup est beaucoup plus rude. En juillet 2007, l'industriel de Hangenbieten a déboursé 2 millions pour acquérir 20 % de la SASP. Des actions qui, au nominal, ne valaient pourtant « que » 1,226 million. A l'époque, Philippe Ginestet avait, grâce à cette cession, évité de remettre lui-même de l'argent.
    Aujourd'hui, les 20 % que détient RLS 79 ne représentent plus que 20 000 euros. En à peine deux ans, l'investissement du capitaine d'industrie a été divisé par 100. Sans parler des 600 000 euros qu'il a injectés au printemps 2008 en compte courant, dont une partie vient d'être convertie dans un capital sans grande valeur et dont il n'est pas près de revoir le reliquat.
    De fait, même si, aux dires des dirigeants, la situation financière est redevenue saine, avec – disent-ils – 3 millions de trésorerie, la marge de manoeuvre du club est infiniment réduite. Au point que l'on s'oriente vers une campagne de recrutement 2009 basée sur l'engagement de joueurs libres ou prêtés, sans achats.
    La vente de Renaud Cohade à Valenciennes (qui rapportera 350 000 euros) et divers bonus liés aux transferts de Morgan Schneiderlin à Southampton l'an passé et du Bulgare Dimitar Rangelov (l'ancien du RCS passé il y a quelques jours de Cottbus au Borussia Dortmund) vont permettre de boucher le trou 2008-2009, légèrement inférieur à 500 000 euros. Le club pourrait même finir avec un léger excédent de 200 000 euros. Enfin une bonne nouvelle pour des actionnaires qui n'auront pas à alimenter de nouveau le puits sans fond qu'est le Racing depuis une bonne décennie.

    (1) La holding dont les actionnaires sont Philippe Ginestet (70 %), Egon Gindorf (16,31), Dominique Pignatelli (12), Thierry Wendling (1,06) et Pierre Schmidt (0,31).
    (2) La loi fait obligation à toute société de posséder en capitaux propres au moins 50 % de son capital social (soit une somme comprise entre 50 000 et 100 000 euros).

    L'Alsace
  • Je bique jamais que dalle aux budgets, mais là je suis encore plus perdu.
    Le capital a été augmenté de 6 millions à 7,7, et avec 100 000 de réduction la valeur d'une partie des parts à hauteur de 4,8 millions ne vaut plus que 78 000€ ? #-o
  • Ce que j'ai surtout cru comprendre, c'est que Lohr et Ginestet ont officiellement abandonné tout l'argent injecté, ce qui devrait cloturer les débats sans fondement sur Ginestet le manipulateur diabolique qui va récupérer sa thune et se barrer.

    Tout le contraire de la bande à Keller et Gindorf en 2005.
  • Si j'ai bien compris, cela s'explique par la division de la valeur de l'action (par 79 marrant :) ).
Il faut être inscrit et connecté pour ajouter un commentaire. Déjà inscrit ? Connectez-vous ! Sinon, inscrivez-vous.
Connectés

Voir toute la liste


Stammtisch

Mode fenêtre Archives