Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Les plus grandes phases du rap français

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Flux RSS 141 messages · 30.178 lectures · Premier message par ulirch-le-pen · Dernier message par jijirem

  • Les phrases les plus bidons en tout cas sortent du pré-ado LIM, de la gamine de Diam's et de Sefyu et son Krrrrrrrr krrrrrrr Sénégalo-Ruskov-Molotov b-(

    La plus connu est surement "la justice nique sa mère, le dernier juge que j'ai vue avait plus de vice que le dealeur de ma rue" reprise dans les scratchs par plusieurs groupes!

    La meilleur :-/ je sais pas si il y en a.

    Des grandes phrases il y en a beaucoup, enfin ça dépend après ce qu'est une grande phrase B-)
  • Le légendaire Morsay, qui chante MC Circulaire (on notera l'ingéniosité du nom), dans son ode à la sodomie:

    "Pas de pitié, pas de tendresse, ça va faire Bagdad dans tes fesses".

    Voilà, je crois que tout est dit.
    La grande classe.
    Chapeau les artistes !
  • Morsay :-& c'est juste un imposteur, il a vendu pas plus de 1500 disques dans toute la France il est plus connu pour ses vidéos toutes pourris de youtube, dailymotion que pour ça musique, d'ailleurs j'ai jamais rencontrer une seule personne qui l'appréciait
  • TOUT LES JOURS JE TAF DUR TOUT LES JOURS JE GALERE TOUT LES TU DMANDE COMBIEN IA DE ZERO SUR MON SALAIRE
  • " Pourquoi le shooter lui et pas un autre, si je shoot ce keuf je devrais shooter les autres, mais ce sont des hommes sa y est ma tête explose toutes les valeurs s'entrechoquent car la question que je me pose EST doit on répondre de la même manière au violence policière .. "

    Assassin, "L'Etat assassine"
  • Sachez... que... si autant d'jeunes se sacrifient, c'n'est pas pour rien.
    Y'a aucun plaisir à s'suicider c'est pour assouvir notre faim.
    Avant la fin d'cette chienne de vie,
    On espère en vain respirer une meilleur vie enfin quite à risquer sa vie enfin c'est notre avis.
    Toute une génération noyée par la fume, la solitude,
    Et quand on marche en bande chacun a son vécu, son attitude,
    Ses réactions, ses pulsions, ses ambitions, ses directions ;
    Le plus souvent dans l'banditisme et l'transactions,
    Pour les gens qui font d'l'argent intelligemment.
    Quant aux mineurs qui agressent les gens dans la rue méchamment,
    Un conseil : joue pas l'malin avant qu'ce soit trop tard, avant qu'tu fasse de la taule,
    Tombe dans la fume, l'alcool, va à l'école déconne pas,
    Car c'est ta mère qu'en souffrira, tes p'tits frères qu't'influanc'ra, l'état qui en rira.
    Ecoutes-moi : fais pas la tête de mule, ou conneries sur conneries t'accumules,
    Pendant qu'tu t'la raconte devant tes potes c'est l'système qui t'encule.
    C'est ridicule. Combien on commencé comme toi ?
    Et aujourd'hui plus âgés qu'toi, combien regrettent la chance que t'as ?
    Génération sacrifiée, j'explique pourquoi c'est comme ça, pourquoi on est comme ça,
    Qu'est-ce qui nous pousse à faire ça.
    J'vois qu'ils parlent de plus en plus de délinquance à la télé,
    Laisse-moi m'en mêler, j'vais aux débats d'tous ces enculés.
    Politicards de merde, démagogues. Rohff refuse le dialogue.
    Ils nous prennent pour des mongols, veulent qu'on consulte des psychologues.
    Ils s'fouttent de not' gueule, nous endorment avec les grands mots français.
    J'ouvre ma gueule, hardcore révolté au sourcils froncés.
    J'récite la vie d'tous les jours, ça s'passe au bat des tours,
    Des citées HLM au ghettos et ces alentours.
    Hardcore l'décors qui m'entourent.
    J't'en prie viens faire un tour, tu sais très bien où ça s'trouve, donc ne fais pas d'détours.
    Approche de la délinquance, des mauvais garçons, la prudence.
    Fais face aux conséquences d'ton institution,
    D'ton intelligence, et d'tes circonstances chrétiennes.
    Etat d'urgence chaotique. Pour les familles d'Afrique entourée que d'racistes et d'flics.
    En majeur partie, y'a qu'des cist-ra, répartis dans la police, justice en tant qu'magistrats.
    Complices de l'état, et du programme qui nous est imposé, croyant apprivoisé,
    Dans la prison ceux qui veulent s'opposer.
    Mais rien à foutre pour les cas sociaux qui sortent du placard,
    C'est la banqueroute donc on r'vient au point d'départ, sur la même route.
    Vu qu'rien n'a changé, et qu'sans argent impossible de t'ranger.
    En France, même avec des papiers t'es qu'un étranger.
    Sachant qu'ils volent notre oseille, c'qui fait d'leur vie une merveille,
    Sombre au sommeil dans la misère jusqu'à c'que la mort les réveille, la veille d'la fin du monde.
    L'amour m'a rayé d'son parcours, t'es aller en cours,
    C'est rien les risques, afin d'trouver une porte de secours.
    Ici personne cri au secours c'est chacun pour soi.
    Où qu'on soit, s'en sortir, sans compter sur qui que ce soit.
    Tous dans l'même cas, famille nombreuse cette galère,
    Déconcerté par une enfance laborieuse, c'est l'échec scolaire.
    Maint'nant, c'est la rue qui t'attends au tournant,
    C'est pas d'ta faute ni celle de tes parents c'est celle du gouvernement,
    Qui fait payer, les fiscs, les impôts, à nos parents à plein pot, qui eux travail sans repos.
    Sachant qu'ils ont des gosses à nourrir, leur scolarité à suivre,
    Le loyer, l'électricité à payer pour survivre, avec quoi, une misère, comparé à vos salaires.
    Bandes d'enculés d'vos mères, à cause de vous on fait pleurer nos mères.
    Comment veux-tu qu'il règne une bonne atmosphère de famille,
    Qui ai d'l'affection, du bonheur, comme chez vous les che-ri ?
    Avec une telle situation, y'a d'quoi péter les plombs sous la pression.
    Vous sacrifiez nos génération.
    Les jeunes du ghettos soufrent d'une douleur atroce,
    Qui nous vient du fond du coeur, c'qui nous rend plus féroce.
    Quand le cont'nu de nos coeur renforce nos conceptions d'la vie,
    Les mauvaises péripéties, nous endurons endurcis, noircis, renfermés.
    Notre état d'esprit de rage provoque l'orage qui lui fait couler les larmes comme la pluie.
    Aujourd'hui, le sang coule autant qu'hier, parc'que l'système pose le même problème qu'hier,
    Cause des pulsions meurtrières.
    Les jeunes s'affrontent malgré qu'c'est l'même combat,
    Deux trains qui s'rencontre à 100 à l'heure ça fait des dégâts,
    Du carnage, pour le pas nous dressons en âge.
    Et quand on s'entre-tue c'est pour leur victoire qu'on s'engage.
    Dans ma rue, y'a des mec qui biz, des p'tits qui jouent au foot,
    Quand au toxicos qui shit, j'leur fait pas la bise, mais j'les shoot.
    Parc'que tu vois, moi la came ça m'dégoute, écoute, si toi tu la r'fourgue,
    C'est ton problème, chacun sa route.
    En c'qui m'concerne j'ai assez d'poisse pour qu'j'en rajoute,
    Et j'ajoute, que j'ai foi en Dieu, l'enfer je redoute, j'ai des principes.
    J'suis pas d'ces types qui s'affirment comme disciples du Cheytane, participent au triomphe de Halam.
    J'anticipe, ces 6-7 façon de marcher de travers, manière d'la r'mettre à l'endroit, car i'm'la fout à l'envers.
    Et il s'avère qu'à tout les coups c'est nous qui payeront les risques,
    Dans ces lieux spéciaux construits pour les cas sociaux,
    T'as compris, la zon-pri, afin d'nous priver d'notre liberté.
    On fait le nécessaire pour vivre et on survit dans la pauvreté.
    Mon crew préfère mourir debout que vivre à g'noux.
    Et ils nous appellent voyoux parc'qu'on déjoue les plans qu'ils projettent sur nous.
    En gros j'sais c'qu'est le mal et le bien, et j'ai vu que nous faire du mal leur faisait du bien.
    Ils nous ont tout donné pour nous détruire, anéantir,
    Et à partir de leurs projets ils comptent tout reconstruire.
    Ils s'tapent des délires sur not' dos, mènent des expériences,
    Prennent pas conscience qu'ils nuisent grav'ment à notre existence.
    Quand j'pense qu'à Vitry à seize ans ça braque des banques,
    C'qui montre à quel point c'est l'argent qui manque.
    J'crois qu'ils s'rendent pas compte qu'ils mettent de l'essence dans l'feu,
    Même les p'tits d'la citée tentent de tricher dans leur jeu.
    En bas d'la pente, on essaie tous d'grimper comme on peut,
    Afin d'répondre à nos attente puisqu'on n'peut compter sur eux.
    Influencé par l'banditisme, jeunesse sacrifiée, répondez : que deviendront les p'tits d'mon quartier ?
    Puisque l'problème c'est l'argent, et sans argent c'est malheureux,
    C'est vrai qu'il pourrit les gens, mais il nous permet d'être plus heureux.
    Car assoiffé par un bonheur dont on rêve tant, dont on souhaite tant,
    Paix autant suffisamment pour être contents.
    Depuis qu'le temps, a pour meilleur amie la réussite,
    On a trop longtemps attendu donc on procède à l'illicite.
    On s'incite, s'entraîne, puisqu'on traîne ensemble,
    Vu qu'nos situations s'ressemblent il est normal qu'on s'assemble.
    Ensembles, on fait des choses qu'on aurait jamais voulu faire,
    Et quand ça marche mon frère, c'est sûr qu't'ira l'refaire.
    C'est plus fort que toi, sans ça tu n'es rien, plus moyen,
    T'as froid, t'as faim, tu d'viens c'galérien qui voit les gens passer,
    Les belles voitures passer, et là tu t'sens dépassé.
    Quand tu sens l'temps passer, en silence, tu pète les plombs,
    Tu perds la raison, très vite t'en trouve une autre celle de la tentation pour l'évasion.
    Tragique destin, quand tu as pour option la rue,
    À l'école tu n'comprends rien, parc'qu'au fond tu suis plus.
    Donc t'abandonne, et laisse ça pour tes petits frères,
    En espérant que tes petites frères vont faire c'que tu n'as pu faire.
    V'la qu'tu tombe dans l'alcool, les spliff, c'qui n'arrange pas les choses,
    T'es toi fatigué, impulsif, qui revendique une vie en rose.
    Rabza, renoi c'est vrai qu'ce mode de vie est insensé,
    Mais une fois compris c'qu'on prône, c'est soit nous enfoncer,
    Si tu veux pas comprendre, c'est qu't'es un peu défoncé.
    Une fois j'ai réalisé enfin dans quel fossé tu t'es lancé.
    J'crois pas qu'c'est le destin qui veut qu'tu cours à ta perte,
    Mais le système qui fait de sorte à c'que tu t'jette dans la merde.
    Puis tu refuse de t'soumettre, et ça ils l'acceptent pas.
    T'es pas chez toi, donc ils envoient leur fils avec toi.
    La police tourne jours et nuits te voit galèrer,
    Comme tu joues les caïds dans la rue on t'a déjà repéré.
    Pour un p'tit bout de drogue douce, tu pourrais finir au poste,
    Juste pour t'casser les couilles, poussé à bout tu riposte.
    Et là t'as perdu, six millions d'façons d'nettoyer les rues.
    " La France aux français " les immigrés n'en ont jamais voulu.
    Dans ma rue, on a des babtou qu'ont perdu la boule,
    Ils s'en battent les youkou, parc'que leur propre bled les refoule.
    J'parle pas d'ces bouffons qui ont tout, qui s'laisse engrainer,
    Mais ceux qui n'ont rien comme nous, ont la rue pour destinée.
    C'est triste, ce vice finit par nous avoir,
    Plus tu persiste plus t'accentue la sentence du pouvoir.
    Que j'sois responsable de toutes nos contraintes,
    Ils portent atteinte à nos vies, laisse pas d'empreinte, qu'un homicide, et bien réfléchit.
    Je sens la crainte en observant de loin les gamins,
    Quand j'repense à hier en voyant aujourd'hui j'imagine demain.
    Sur le terrain, i' voudront nous abattre comme du bétail,
    On f'ra la guerre dans nos quartiers, transformés en champs d'batailles.
    Vu qu'pour un rien, ils déconne le P38 pour braquer, par moi j'ai un,
    C'est pas à un alcoolique qui faut refiler un tar-pé.
    Une forte pensé aux autres tués d'la mains d'la police,
    Protégée par la loi écrite sûr'ment par la main d'un raciste.
    Pour tous mes frères incarcéré au microphone j'insiste,
    J'suis pas v'nu là en tant qu'humaniste, mais en tant qu'soldat qui résiste.
    Même si on en a marre, qu'ils ont tourné nos vies en cauch'mars,
    Nous perdont pas espoirs, nous resterons débrouillards.
    J'pense qu'à l'avenir, faudra penser à construire d'autres prisons,
    Parc'que l'béton voit grandir sur lui des nouvelles générations.
    Ouais j'te parle des marmots qui jouent au foot à la citée, hein !
    Pour l'instant ils sont inconscients, mais bientôt ils s'ront conscient qu'sans argent tu n'es rien,
    Et ils f'ront tout pour l'avoir, comme nous ils vont s'démerder.
    Hein, j'vais pas t'faire un dessin !
    Et ils auront ces idées aux grands d'quartiers.
    Et avec fierté ils en parl'ront comme beaucoup aujourd'hui.
    Tu vois, pourtant au départ on était tous des bébés innocents...

    ROHFF - GENERATION SACRIFIE
  • C'est pas pour faire le chieur mais v'la, tout est dans le titre, toute la chanson là je pense, comme tout l'monde, je la lirais pas.
  • A toi de voir ;)
  • "C'est un vieux mur lépreux qui ne parle qu'aux gueux et qui regarde balancer les vies du berceau au cheval de bois, du bac à sable à la table de trois, de la flemme à l'ennui, du brayage au bruit, de l'échec au ceinturon, du ceinturon à la rue, à ses ombres, à ses gardes à vue, et puis de la solitude aux moyens de la noyer sur les toits de l'immeuble, du premier appart' au premier meuble, d'une paire de fesses trop bien ficelée à une bouche qui demande à grailler neuf mois après, du contrat précaire à la pension alimentaire, du RMI au crédit, du crédit au crédit, du trou d'air au trou noir, du trou noir au trou d'air, du pas de trop au pas de travers, de l'amour qui ne se dit pas à la haine qui se voit, quand adossés à ce vieux mur coassent les corbeaux comme moi."

    Hamé - Le mur


    Les pauvres ont un poète.
  • La meilleur phrase du rap c'est :

    ze se se se se se, ze se se se se se, ze se se se se se, ze se se se se - seffffyu
    ai ai ai ai ai ai, ai ai ai ai ai ai, ai ai ai ai ai ai, ai ai ai ai assi

    Trop undeground, fallait du talent pour faire ceci :D
  • Si quelqu'un pouvait modifier le titre du topic.

    "Les plus grandes phases" en "Les plus grandes phrases"... :D Merci d'avance :x
  • "Phase", c'est une expression du milieu hip hop pour désigner des extraits de paroles. Donc, la prétendue faute de frappe n'en est pas une. :D :x
  • "Si les anges ont des ailes ici les gosses volent... demande à Interpol "
    "Depuis le mont Sinai je prêche,à des sumo qui rêvent de saut à la perche"

    MC Solaar - paradisiaque

    "Accident du travail, quelques indemnités
    Il retrouve un emploi puis est licencié
    Invité au mariage de sa femme, Armand
    Perd au tribunal la garde des enfants
    Il est trop tard pour s'intéresser à son triste sort
    Armand est mort"


    MC Solaar - Armand est mort


    "Scandale égal commercial

    Hier un jockey a dopé son ch'val

    L'idéal Olympique est en flamme

    Les États médaillés fabriquent la meilleure came"


    MC Solaar - Quand le soleil devient froid


    "Les profs sont pour rien dans tout ça

    Il faudrait qu'on les écoute, certains veulent juste du sparadrap"

    "Même sans Rizoli on sait qu'la vie est une loterie

    Rarement elle te sourit, souvent elle te trahit"


    MC Solaar - Degats collateraux


    "C'est la banlieue, dans ce lieu il y a le banc

    Sur le banc il y les bannis, c'est le banc des gens au ban"


    MC Solaar - Ca me hante


    Et tant d'autres....
  • ulirch-le-pen a écrit, le 2009-07-05 15:30:09 :
    "Phase", c'est une expression du milieu hip hop pour désigner des extraits de paroles. Donc, la prétendue faute de frappe n'en est pas une. :D :x


    J'aurais appris un truc inutile sur le rap aujourd'hui, merci :D
  • ludo2607 a écrit, le 2009-07-06 00:06:57 :
    ulirch-le-pen a écrit, le 2009-07-05 15:30:09 :
    "Phase", c'est une expression du milieu hip hop pour désigner des extraits de paroles. Donc, la prétendue faute de frappe n'en est pas une. :D :x


    J'aurais appris un truc inutile sur le rap aujourd'hui, merci :D


    Tu auras fais une intervention inutile aujourd'hui , merci :D
  • C'est vrai, nos mots sont durs mais en rien illégaux
    Vous, vous les qualifiés d'impurs car il ne flattent pas votre égo
    C'est juste un cri de colère d'un jeune au bout du rouleau
    Qui en veut à la terre entière car il est mal dans sa peau
    Au lieu de changer de vocabulaire, il le dit avec ses mots
    Au lieu d'aller foutre la demer, il préfère prendre un stylo
    Il est choquant mais, il n'a d'autre solution
    Il emploie des mots violents afin d'attirer l'attention
    Monsieur le ministre, oui, nos paroles vous déplaisent,
    Mais que dire de celles de la marseillaise
    En désaccord avec la jeunesse que vous préférez faire taire
    Je peux comprendre que la vôtre est sûrement identaire
    [/s][/i][/g]
  • zdedededex :)) seth gueko :)-
  • Sois pas grossier s'il te plaît... :-B
  • La justice nique sa mère le dernier juge que j'ai vue avait plus de vice que le dealeur de ma rue :x :x :x

    Ou sinon : C'est pas les étoiles qui m'ont guidé, c'est pas la foi qui m'a aidé,

    Je n'ai jamais cru en autre chose qu'en une solide ténacité.

    Regarde les implorer et questionner Le Très Grand,

    un peu plus tard à pleurer et critiquer le néant.
  • en quoi c'est grossier ? :p
  • Seth Guecko :-& b-( C'est un gros mot... :-$
  • :)) pourquoi ca :-/
  • C'est une insulte au monde du rap et de la musique en général je trouve...
  • il est meilleur que la plupart de certains rappeur , il sait s'entourer de bons rappeurs comme despo ol'kainry ,unité de feu et d'autre
  • Ca doit être alors mon côté "vieux"... Niveau rap, j'écoute du IAM (pas le dernier album, hein !!), du Dre et du Cypress Hill...
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