Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

SR Colmar

Chargement...

Flux RSS 5093 messages · 639.461 lectures · Premier message par moderateur · Dernier message par chrisneudorf

  • D'autant plus difficile que Gap est relativement à l'aise chez lui quand même :-s
  • C'est cruel pour Colmar, il loin le temps ou le petit poucet était aux anges ..
  • Allez qui des DNA ou de l'Alsace va nous faire le vieux titre bien pourri du "Gap à franchir" ?
  • ou un "gap ou pas gap de se maintenir ?" ou variante "Gap de se maintenir ?"

    Citation:
    On ne peut même pas en vouloir aux joueurs car à ce qu'on peut lire ou entendre à droite et à gauche,ces derniers se donnent à fond mais ils sont simplement limités à ce niveau de compétition.
    Malheureusement pour eux la volonté et le courage ne suffisent pas en football.


    C'est triste de lire ca :( c'est vraiment dommage pour les Colmariens ! J'espère qu'il vont continuer de se donner à fond, malgré cette série de défaite qui fait mal.
  • ic3cream a écrit, le 2010-10-09 00:52:07 :
    ou un "gap ou pas gap de se maintenir ?" ou variante "Gap de se maintenir ?"

    J'en ai déjà fait une comme ça. :'>
  • Et de huit. . .

    Éteints en première période, les Colmariens ne sont pas parvenus à effacer leurs deux buts de débours malgré une seconde période plus intéressante. Ils concèdent une 8e défaite consécutive et iront à Gap mercredi avec toujours aussi peu de certitudes.

    Quand on se montre incapable de marquer le moindre but, gagner un match de football s'avère déjà très compliqué. On peut, à l'extrême limite, compter sur la générosité d'un adversaire pour propulser le ballon dans son propre but.

    Mais en ce moment, ce sont plutôt les Colmariens qui jouent les Père Noël. Il y avait eu ce but « casquette » de Mezriche face à Niort, l'offrande offerte par M'Tir à Guingamp, un but dès la 1re minute de jeu à Bastia.
    Hier soir devant le PFC, les Colmariens ont à nouveau gentiment attendu que leurs adversaires prennent le large pour, enfin, commencer à jouer.


    Comment trouver des excuses ?

    Si on veut être gentil, on pourra toujours dire que sur l'ouverture du score, Thomas Aupic détourne la frappe de Souyeux sur son poteau. L'intérieur de son poteau, malheureusement.
    Pas de chance donc, même s'il est évident que le gardien colmarien, de retour dans sa cage après l'intérim de Fedrigo à Bastia, manque cruellement de confiance sur le coup.

    Mais comment trouver des excuses sur la seconde réalisation parisienne. Un dégagement de gardien prolongé par Souyeux sur Ayivi. A la lutte avec Meslien, l'attaquant parisien loge le ballon au-dessus d'un Aupic sorti à sa rencontre. Et un et deux... Non, cette fois, pas de 3-0 comme Niort ou Cannes, sur cette même pelouse du Stadium.

    En seconde période, les Parisiens, qui n'ont eu besoin que de trois occasions pour tuer le match, contrôlent. Pas toujours avec une absolue sérénité, comme en témoignent les engueulades entendues sur le terrain, mais tout de même.

    Alors bien sûr, lors de cette seconde période, on a beaucoup plus vu les Colmariens. Rangdet, notamment. Un poil trop court sur une frappe de Régnier déviée par un défenseur, en position de hors-jeu pour reprendre ce ballon relâché par Demarconnay après la frappe puissante de Tighazoui.
    Ah oui, il y a aussi cette tête que Pape Dieye, seul à 5 m du but dans un angle fermé, envoie sur le poteau. De la malchance ? Peut-être, mais quand on ne marque pas pendant 687 minutes, série en cours, on ne peut pas s'en remettre à ce seul paramètre.

    Après la rencontre, Damien Ott préfère parler de la première période, celle qui a vraiment compté. « Elle nous met face à nos faiblesses, à nos lacunes terribles, nos carences individuelles. La seconde ? Oui, nous avons eu du coeur. Juste du coeur. Ça permettra de positiver. »


    Des maux, des mots

    Les maux sont les mêmes que ceux constatés lors des rencontres perdues face à Cannes, Niort, Bastia. Les mots de l'entraîneur colmariens également.
    « On est dans une galère. On n'a pas le niveau jusqu'au jour où nous l'aurons. Est-ce que ce sera trop tard ? Jamais ? En attendant, il faut prendre des points. »
    Il faudra en prendre vite. Quatre au minimum lors des deux prochaines rencontres, face à Gap mercredi et dans deux semaines devant Gueugnon. Mais après une telle série de coups de bambou, dans quel état d'esprit les Colmariens aborderont-ils ces matches couperets ?

    DNA
  • Tin, que Colmar se maintienne, ce serait bien pour la région et pour le racing aussi. Bougez vous b....l .
  • mais quand on ne marque pas pendant 687 minutes, série en cours


    Une longue série de défaites ça arrive malheureusement,le Racing étant bien placé pour en parler.
    Mais ce qui fait vraiment mal c'est cette statistique,symbole de l'impuissance d'un groupe au niveau offensif.
    C'est tout de même rare de ne pas marquer le moindre but sur une si longue durée et rien que le fait de retrouver le chemin des filets pourrait faire beaucoup bien mentalement à l'ensemble de l'effectif.
  • Combien de spectateurs au stadium ? Ça se maintient ou ça devient dur d'enchaîner les contre performances :|s
  • 1800 lors du dernier match. Plus qu'au Racing? :|s :|s :|s
  • Pas loin .. On devait être 3000 vendredi soir
  • L'interview du Président de Colmar dans les DNA du jour est assez différente par rapport au staff. Il reconnaît à demi mot quelques erreurs, notamment dans le recrutement, mais insiste quand même sur l'état d'esprit du groupe, trop faible en ce moment, en perte de confiance.
  • J'étais au match ce soir. C'était un match assez intéressant.
    Colmar encaisse un but con d'entrée de jeu. Pendant le reste de la mi-temps Colmar a fait le jeu mais a raté trop d'occases. Le n°10 de Colmar a été vraiment bon (+)
    En seconde période, malheusement Colmar encaisse un deuxième but. Colmar a manqué de concentration sur les deux débuts de périodes.
    Gap est ensuite logiquement réduit à 10 suite à un tacle assassin de leur n°8. Mais Colmar n'arrive pas à prendre le dessus, ils sont moins bons qu'en première période. Ils réduisent la marque et égalisent en fin de seconde période.

    Colmar a beaucoup manqué de réalisme et c'est dommage car il y avait moyen de faire mieux qu'un match nul.
  • Colmar qui a marqué ses deux premiers buts depuis fin août ce soir et par la même occasion mis fin à une série de huit défaites consécutives.
    La victoire sera impérative lors de la prochaine journée face à Gueugnon dernier pour espérer se relancer dans la course au maintien.
  • Et si c'était le déclic ?

    Plombés d'entrée de jeu par un but contre leur camp, les Colmariens ont redressé la barre en revenant au score dans les dix dernières minutes. Le début d'un changement ?

    DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL A GAP

    Ils ont marqué ! Oui, ils ont marqué. Colmar a enfin mis fin à cette insupportable attente de 766 minutes et ce but de Salim Mezriche à Rouen.
    Ils ont marqué, donc. Et pas qu'une fois, mais deux. Trois, même diront les esprits farceurs en se référant au but contre leur camp encaissé dès la première minute de jeu.


    « Quand on joue vers l'avant, ce genre de chose n'arrive pas »

    Car pour débuter, les Colmariens ont écrit un nouveau chapitre du passionnant manuel « Comment commencer un match de la pire des façons ? » Premier ballon colmarien : touche de M'Tir renvoyée par un Gapençais. Le latéral droit des Verts la dévie de la tête pour Holbein qui, toujours de la tête, veut remettre à son gardien. Aupic, qui s'attendait visiblement plutôt à un dégagement, est pris à contre-pied et ne peut que constater les dégâts.
    « Peu m'importe qui a commis la faute, dira Damien Ott. Je leur ai dit qu'on prend ce but parce qu'on joue deux fois vers l'arrière. Quand on joue vers l'avant, ce genre de chose n'arrive pas. »
    Pour une fois, c'est le résultat qu'on retiendra et pas la manière. Car les deux équipes ont livré un match pauvre, plein d'approximations et qui, pour tout dire ressemblait plus à un duel de CFA qu'à une rencontre de National.

    « On n'est pas mort, vocifère Damien Ott. On n'est pas mort. Évidemment il y a des erreurs. Mais cette fois on a prouvé qu'on pouvait se reprendre. On a retrouvé ce coeur et cette envie qui faisaient notre force la saison dernière. »

    Le coach colmarien est passé par tous les états lors de cette rencontre. « Tous, absolument tous. Après le deuxième but de Gap, j'étais physiquement très mal. J'avais envie de vomir. »
    Sans voix sur son banc, le technicien n'a pu qu'attendre la réaction de ses joueurs. Et face à cette faible équipe de Gap, donc, au milieu de terrain étouffé par le duo Grimm - Shaïek, la délivrance aurait dû venir bien plus tôt.

    Mais quand on doute, les occasions sont plus difficiles à convertir. A croire que Colmar ne marquera jamais. Jusqu'à ce centre-tir de Tighazoui venu de la gauche que Pape Dieye, le capitaine, n'avait plus qu'à pousser au fond des filets. Enfin un but. Certes pas le plus beau, mais un but quand même et surtout, le droit d'y croire.

    Le plus beau restait à venir. C'est Thomas Régnier qui l'a signé sur un exploit individuel. Son crochet vers l'intérieur à l'extérieur de la surface de réparation suivi d'une frappe en pleine lucarne ont laissé le stade municipal de Gap sans voix. Et montré aussi que le garçon a de la classe. A lui d'en faire profiter le Stadium dans les semaines qui viennent.


    « On aurait dû revenir avec les trois points »

    « On aurait pu, on aurait dû revenir avec les trois points. Mais en commençant le match comme on l'a commencé, on s'était bien compliqué la tâche, analyse Ott. On a réussi à gommer certains de nos défauts en inscrivant deux buts. Il nous reste à en gommer d'autres. »

    Pour continuer à y croire.

    Mathieu Pfeffer

    Le match de Coupe de France entre Sundhoffen et les SR Colmar a été fixé à samedi (15h), stade Bollinger.

    DNA
  • Coupe de France : Colmar se qualifie dans la douleur à Sundhoffen (3-5)

    • Le club de Sundhoffen, pensionnaire de l'Excellence départementale, a poussé Colmar dans ses retranchements cet après-midi à l'occasion du 5e tour de la Coupe de France, ne rendant les armes qu'au terme des prolongations (3-5).

    Le score à l'issue du temps règlementaire était de 3 buts partout. Mené 3-1 à un quart d'heure du coup de sifflet final, Sundhoffen a égalisé à la 93e minute par Hermann sur coup franc.

    Mais les SRC, actuellement relégables dans leur championnat de National, ont rapidement remis les pendules à l'heure dans les premières minutes des prolongations, grâce à Tighazoui et Rangdet, auteurs chacun d'un doublé cet après-midi.

    Les buteurs : Tighazoui (4e et 94e), Rangdet (25e et 101e) et Zerbini (75e) pour les SR Colmar ; Anyoudine (31e), Wolff (75e) et Hermann (93e) pour Sundhoffen.

    L'Alsace
  • Laborieux tout sa ..
  • - COLMAR (équipe probable) : Aupic - M'Tir, Holbein, Kerssane, Meslien - Grimm, Shaïek, Kittler, Zerbini - Rangdet, Dieye.

    Remplaçants : Fedrigo (g.), Meyer, Mezriche, N'Siabamfumu, Créquit (ou Tighazoui). Entraîneur : Damien Ott.

    - GUEUGNON : Perraud - Coronas, Berthommier, Uras, El Attaria - Jamaï, Blanc, Famery - G. Vairelles, Insou, T. Vairelles.

    Remplaçants : Petit (g.), Perre, Rammou, Revuelta, Diop. Entraîneur : Serge Romano.

    DNA
  • Voilà que ça recommence

    Une nouvelle fois incapables d'inscrire le moindre but, les Colmariens ont été contraints au nul par une pâle équipe de Gueugnon. En vue du maintien, c'est une bien mauvaise opération comptable.

    Les sept but inscrits lors des deux dernières rencontres (à Gap et à Sundhoffen) n'auront donc été qu'un leurre. Les Verts ont une nouvelle fois replongé dans leurs travers en étant incapables d'inscrire le moindre but.
    « Dans le contexte actuel, tout n'est pas à jeter dans ce match, analyse l'entraîneur Damien Ott. Après le mois de septembre qu'on a vécu (huit défaites consécutives), on peut tout de même noter qu'on reste sur deux matchs sans défaite en championnat. »
    Sans défaite, oui, mais sans victoire aussi, et contre des équipes de leur niveau, soit de celles qui lutteront toute la saison pour ne pas être reléguées.


    « Il nous manque un buteur. Tout le monde le voit »

    Et bien sûr, il y a ce problème offensif récurrent. On l'avait un peu oublié après les deux buts inscrits à Gap, il s'est rappelé au mauvais souvenir de tout le monde. Et surtout des spectateurs du Stadium qui n'ont pas manqué de siffler copieusement les sorties de Régnier, Rangdet et Tighazoui, soit les trois joueurs recrutés pour inscrire des buts cette saison.
    « Le fait que je les sorte tous les trois est bien sûr un constat d'échec même si les cas sont à chaque fois différents, reconnaît l'entraîneur des Verts, Mais globalement, il nous manque un buteur. Tout le monde le voit. »
    Dans ce rôle, hier soir, on aurait pu avoir Thomas Régnier. Sur un centre millimétré de Régis Kittler -qui a effectué un retour plus qu'intéressant au poste d'arrière gauche pour pallier la suspension de Loïc Fortuna-, l'avant-centre de Verts manquait complètement sa reprise (4e').
    Toujours dans le rôle du buteur, on aurait pu, une minute plus tard, avoir Yohann Rangdet. Mais la frappe du gauche après un crochet du droit de l'ex-Bisontin n'était pas cadrée.
    On l'aura compris, les Colmariens étaient pourtant bien entrés dans la partie, avec un nouvel état d'esprit. « Sans la peur au ventre, dit Ott. Et ça, c'est important. »


    « Plus solides, plus confiants »

    « On a été plus solides, plus confiants, que sur les derniers matchs, constate le latéral droit Malik M'Tir. Après devant, c'est un problème de confiance, c'est tout. Le syndrome des attaquants qui doutent... »
    La lecture de cette rencontre aurait forcément été toute différente si la tête de Guillaume Créquit, sur un corner de Zerbini, n'avait pas rencontré la base du poteau (79e') ou si la frappe en pivot du même Zerbini n'avait pas été stoppée par Perraud (90e'+2).
    Car côté gueugnonnais, on n'aura pas vu grand-chose. Le Tony Vairelles version 2010 n'a plus rien à voir avec celui qui faisait le bonheur de Bollaert à la fin des années 1990. Thomas Aupic n'aura eu à se coucher qu'une seule fois sur une frappe du « frangin », Giovan.
    Et là, on en revient forcément à l'aspect comptable. Faire un match nul à domicile face à un adversaire dans la lutte pour le maintien, qui plus est largement prenable, c'est bien une mauvaise opération.

    DNA
  • En ésperant qu'ils puissent recruter leur joker offensif durant le mercato, car sinon la mission semble très compliquée !
  • Six joueurs à l'essai

    Six nouvelles têtes étaient présentes hier à l'entraînement des SR Colmar. Trois défenseurs, trois attaquants, dont l'un ou l'autre possède un profil « intéressant ».

    Une décision pourrait intervenir rapidement. « On fera le point ce soir (hier) avec Damien (Ott) », indique Jean-Louis Jaegli, le vice-président colmarien. « Demain (aujourd'hui) ou jeudi, on aura peut-être du neuf. »
    Damien Ott avoue de son côté que certains joueurs qu'ils a vus sont « intéressants ». « Après, il vaudra voir quelles sont leurs prétentions, ce qu'il peuvent apporter », poursuit de son côté Jean-Louis Jaegli.
    Parmi les six joueurs, l'un est déjà reparti. Les cinq encore susceptibles d'intégrer le groupe colmarien sont les suivants :

    - Karim El Mourabet, 23 ans, défenseur, 15 matches de L 1-L 2 avec Nantes, 7 de National avec Laval, nombreuses sélections en équipe de France de jeunes, 1 en équipe A du Maroc. Colmar lui avait fait une première proposition il y a quelques semaines qu'il avait déclinée. Il est à court de compétition.

    - Lionel Djebi-Zadi, 28 ans, défenseur (central ou gauche), évoluait depuis deux saisons à Inverness (D2 écossaise).

    - Lamine Nekrouf, 19 ans, milieu de terrain offensif, évoluait la saison passée à Hammarby (Suède). Possède la double nationalité algérienne et suédoise mais a comme Djebi-Zadi l'inconvénient de venir de l'étranger, ce qui retarde la qualification.

    - Donneil Moukanza, 19 ans, milieu de terrain offensif, formé à l'AS Nancy-Lorraine. 3 buts en 18 matches de CFA l'an dernier avec l'équipe réserve.

    - Chiguy Lucau, 26 ans, attaquant d'origine congolaise. C'est celui qui possède le plus beau CV : 3 matches de L 1 avec le PSG, 29 de L 2 (8 buts) et 27 de L 1 (3 buts) en deux saisons avec Le Mans, 37 de L 2 et 7 buts en une saison et demie avec Sedan. Il a peu joué depuis 18 mois mais s'est montré très à son avantage à l'entraînement.

    DNA
  • L'attaquant Chigui Lucau dans le viseur

    Ancien joueur du PSG et du Mans, Chiguy Lucau suscite de l'intérêt du côté de Colmar. Photo DR
    Ils étaient six lors du premier entraînement de la semaine, lundi soir. Ils n'étaient plus que trois hier. Il n'en reste désormais plus qu'un aujourd'hui. Parmi tous les joueurs mis à l'essai par le club colmarien, plus que jamais soucieux de renforcer son effectif dans la perspective du maintien en National, seul l'attaquant congolais Chiguy Lucau reste en effet concerné par une éventuelle proposition des SR Colmar.

    Âgé de 25 ans, le joueur est notamment passé par le PSG (2002-2003), Le Mans (2004-2007) et Sedan (2007-2010) avec également une rapide escapade du côté de Châteauroux en 2008. Il a disputé 28 matches de Ligue 1 et 72 matches de Ligue 2. S'il présente le désavantage d'avoir peu joué ces deux dernières saisons (2 matches seulement la saison passée avec Sedan), ses performances lors des entraînements ont suscité un bel intérêt auprès du staff technique des Verts.

    Pour espérer s'engager avec le club colmarien, qui a conscience de jouer très gros sur le coup, le natif de Kinshasa (1,78 m pour 73 kg) devra néanmoins encore patienter. Et convaincre surtout.

    L'Alsace
  • Chiguy Lucau a signé et un autre joueur est attendu

    À l'essai au Stadium depuis le début de la semaine en compagnie de cinq autres joueurs, l'attaquant Chiguy Lucau est le seul à être conservé par le staff technique des Verts. Il a signé hier matin.

    La signature de Chiguy Lucau n'est pas la conséquence du probable retour de Thomas Régnier au FC Mulhouse (voir notre édition d'hier). Depuis le début de la semaine, en effet, tous les observateurs ont convenu que l'attaquant franco-congolais de 26 ans né à Kinshasa avait les qualités requises pour renforcer le compartiment offensif de l'équipe. « Il a le niveau Ligue 2 », constatait Dominique Lihrmann.

    Le directeur sportif et son staff n'attendaient plus que le feu vert du docteur Faller, le médecin du club, qu'ils ont eu jeudi soir. « Il a signé ce matin, confirme Jean-Louis Jaegli, et le dossier a été envoyé dans la foulée à la Fédération qui l'aura demain matin (ce matin). » Quant à savoir si le nouvel attaquant des Verts pouvait être du déplacement à Plabennec, vendredi prochain, le vice président des SRC ne veut pas s'avancer. « J'espère qu'ils travaillent à la Fédé. En principe, les dossiers sont validés le vendredi matin. Après, c'est le staff technique qui décidera. »

    À l'essai à Nantes durant un mois et demi en début de saison, « les Nantais ont finalement gardé un joueur qui aurait dû partir », Chiguy Lucau s'est ensuite entraîné avec le Red Star et paraît affûté et revanchard à la suite de son passage à Sedan où il a essentiellement joué en CFA 2 les deux dernières saisons. « C'est surtout dans les plans du président que je n'entrais plus, disait-il récemment. J'ai des regrets car je n'ai pas été jugé sur le terrain. Mais j'ai tourné la page sedanaise et j'ai besoin d'avancer. »

    En plus de Lucau, les Verts pourraient voir arriver d'autres éléments. « Nous présenterons un nouveau budget à la DNCG le 15 novembre, confirme Jaegli, ce qui nous permettrait effectivement d'engager l'un ou l'autre joueur. »

    L'Alsace
  • Il était temps que les Verts réagissent !
    Mais ils sont déjà bien loins du premier non-relégable !
  • D'un autre côté ils ont pris le temps d'identifier la cause de leurs maux et réagissent avec calme et - à priori - efficacité. C'est plutôt le signe des clubs sérieux et bien gérés.
Il faut être inscrit et connecté pour ajouter un commentaire. Déjà inscrit ? Connectez-vous ! Sinon, inscrivez-vous.
Connectés

Voir toute la liste


Stammtisch

Mode fenêtre Archives