Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Les actionnaires du Racing

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Flux RSS 7500 messages · 584.745 lectures · Premier message par superdou · Dernier message par guigues

  • Il y est même DRH... :-B :-B :-B
  • De toute façon comme çà se présente il est possible que ce dernier ce retire du club ... Maintenant à suivre ce passionnant épisode des Feux de L'amour ... :))
  • D'un autre côté, si les types louches ne peuvent plus investir dans le football, que va devenir Chelsea :-/
  • mosto a écrit :
    D'un autre côté, si les types louches ne peuvent plus investir dans le football, que va devenir Chelsea :-/


    C'est pas faux non plus mais Abramovitch n'a pas été inculpé lui ... ;)

    Donc il n'a pas besoin de son fils pour diriger la société RCS :p
  • thelak a écrit :

    C'est pas faux non plus mais Abramovitch n'a pas été inculpé lui ... ;)

    Donc il n'a pas besoin de son fils pour diriger la société RCS :p


    C'est même pas qu'il ait été inculpé (on dit "mis en examen" maintenant, détail intégriste qui ne fera bander que les juristes... =P~ ), c'est qu'il a carrément était condamné, le père Graeff... Et sa condamnation lui interdit notamment de gérer une société commerciale.
  • boogie a écrit :
    thelak a écrit :

    C'est pas faux non plus mais Abramovitch n'a pas été inculpé lui ... ;)

    Donc il n'a pas besoin de son fils pour diriger la société RCS :p


    C'est même pas qu'il ait été inculpé (on dit "mis en examen" maintenant, détail intégriste qui ne fera bander que les juristes... =P~ ), c'est qu'il a carrément était condamné, le père Graeff... Et sa condamnation lui interdit notamment de gérer une société commerciale.


    Moi dans ton milieu (je regroupe les Avocats, les juges et tout lke toutim ;)), ils sont assez con pour ne pas remarquer que le RCS est aussi une société commerciale, mais en plus qu'al passe par son fils pour pouvoir tirer les ficelles !!!

    Faudrait mettre le fils en examen aussi dans ce cas, parce qu'il permet à son père de se mettre hors la loi ;)
  • Pas si évident... le tout étant de démontrer qu'il est effectivement gestionnaire de fait en lieu et place de son fils. La preuve n'est malheureusement pas évidente à rapporter... :(
  • boogie a écrit :
    Pas si évident... le tout étant de démontrer qu'il est effectivement gestionnaire de fait en lieu et place de son fils. La preuve n'est malheureusement pas évidente à rapporter... :(


    Mais quand même çà semble flagrant ... Je conçois que ce n'est pas facile à prouver mais çà mérite attention.
  • Et si le fait que Gindorf révèle le problème à l'Alsace n'était pas une coïncidence mais un appel au secours.... :-'
  • boogie a écrit :
    Et si le fait que Gindorf révèle le problème à l'Alsace n'était pas une coïncidence mais un appel au secours.... :-'


    T'en fais pas je le voyais aussi dans ce sens. B-)
  • boogie a écrit :
    Et si le fait que Gindorf révèle le problème à l'Alsace n'était pas une coïncidence mais un appel au secours.... :-'


    a l'attention de qui ??? :-/
  • Un refus « capital »

    C'était l'autre mercredi. Six des sept actionnaires de « Sportinvest », propriétaire du Racing, étaient réunis à la Meinau pour étudier une possible augmentation de capital. L'ancien président du RCS Jacky Kientz, rival malheureux d'Egon Gindorf et ses comparses lors du rachat du club en mai 2003, avait fait savoir au président strasbourgeois qu'un conglomérat de chefs d'entreprise et personnages du microcosme alsacien, dont il était l'instigateur, souhaitaient acquérir 25 % des parts pour 1,2 million d'euros. Désireux de doter le RCS de moyens financiers supplémentaires, Gindorf, qui possède 45 % du capital actuel, était favorable à l'opération. Sébastien Graeff, porte-parole de son père et détenteur de 31 % des parts, avait lui aussi donné son accord par écrit. En clair, deux actionnaires pesant 76 % du capital étaient prêts à donner leur feu vert à Jacky Kientz qui, contacté hier par téléphone, n'a pas souhaité faire de commentaires. Or, les statuts de « Sportinvest » stipulent que toute décision doit être entérinée à la majorité des trois-quarts (cf le dernier « Alsace Lundi »). C'est dire si rien ne semblait plus s'opposer à cette transaction. Mais les 5 autres actionnaires (Marc Keller, Patrick Adler, Pierre Schmidt, Philippe Ginestet et Thierry Wendling, minoritaires avec 24 % du capital) ont voté contre et ainsi privé le club d'une manne certes respectable, mais guère susceptible de faire franchir au Racing le cap attendu.

    « Les discussions sont en stand-by »
    Fort de l'accord de S. Graeff, Egon Gindorf aurait pu faire adopter cette proposition en force. « Je n'ai pas souhaité me mettre en porte-à-faux avec ceux qui m'ont suivi au printemps 2003. J'ai trop de respect pour eux. Mais les discussions avec Jacky Kientz, pour qui j'ai de l'estime, qui aime ce club et que je sais travailleur, ne sont pas closes, simplement en stand-by. J'ai bon espoir que cette augmentation de capital intervienne avant Noël, avec lui ou avec un ou plusieurs des actionnaires actuels qui souhaiteraient investir davantage. » En réalité, l'arrivée de J. Kientz aurait sensiblement bouleversé la donne. L'ex-président du début des années 1990 aurait disposé de 25 % des parts, Sébastien et Bernard Graeff de 24. Gindorf et les autres « historiques » n'auraient conservé qu'une infime et instable majorité. Inacceptable pour Marc Keller et ses appuis dont le candidat actionnaire n'a jamais caché qu'il n'entrait pas dans ses plans. En mai 2003, J. Kientz avait fait de Gilbert Gress b-( son champion. Lui ouvrir la porte serait revenu, aux yeux de Keller (silencieux aussi sur ce délicat sujet) et ses amis, « à faire entrer le loup dans la bergerie » et aurait fait peser une menace directe sur le directeur général. D'autant que selon certaines sources, Kientz amènerait dans ses bagages Jean-Gilles Lombardo, l'ex-patron du marketing du Racing licencié en janvier 2003 (sous l'ère Keller), et Paul Giegel, ancien gérant de « Sport Alsace Foot », pas vraiment les bienvenus au club. Rien ne dit cependant qu'Egon Gindorf, contrarié et fatigué par la situation sportive autant que par une santé fragile :-/ , ne sera pas tenté, si le club s'enfonce encore en L 1, de rouvrir et conclure les négociations avec Jacky Kientz. Auquel cas le club pourrait bien être le théâtre d'une énième révolution. :-&

    source : l'alsace

    ca ne va pas sur le terrain
    ca ne va pas hors du terrain :((
  • Si même Keller et Gindorf ne se mettent pas d'accord avant ce genre de réunions, c'est plus qu'inquiétant :(
  • c'est exactement ce a quoi je pensais en lisant l'article.
    moi qui pensait que les 2 s'entendaient plutot bien #-o

    sinon qqn sait a quelle sante fragile gindorf fait reference ? :-/
  • samh a écrit :
    boogie a écrit :
    Et si le fait que Gindorf révèle le problème à l'Alsace n'était pas une coïncidence mais un appel au secours.... :-'


    a l'attention de qui ??? :-/


    Ben une manière de mettre le doigt là où ça fait mal, de montrer aux autorités compétentes une sorte d'abbération juridique ? :)
  • Bon, en clair, si la situation sportive ne s'améliore pas rapidement, après avoir viré antoine Kombouaré, Gindorf aurait donc toutes les cartes en main pour virer aussi Keller en acceptant tout simplement l'entrée de Kientz dans le capital... b-(

    Avec Kientz, c'est le retour des "vieux", complètement dépassés, des Lombardo, Gress et consorts :-&
  • Lombardo... :-& X-( b-(

    Je me demande si ce n'est pas lui finalement qui a fait le plus de mal au Racing à l'époque Proisy...
  • PUrée les bon vieux démons du Racing qui ressurgissent. Rien ne se passe jamais comme ailleurs. D'habitude cf'est quand le sportif marche bien que ça coince en coulisse. Là rien ne marche, c'est pire. :-&
  • Lombardo, je rêve... X-( b-(
  • Gindorf doit avoir un Lombardo au dos :p

    Je ne veux pas jeter la pierre à quiconque, mais d'après certaines personnes de mon entourage, Keller ne serait qu'un escroc. Je me garde de toutes interprétations. A vous d'en juger.

    Je pense pour ma part qu'il a déjà fait beaucoup pour le club, mais il a un côté mystérieux qui me laisse preplexe ...
  • Tout cela est quand même bien inquiétant. Nous non plus on ne peut avoir droit à la stabilité? La dernière phrase de l'article m'a bien laisser perplexe: " Auquel cas le club pourrait bien être le théâtre d'une énième révolution." :-& Mais perso je pense tout de même que les choses s'arrangerons entre Gindorf et Keller à ce sujet. [-o Mais au fait, c'était pas Gindorf qui avait poussé les actionaires Alsaciens d evendre leurs parts en 1997 à IMG pour que proisy ait la majorité?
  • chris68 a écrit :
    Tout cela est quand même bien inquiétant. Nous non plus on ne peut avoir droit à la stabilité? La dernière phrase de l'article m'a bien laisser perplexe: " Auquel cas le club pourrait bien être le théâtre d'une énième révolution." :-& Mais perso je pense tout de même que les choses s'arrangerons entre Gindorf et Keller à ce sujet. [-o Mais au fait, c'était pas Gindorf qui avait poussé les actionaires Alsaciens d evendre leurs parts en 1997 à IMG pour que proisy ait la majorité?


    D'après le peu de connaissances que j'ai à ce sujet, aa ville possèdait 51% du club et ensuite venait Weller avec environ 30% et le reste appartenait aux investisseurs tiers. C'est Traumann cette ***** de ***** (:p) qui a décidé de vendre les parts à un groupe tel Mc Cormack ...
  • Trouvé sur le RCStrasbourg.com:

    "(..)Catherine Trauttmann va devoir convaincre les actionnaires privés de vendre une partie de leurs parts (45%) à l'omnisports, lequel ne détient à ce moment là que 6 %.
    Et c'est là que les affaires vont se corser, puisque les " privés " (Entre autres : Gebo Industries avec 3 %, Eurodirect Marketing avec 21,12 %, Me Nicolas Wiltberger avec 2 %, Emile Stahl avec 8,6 %, René Maechler avec 4 % et Roland Weller avec 5.8 %) vont se montrer réticent à vendre leurs parts. Roland Weller déclare notamment "Mc Cormack a besoin de 51 %. Quand il les aura, le Racing ne sera plus jamais alsacien. Il ne restera qu'un Mc Racing. Je l'ai toujours dit : le Racing doit rester alsacien. Je continuerai à me battre pour ça." (Alsace du 24/02/97)
    C'est au compte goutte que la situation va se décanter : le groupe Gebo abdique le 05/03/97 et c'est lors de la réunion du conseil de surveillance du club le Mardi 11/03/97 qu'Eurodirect Marketing, dernier résistant va accepter de céder ses parts à leur valeur nominale pour 1,056 MF, un peu contraint et forcé, poussé, aussi, par Hans Egon Gindorf, à la condition expresse qu'elles soient rachetées par la Ville ou le Racing omnisports Pierre Rapin démissionne ainsi du Directoire et Patrick Proisy peut enfin y entrer.
  • boogie a écrit :
    samh a écrit :
    boogie a écrit :
    Et si le fait que Gindorf révèle le problème à l'Alsace n'était pas une coïncidence mais un appel au secours.... :-'


    a l'attention de qui ??? :-/


    Ben une manière de mettre le doigt là où ça fait mal, de montrer aux autorités compétentes une sorte d'abbération juridique ? :)


    autant dire une bouteille a la mer... :(
  • Kientz voyage léger

    L'ancien président du Racing (au début des années 1990), Jacky Kientz, est sorti hier de sa réserve. Lui qui s'était abstenu de commenter nos informations selon lesquelles il avait proposé d'entrer dans le capital du RCS à hauteur de 25 % (et de 1,2 million d'euros) et essuyé un refus des actionnaires actuels l'autre mercredi, a tenu à tordre le cou à une rumeur dont « L'Alsace » s'était fait l'écho dans son édition d'hier. Oui, il a bien, en tant qu'initiateur d'un projet réunissant des investisseurs régionaux, fait cette offre au président Egon Gindorf. Non, il n'a aucune intention d'amener dans ses bagages l'ex-directeur du marketing du RCS Jean-Gilles Lombardo (licencié début 2003 par le précédent président Patrick Proisy) et l'ex-gérant de « Sport Alsace Foot » Paul Giegel. « C'est archi faux. J'ai moi aussi eu vent de cette rumeur, mais je la démens formellement. Jean-Gilles Lombardo (Ndlr : avec qui il travaille cependant) n'est demandeur de rien et n'a aucune intention de changer sa ligne de vie professionnelle. Quant à Paul Giegel, je n'ai plus aucun contact avec lui depuis longtemps. Ces bagages-là vont prendre une autre direction que la mienne. » Cette mise au point change-t-elle fondamentalement la donne ? Peut-être lorsque l'on sait que la cote de popularité de Giegel et Lombardo au RCS frôle le néant. Probablement pas si l'on songe que le fond de l'affaire est ailleurs. Alors que Egon Gindorf (détenteur de 45 % des parts) et Sébastien Graeff (qui, au nom de son père Bernard, en possède 31 %) avaient donné leur feu vert à l'arrivée de J. Kientz et ses associés, le président a fini par reculer — provisoirement ? — devant la levée de bouclier des 5 autres actionnaires (minoritaires à 24 %) : Marc Keller, Patrick Adler, Philippe Ginestet, Pierre Schmidt et Thierry Wendling. Il avait pourtant le pouvoir de faire adopter cette résolution à la majorité des trois-quarts, comme l'exigent les statuts de la société créée par les sept en mai 2003 pour racheter le club à IMG/Mc Cormack. "Sportinvest" avait alors injecté 3,3 millions d'euros.

    Vers un nouveau rachat ?
    Qu'on ne s'y trompe pas : l'intronisation de Jacky Kientz, à qui Gindorf n'a pas définitivement fermé la porte (« L'Alsace » d'hier), constituerait une première étape décisive dans le rachat du Racing à terme. Un terme que seul le président, encore maître du jeu, semble à même de fixer. A moins, comme c'est probable, que le retour dans le jeu du 1e r président post-Hechter, s'il devenait effectif avant Noël comme l'envisage l'industriel allemand, ne pousse la bande des cinq à quitter le navire et à accélérer le processus. Jacky Kientz et ses partenaires auraient-ils alors la surface financière pour acquérir plus de 25 % des actions ? « La réponse est oui », tranche celui dont Patrick Proisy avait repoussé la candidature de repreneur en mai 2003. « Mais ce n'est pas du tout l'objectif du jour. » À l'époque, Proisy avait avoué avoir reçu une proposition financière plus intéressante que celle de Keller, Adler, Gindorf et consorts. Mais il avait préféré confier les clefs du Racing à son directeur général, son vice-président, son successeur et leurs colistiers. Kientz et ses amis étaient les promoteurs de cette offre de 4,5 millions d'euros. Dix-huit mois plus tard, alors que le club rame sportivement et que son président s'interroge, leur offre, sous une autre forme certes, tient toujours. « Pour l'instant, oui, mais elle ne durera pas éternellement. »

    source : l'alsace
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