Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

José Luis Chilavert

Chargement...

Flux RSS 211 messages · 27.705 lectures · Premier message par conan · Dernier message par arthas

  • Pas de topic adéquat.


    Chilavert tacle la France
    L'ancien gardien de but du Paraguay José Luis Chilavert, qui a joué deux saisons à Strasbourg, a estimé lundi que les Français étaient "assez racistes", en réaction à la suspension de 8 matches de l'Uruguayen de Liverpool Luis Suarez pour propos racistes contre le Français Patrice Evra.

    L'ex portier paraguayen a indiqué qu'il avait parlé du cas Suarez avec le président de l'Uruguay, José Mujica, lundi lors d'un entretien rapporté sur le site de la présidence uruguayenne. "Je lui en ai parlé, moi qui ai joué en France et en France ils sont assez racistes également et ils nous sous-estiment, nous les Sud-Américains", a indiqué Chilavert.

    Joueur fantasque et massif, l'ex-gardien du Paraguay qui a atteint deux fois les 8e de finale de la Coupe du monde (1998 et 2002), a notamment évolué à Strasbourg (1re puis 2e div. française, de novembre 2000 à septembre 2002), remportant au passage la Coupe de France 2001. Mais la fin de son séjour en France a été ternie par de récurrents problèmes de surpoids qui ont conduit le club et le joueur jusque dans les prétoires où l'ex-international a fini par être blanchi dans une affaire de faux liée à son contrat avec le RC Strasbourg.

    De son côté, Suarez a écopé de huit matches de suspension pour les insultes qu'il a lancées à Evra lors du match Liverpool-Manchester United (1-1) le 15 octobre pour la 8e journée du championnat d'Angleterre. Sa défense est visiblement un sujet qui tient à coeur au président uruguayen qui avait déjà publiquement exprimé sa solidarité avec l'attaquant de Liverpool le 16 février, après que la polémique sur ses propos a rebondi lorsque le joueur avait délibérément refusé la main tendue par Evra avant le match Manchester United-Liverpool.

    eurosport
  • Pourtant cela s'est passé en Angleterre .
  • Chilavert accorde une interview à So Foot avec au passage, quelques petits tacles (mais pas que) bien sentis à destination du Racing.
    Ici
  • Chilavert : « Barthez et Lama m'ont demandé mon maillot »
    José Luis Chilavert n'oubliera jamais la 116e minute de France-Paraguay et la « lumière » venue de Laurent Blanc. Assis dans un vieux café de Buenos Aires, le fantasque portier de la sélection guarani passé par le Racing Club de Strasbourg se rappelle au bon souvenir de France 98.

    http://www.sofoot.com/IMG/img-jose-luis-chilavert-paraguay-135885...

    Pour beaucoup de Français, le nom de José Luis Chilavert évoque 116 minutes d'extrême tension, un chaud après-midi d'été 98...

    Ce match a marqué un avant et un après dans l'histoire du football paraguayen. Notre sélection était concentrée à Clapiers, près de Montpellier. Les gens ne nous connaissaient pas, nous demandaient d'où on venait. Mais, petit à petit, ils se sont pris d'affection pour nous. Les gamins ont commencé à se peindre les couleurs du Paraguay sur le visage. À tel point que lorsque le huitième de finale est arrivé, les habitants nous supportaient... J'ai appris que par la suite, le maire a fait renommer une rue de Clapiers « rue du Paraguay ». C'est un énorme honneur. Avant 1998, les gens n'avaient jamais entendu parler du Paraguay... Notre fierté, c'est d'avoir démontré à notre pays et au reste du monde que lorsqu'une équipe est unie, tout devient possible. Il ne faut pas oublier que nous sommes tombés face à un « equipazo » (Ndlr : une grande équipe) comme on dit ici, avec les Zidane, Henry, Blanc... Ce match m'a appris qu'il ne faut pas dramatiser dans la vie. Quand Blanc a mis le but en or, on s'est retrouvés éliminés d'un coup. Je suis alors allé voir mes partenaires, étendus par terre, pour les relever un à un. Nous avons fait un grand match, nous nous sommes battus jusqu'au bout, nous n'avions pas de quoi avoir honte. Je leur ai dit que j'étais fier d'eux, car nous avions tout donné. La chance était du côté de la France. Ils me regardaient en se disant : « Il est fou, on est éliminés ». Moi, ce que je retiens, c'est qu'en 1998, puis en 2002, on s'est fait sortir par le vainqueur, puis par le finaliste (Ndlr : l'Allemagne, défaite 1-0). Depuis ce match contre la France, le Paraguay joue d'égal à égal avec l'Argentine et le Brésil. Nous avons changé de mentalité.


    Sur le coup, vous ne sembliez même pas abattu par ce but à quatre minutes de la fin...

    Nous, les gardiens, nous avons quelques millièmes de seconde pour prendre une décision. C'est une de nos vertus. Lorsque le ballon arrive dans la surface, tu dois anticiper où il va retomber. On a une vision différente de celle des joueurs de champ. Je ne voulais pas qu'on donne cette image de nous, à terre. C'est pourquoi je suis immédiatement allé vers mes coéquipiers pour les relever. Contre l'Allemagne, quatre ans plus tard, on prend un but à deux minutes du coup de sifflet final...


    Après le but de Blanc, Barthez est venu vous parler. Vous vous souvenez de ce qu'il vous a dit ?

    Fabien est venu me prendre dans les bras et me féliciter pour mon match. Il m'a demandé mon maillot. Bernard Lama est venu ensuite me le demander également. Ils sont venus dans notre vestiaire pour que je leur en donne un chacun. Ce sont deux immenses gardiens. Fabien est gaucher tout comme moi et il avait aussi du ballon. C'est l'un des meilleurs gardiens au monde. Bernard était un guépard, un lynx, très agile.

    À part vous, la sélection paraguayenne n'avait pas vraiment de star...

    Entre nous, nous parlions guarani (Ndlr : langue amérindienne de la région du Paraguay), pour que nos adversaires ne nous comprennent pas... Pour mettre les attaquants adverses hors-jeu, je criais « ñase ! » (Ndlr : « sortez ! »). C'était comme si nous parlions en japonais... Nous avions un groupe très uni, avec des valeurs communes. Nous étions très fiers de perpétuer cette langue attachée à notre culture. Dans le monde moderne, beaucoup de gens oublient leurs racines. C'est mal. Au Paraguay, la culture guarani est encore très forte, surtout dans les villages de province. Les Paraguayens aiment t'inviter à manger chez eux, ce sont des gens généreux. Le footballeur d'élite, qui s'habille en costard et mange du caviar est très loin de tout ça. Moi, je n'échangerai pour rien au monde un bon repas avec des gens humbles.

    Ce caractère « brut de décoffrage », c'est votre plus grande force ?

    Je suis quelqu'un de naturel. Ici par exemple (Ndlr : une brasserie du quartier de Parque Patricios, à Buenos Aires), on trouve le meilleur café de la ville. Les propriétaires sont devenus des amis au fil du temps. Tout le monde se connaît dans le quartier, c'est comme si on était à Paris dans un petit quartier typique. C'est important de ne pas perdre ce lien avec les gens qui vous entourent. Tu peux avoir beaucoup ou peu, mais quoi qu'il arrive quand Dieu te met sur sa liste, tu ne peux pas y échapper ! On finira tous dans une boîte.

    Avez-vous la sensation d'être un ambassadeur de votre pays ? On vous retrouve souvent dans des rubriques qui n'ont pas grand-chose à voir avec le football.

    J'ai conscience d'avoir une image forte au niveau mondial. Il y a peu, nous avons eu un changement de président. Tout le monde a commencé à dire qu'il y avait eu un coup d'État, notamment Cristina Kirchner, la présidente argentine, celle du Brésil, celui d'Uruguay, du Venezuela, d'Équateur... Moi ce que je constate, c'est que ce sont tous des pays socialistes. La démocratie n'existe pas en Argentine. Si vous dîtes du mal du gouvernement, il vous tombe dessus immédiatement... Pour moi, au Paraguay, il n'y a pas eu de coup d'État. L'ancien président nous a fait beaucoup de mal. Il a menti à l'Eglise, il a eu des enfants nés de relations extraconjugales, ce n'est pas un exemple. Ses collaborateurs ont escroqué le pays. Ce sont des socialistes qui ont bien profité du système capitaliste... On peut dire que je suis fasciste, mais je suis capitaliste et j'aime vivre bien. J'ai le droit d'utiliser comme bon me semble l'argent que j'ai gagné. Des observateurs européens sont venus pendant les derniers évènements. Et ils ont bien vu que le gouvernement de Federico Franco avait respecté la constitution. Chaque fois que les médias me demandent mon avis, j'utilise mon image pour défendre mon pays, souligner ses qualités.

    Parlons de votre passage à Strasbourg (2000-2002), quel souvenir en gardez-vous ?

    Ce que je peux vous dire, c'est que Patrick Proisy (président de Strasbourg de 1997 à 2003, Ndlr) est quelqu'un de malhonnête. Il me doit toujours de l'argent du contrat que nous avions signé. J'ai gagné mon procès face à lui. C'est un voyou. Une fois, il a déclaré dans la presse française que « Chilavert doit comprendre qu'il est en France et non pas dans une république bananière ». C'est de la discrimination. Je me sens fier de venir de la « république bananière ». Là-bas, mes parents m'ont appris qu'il ne faut pas voler. Il a fait une tonne de magouilles pour ne pas payer d'impôts. La justice française a démontré que je n'avais rien à voir là-dedans. Il disait que j'avais falsifié mon contrat. Comment aurais-je fait ? Je serais allé dans le bureau de IMG (Ndlr : société qui a racheté le RC Strasbourg en 1997) à Paris pour récupérer les documents et imiter sa signature ? C'est absurde. J'aimerais bien récupérer mon argent (Ndlr : il réclame huit millions d'euros).

    Vous regrettez d'avoir signé au Racing ?

    Non, pas du tout, Strasbourg est une ville fantastique. J'aime son architecture médiévale. Il manquait juste Sissi et Napoléon et le tableau aurait été parfait... C'est un endroit merveilleux. J'adore la France. À Strasbourg, les gens m'invitaient chez eux à boire un café, et si j'ai bien compris, ce n'est pas quelque chose de si commun chez vous.

    Comment avez-vous atterri dans ce club ?

    J'étais arrivé à un moment de ma carrière où j'avais besoin de tranquillité. C'est à ce moment-là que Strasbourg a fait cette offre intéressante. Là-bas, je pouvais marcher sereinement dans la rue. C'est Omar Da Fonseca qui a tout organisé. Il est venu me chercher et m'a présenté à Patrick Proisy. Mais ensuite, quand les problèmes ont commencé à surgir, il a disparu dans la nature... Il me disait qu'on ne pouvait pas se battre contre Proisy et IMG. Je me suis retrouvé un peu désemparé. Il m'a convaincu de signer à Strasbourg et ensuite, il s'en est lavé les mains. Omar n'est pas quelqu'un de professionnel. J'avais besoin de lui, car je ne parlais pas français, mais il ne me répondait plus au téléphone. Une fois qu'il a reçu sa commission de 100.000 dollars, je n'ai plus entendu parler de lui. C'est un inutile. Je m'en suis sorti sans lui.

    Quel bilan faites-vous de votre passage à Strasbourg ?

    D'un côté, on a remporté la Coupe de France et j'ai marqué le tir au but vainqueur (Ndlr : face à Amiens, en 2001, 0-0, TAB 5-4), mais de l'autre nous sommes descendus. Sportivement parlant, ça reste donc mitigé. Mais entre moi et la France, il y a un lien très fort. Vous savez, mon nom vient de France. Mes arrière-grands-parents paternels sont venus de Toulouse à Buenos Aires, avant de rallier le Paraguay. J'ai donc une affinité particulière avec la France. Grâce au Mondial, puis au Racing, j'ai pu connaître la France et c'est quelque chose de très important dans ma vie.

    Vous aviez été accueilli assez froidement par vos partenaires, notamment par le capitaine de l'époque, Teddy Bertin.

    Teddy n'était qu'un joueur moyen, qu'a-t-il fait au niveau international ? Non, la plupart de mes coéquipiers m'ont bien reçu. Corentin Martins venait souvent vers moi et me parlait en espagnol.

    Propos recueillis par Florent Torchut, à Buenos Aires
    Source
  • Ouais enfin il tacle plus Proisy que le Racing. :-B
  • Malheureusement il ne dit que la vérité sur le Racing.

    Bordel quand je repense à sa signature, le transfert de l'année en France :O
  • Je me souviens que son premier match était face à Bordeaux. Et pour l'occasion, mon père avait acheté le match sur Foot+ (ou un équivalent), ce qui était un petit événement.
    On croyait sincèrement tous les deux à ce moment qu'il nous sauverait de la L2 sur la deuxième moitié de saison.
    Résultat 2-0 pour Bordeaux et de mémoire, rien de transcendant sur ce match :))
  • J'étais à la Meinau pour cet évènement. Tribune nord basse. Le kop alors en Ouest Basse scandait le nom de Chilavert à l'entrainement. Et puis mésentente avec la défense : 1-0, & le fameux lob de Laslandes sur un Chilavert scotché sur sa ligne : 2-0.

    Ce qui José Luis oublie de préciser dans son itw, c'est que c'était une imitation version bibendum qui est arrivée à Strasbourg cette année là. Il a ensuite retrouvé la forme, tirés quelques coups francs dont certains étaient prêt de rentrer et inscrit ses 2 pénaltys face à Landreau en demie, et face à Amiens pour la victoire. Ensuite gardien honnête en D2 mais sa carrière était déjà derrière lui.
  • Malheureusement il était déjà cramé à son arrivée à Strasbourg.

    Ce qui n'enlève rien à sa prestation extraordinaire de France-Paraguay 98, je crois n'avoir jamais vu un match où un gardien ait été capable de galvaniser ses partenaires à ce point, par sa prestation purement sportive mais aussi par son rayonnement et sa personnalité.
  • Il y a quelques années, j'ai eu l'occasion de discuter avec un responsable du centre de formation à propos de la mentalité des joueurs pros passés au Racing. Il disait que Chilavert, plus que les autres était très généreux et notamment avec les jeunes qui venaient le solliciter pour un autographe ou une photo.
    Son premier match au Racing n'a pas été très bon certes, mais il venait juste de débarquer et était visiblement à court de préparation. C'est malheureusement l'image qui lui est resté, même si par la suite sans être génial il a tenu son poste dans une équipe à la dérive qui avait complètement abandonné le championnat mais qui brillait en coupe.
    Sa deuxième année en L2 a été très professionnelle. Bien entendu au regard du salaire exorbitant concédé par Proisy et IMG, il n'a pas été à la hauteur, comme toutes les recrues IMG qui avaient des salaires et des montant de transfert gonflés pour une foule de raisons extra-sportives et pas forcément très honnêtes.
    Il semble avoir tout de même un bon souvenir de son passage à Strasbourg, ses critiques se limitant à quelques personnes, pour la plupart des gens qui n'ont pas fait que du bien au club.
    Il n'était plus le très grand gardien qu'il avait été, mais il avait encore une certaine aura et je pense que son charisme à été déterminant lors de la finale face à Amiens où cela s'est joué à très peu de choses.
    Il ne peut pas être considéré parmi les plus grands gardiens que le Racing ait compté, mais il a sa place dans l'histoire du club.
  • Pour moi il reste le type qui réussit de double exploit, d'une part, de se faire lober par Laslande alors qu'il est positionné... sur sa ligne de but lors de son premier match à la Meinau et, de l'autre, marque le tir au but vainqueur de la Coupe de France au stade France.
  • Des nouvelles de José Luis (vu sur le kamoulox du foot)

    https://pbs.twimg.com/media/BYjw_4uCQAEIpnr.jpg
  • ENORME :))
  • Il a maigri ?!? :O :D
  • Il s'est fait un nouveau tatouage Justin Bieber :-/
  • je l'avais oublié celui là , mais c'était un bon gardien nostalgie quand tu nous tiens !
  • Des nouvelles de... José Luis Chilavert

    Après une carrière de joueur professionnel bien remplie et vingt-deux ans au plus haut niveau, José Luis Chilavert se fixe un autre objectif, bien conforme à sa démesure : devenir président de la République du Paraguay :O . Une volonté peu commune pour un homme hors du commun.

    Il est sûrement le meilleur joueur de football de l'histoire du Paraguay, dans un pays où le ballon rond est présent à tous les coins de rue, et à un poste qui n'est pas forcément destiné à être mis en lumière, au contraire des attaquants. José Luis Chilavert a réussi à devenir une figure légendaire, une icône de son pays. Il sera même parvenu à émerveiller tout bon fan de football qui se respecte en étant l'auteur de nombreuses images incongrues, un jour transformant un penalty, un autre inscrivant un sublime coup-franc. Au total, le natif de Luque totalise 62 buts dans sa carrière professionnelle. Une performance hors du commun.
    L'histoire commence dans le club de sa ville au Sportivo Luqueño, où il signe son premier contrat professionnel en 1982. Le regard profond et la carcasse imposante, il se fait vite remarquer par San Lorenzo, le grand club argentin, puis par l'Europe, où il signe avec le Real Saragosse. De l'autre côté de l'Atlantique, en trois ans, il enchaîne 79 matches et inscrit un but. Mais c'est en Argentine que Chilavert va forger sa légende. Avec le Vélez Sarsfield, il se construit un palmarès (3 Championnats d'Argentine, 1 Copa Libertadores, 1 Coupe Intercontinentale) et un personnage. Le gardien de but tire les penaltys et les coup-francs. En 1999, il devient ainsi le premier portier à réaliser un hat-trick. Mais en plus d'avoir un pied digne des plus grands numéros 10, il sait protéger ses cages. José Luis remporte ainsi la haute distinction de la FIFA de gardien de but de l'année en 1995, 1997 et 1998.
    José Luis Chilavert a un objectif bien ancré dans sa tête

    Il marque l'histoire de sa sélection en se hissant au stade des huitièmes de finale en Coupe du Monde 1998, avec des joueurs tels que Gamarra, Acuña et Ayala. En 2000, du haut de ses 35 printemps, il décide de retenter sa chance en Europe, au RC Strasbourg. Une expérience en dents de scie qui symbolise la pente descendante de sa carrière. Après un an au Peñarol et six petits matches au Vélez qui l'a vu émerger aux yeux du monde, José Luis Chilavert raccroche les gants et les crampons, alors âgé de 39 ans. Grâce à lui, le Paraguay a bénéficié de coups de projecteurs inégalés. Aujourd'hui, il veut continuer à servir son pays.

    Chilavert a désormais un dessein : devenir président de la République du Paraguay. Dans le journal bolivien El Deber, relayé par L'Équipe Magazine, l'ancien international a déclaré viser la plus haute fonction de l'État, et rien d'autre : « Président, pas vice-président ! (...) Mes compatriotes me connaissent comme une personne frontale, imperméable à la corruption. Président, c'est être comme un père de famille. » Si certaines de ses opinions peuvent faire débat, l'homme s'affirme et veut aller au bout de ses convictions : « Je suis capitaliste. J'ai joué au football pendant 25 ans et j'essaie d'en profiter au mieux. » Pour Chilavert, l'objectif pourrait se réaliser en 2018, lorsque le mandat d'Horacio Cortes prendra fin. José Luis pourra alors, peut-être, devenir numéro 1 de son pays. Ce numéro qu'il a porté tout au long de sa carrière...

    Foot Mercato


    Ce mec est vraiment "Mythique" :D
  • Si ma mémoire et bonne il y a quelque année de sa . chilavert et venu au racing son premier match contre Nantes 5 bienvenu en alsace on a tous applaudient l'équipe adverse
  • 5 /0 pour Nantes
  • Son premier match fut à la Meinau contre Bordeaux.
    En soi, il vient une saison et il remporte un titre.
    Je ne l'aime pas non plus beaucoup mais ça il faut le
    reconnaître.
  • Super lobe de Laslandes sur le 2ème but.
  • Marrant cette vignette...

    https://scontent-fra3-1.xx.fbcdn.net/hphotos-xtp1/v/t1.0-9/120495...
  • Découvert par @bouba1966, le vin Don Chila

    http://www.viagourmet.com/sites/default/files/images/CC/2011/juli...
    http://archivo.losandes.com.ar/fotografias/fotosnoticias/2011/7/7...
    Santé !
  • On a trouvé son successeur Uruguayen:

  • http://d3ustg7s7bf7i9.cloudfront.net/mmediafiles/pl/68/68b183f0-e...
Il faut être inscrit et connecté pour ajouter un commentaire. Déjà inscrit ? Connectez-vous ! Sinon, inscrivez-vous.
Connectés

Voir toute la liste


Stammtisch
  • athor Le meilleur hommage à Matz Sels, c'est de bien écrire son nom
  • sylvain67 sissoko méritait un hommage, seltz etc etc
  • sylvain67 Je pense que ces dernières années beaucoup de joueurs ont aidé à redresser le club et mérite plus que gameiro
  • sylvain67 pour au final revenir quand le club était de retour en ligue 1 depuis quelques années déjà
  • sylvain67 mais dans les faits c'est un joueur qui a fait un an et demi en pro puis il est partis à lorient puis paris puis séville
  • sylvain67 Je suis d'accord l'histoire est belle le joueur formé au club qui revient en fin de carrière
  • sylvain67 Je trouve personnellement que on en fait beaucoup avec gameiro...
  • rachmaninov Son départ a été annoncé 48h avant le match, difficile d'organiser un hommage grandiose en si peu de temps
  • supporter67 Kevin méritait bien plus que de voir banderole sur BC dehors
  • supporter67 salut à tous, décu par la manque d'hommage en tribune pour Kevin & Ibra
  • il-vecchio A ce niveau ce serait davantage un livre de "commodités".
  • valdestras Livre de chevet impératif !
  • valdestras [lien]
  • alainh68 En Angleterre , Manchester city proche du titre après la victoire à Tottenham 2-0 , doublé de Haaland
  • valdestras y a encore rien sur le site officiel
  • valdestras quelqu'un connais les horaires et lieux des entrainements ouverts au public cette semaine?
  • valdestras ok merci
  • athor Ah, je les ai, je les rattache manuellement
  • athor Tu ne les avais pas proposé sur le fiche du match ?
  • valdestras c'est déjà arrivé à qqn?

Mode fenêtre Archives