Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Autres supporters

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Flux RSS 950 messages · 191.214 lectures · Premier message par kibitz · Dernier message par raukoras

  • http://i40.servimg.com/u/f40/12/20/26/69/img_1422.jpg

    Tshirt sorti par les Green Angels l'autre groupe ultra de Sainté. Original et frais, un peu dans la mouvance décalée des Tshirts Racingstub ce qui est assez rare dans la panoplie vestimentaire des supporteurs français.

    Je crois que je vais en offrir un à [login=soleil7 ], la couleur lui plairait. Il ne manque que Schilles dessus :p
  • http://tribunedecaen.free.fr/photos/2011-2012/cdl-16/auRevoir.jpg

    Le MNK - ultras caennais - arrêtent leurs activités à domicile, en cause les mauvaises relations avec le club. On se souviendra notamment des contrôles d'alcoolémie ciblés à l'entrée de leur tribune l'an dernier.
  • guigues a écrit, le 2011-08-17 15:15:14 :
    http://i40.servimg.com/u/f40/12/20/26/69/img_1422.jpg

    Tshirt sorti par les Green Angels l'autre groupe ultra de Sainté. Original et frais, un peu dans la mouvance décalée des Tshirts Racingstub ce qui est assez rare dans la panoplie vestimentaire des supporteurs français.

    Je crois que je vais en offrir un à [login=soleil7 ], la couleur lui plairait. Il ne manque que Schilles dessus :p


    Ok, avec plaisir j'accepte ! Come on the hoops !
    Pas besoin de mettre Schilles, il est dans mon coeur :))
  • Curiosité avec cette banderole faîtes d'écharpes adverses subtilisées lors de Dresden - Frankfuhrt.

    http://2.bp.blogspot.com/-viq0VkkwBE8/ToMKQjm8WCI/AAAAAAAAIZs/-zF...

    http://1.bp.blogspot.com/-RLUloZYP_K0/ToMKNHQBOnI/AAAAAAAAIZo/44W...



  • Los Borrachos del Tablon de River Plate.
    En D2, "expatriés", et toujours aussi performants.
  • Le monde se lâche avec cet article sur les Ultras Égyptiens. Comme quoi il faut dès fois regarder ailleurs pour comprendre ce qui se passe chez soi.

    Citation:
    Le Caire Correspondante - Entre deux gorgées de bière, Mohammed Gamal passe une main dans sa crinière gominée sous les regards amusés des clientes du bistrot. "Je me présenterais bien aux législatives en indépendant... Mon seul problème, c'est les femmes : elles m'adorent et ça se sait. En Egypte, ça craint", lance-t-il, dans un éclat de rire tonitruant. Avec un art consommé de la dérision, il agite ses bras musclés en signe d'impuissance, fidèle à sa réputation de blagueur. Mais pour ses admirateurs, il a bel et bien les moyens de ses ambitions, y compris pour les législatives, dont le premier tour aura lieu le 28 novembre.

    Pourtant, Mohammed Gamal n'est ni une star, ni un homme politique, ni un idéologue, ni même un révolutionnaire. C'est un héros d'un genre particulier : il se présente comme un "ultra", ce courant de supporteurs de football qui s'est développé en Europe et en Amérique latine depuis les années 1970 avant d'aborder les rivages nord-africains au début des années 2000. Entretenant une dévotion exacerbée pour leur club favori, les ultras se distinguent par leur critique du "football télévisé et marchandisé" et par leur hostilité vis-à-vis de la police, leurs démonstrations d'enthousiasme s'accommodant mal des restrictions imposées par les forces de l'ordre. Mais en Egypte, leur culture critique et rebelle a pris un sens particulier dans le contexte social et politique de la fin de règne d'Hosni Moubarak.

    Les premiers groupes ultras y sont apparus en 2005. Mohammed Gamal a été le fondateur, en 2007, de l'un des plus célèbres d'entre eux : les White Knights, supporteurs du Zamalek SC. Face à des structures sportives patriarcales et autoritaires, acoquinées avec les "patrons" du Parti national démocratique (PND) d'Hosni Moubarak, les ultras égyptiens revendiquent leur indépendance en critiquant le management des clubs et des fan-clubs. Ils deviennent vite la bête noire des médias sportifs, qui les décrivent comme des voyous communistes, des athées, des drogués et, à l'occasion, comme des "déviants sexuels".

    Ce mouvement, qui se développe d'abord sur Internet, prend rapidement une ampleur inédite qui inquiète les services du raïs. Dans un régime où les organisations sont interdites, les ultras se révèlent en effet capables de rassembler, autour d'un noyau dur de "parrains", des milliers de membres d'une vingtaine d'années qui se réunissent régulièrement, disposent de forums Internet et d'un budget autonome (financé par les fans) qui leur permet de monter de coûteuses chorégraphies à base de supports visuels. Pour se protéger, ils refusent le contact avec les médias, utilisent des noms d'emprunt (Mohammed Gamal est connu sous le sobriquet de Jimmy Hood), développent une culture du secret et des structures légères et relativement démocratiques, fondées sur des cercles de décision. Ils sont alors, après les Frères musulmans, les groupes les mieux organisés pour échapper à la tutelle du PND.

    Surtout, les ultras n'hésitent pas à se rebeller violemment contre les humiliations et la brutalité de la police. Dès 2007, ils entrent en confrontation ouverte avec le ministère de l'intérieur. Les affrontements se multiplient dans les stades, mais surtout dans les rues à l'occasion de véritables batailles rangées. "Les ultras ont été le premier groupe en Egypte à réagir à la violence et à l'oppression du ministère de l'intérieur par la violence", commente Ashraf El-Sherif, politologue et maître de conférences à l'Université américaine du Caire.

    La police commence à arrêter les leaders chez eux avant les matches et les fait comparaître devant des tribunaux militaires, poussant certains membres vers le hooliganisme. "J'ai été arrêté seize fois depuis 2005, parfois jusqu'à treize jours, affirme Mohammed Gamal, hilare, alors qu'il dit avoir eu le tympan éclaté et la mâchoire brisée. Mais la première fois, c'était même pas dans un stade, j'étais en vacances avec des amis à Dahab sur la mer Rouge, en 2001. J'avais à peine 20 ans. Ils m'ont arrêté avec vingt-cinq types qui n'avaient rien fait. Les flics, c'est ma passion, je les hais à en mourir."

    Au cours de ces affrontements, les ultras développent des techniques de combat de rue dont l'efficacité éclatera au grand jour sur la place Tahrir lors de la révolution. Les Egyptiens découvriront alors qu'ils sont les seuls à savoir mener des batailles rangées contre les forces de l'ordre. Au soir du 25 janvier, premier jour de la contestation, ils sont sur la place sans qu'aucune consigne officielle ait été donnée aux groupes par les "parrains".

    On les retrouve ensuite en première ligne sur tous les fronts : habitués aux gaz lacrymogènes, aux balles en caoutchouc et à franchir les murs du stade, ils savent renvoyer une grenade, sauter sur un camion de police, escalader les lampadaires et jouent un rôle logistique décisif dans les victoires remportées par les révolutionnaires. Créatifs, ils donnent aussi à la révolution ses slogans et ses rythmes emblématiques, typiques du répertoire des supporteurs. "A Tahrir, on s'est souvent cru au stade, surtout quand Moubarak a annoncé sa démission", se souvient avec émotion Ashraf El-Sherif.

    Cet héroïsme leur a valu une reconnaissance certaine parmi les activistes et l'admiration d'une grande partie de la jeunesse égyptienne. Mélange de fraternité romantique et d'individualisme forcené, leur style de vie provocant et déjanté impressionne une génération aux prises avec des carcans sociaux et religieux pesants. Leurs mots d'ordre et leurs emblèmes sont devenus les symboles d'une jeunesse qui a soif de rébellion. L'acronyme ACAB pour "All Cops Are Bastards" ("Tous les flics sont des bâtards") parsème aujourd'hui les rues du Caire aux côtés de tags désormais célèbres - comme celui de l'homme masqué qui fait un doigt d'honneur ou qui casse une télévision. Leur art de l'insulte fait les délices des activistes, et leurs chansons sont désormais une part incontournable d'une culture underground en plein essor fondée sur l'expression de soi, l'individualisme et le plaisir.

    Mais les ultras provoquent aussi l'intérêt des partis politiques. A cause de leur nombre d'abord. Les Ahlawy, les White Knights et les Blue Dragons (les trois groupes actuels les plus importants) réunissent aujourd'hui près de 20 000 membres actifs et sont susceptibles de mobiliser plus de 50 000 personnes. "Les ultras White Knights peuvent à eux seuls faire descendre 25 000 personnes prêtes à combattre dans la rue en quelques minutes", assure Mohammed Gamal.

    Pourtant, les ultras résistent aux appels du pied des partis et refusent de se positionner sur l'échiquier politique, cultivant un anarchisme farouche qui les fait se gausser des révolutionnaires eux-mêmes : "Sur la place Tahrir, tous les activistes nous ont poussés à mettre les Frères musulmans dehors, mais nous, on ne rentre pas dans ce jeu-là, déclare un jeune initié croisé place Tahrir. Les politiques nous appellent en permanence pour les manifestations. Mais on n'est pas les marionnettes des gens contre le système. De toute façon, on a fait cette révolution contre la police, c'est tout, pas pour les gens. Personne ne nous défendait avant, tout le monde nous prenait pour des racailles. Nos fans de la troisième heure, qu'ils aillent se faire voir."

    De fait, les ultras refusent jusqu'à présent d'imposer à leurs groupes des mots d'ordre politiques, soucieux de préserver leur grande diversité sociale qui les fait rassembler riches et pauvres, laïcs et islamistes, gauchistes, salafistes, libéraux et Frères musulmans, toutes différences dissoutes dans l'amour d'une même équipe. Cette retenue en déçoit certains : "L'angoisse provoquée par les ultras reflète un conflit de fond au sein de la société égyptienne entre deux rythmes de vie, l'un mou au point de ne pas se rendre compte de sa sclérose et l'autre enthousiaste, tumultueux et anarchique au point de ne pas aller jusqu'au bout de ses capacités révolutionnaires", regrette Ashraf El-Sherif.

    Pourtant, les ultras sont devenus depuis la révolution les critiques les plus virulents du ministère de l'intérieur et du Conseil militaire. Ils entretiennent à tout prix la révolte contre la police, refusant de faire la paix et participant en masse aux manifestations contre le Conseil supérieur des forces armées. Tous les matches sont désormais des occasions privilégiées de ridiculiser les policiers en leur rappelant leur défaite du 28 janvier - dépassée, la police avait été remplacée dans les rues par l'armée, - par des chants déjà cultes : "Corbeau stupide/T'étais nul en classe/T'as eu 10 sur 20 en payant un pot-de-vin/Mais t'as quand même pu t'offrir les meilleures facs/Pourquoi tu niches dans ma vie ?/Juste pour me la pourrir/On n'oublie pas Tahrir, fils de pute."

    Pour Amr Abderrahmane, membre de l'Alliance populaire socialiste, ce positionnement à part est l'aspect le plus "inspirant" des ultras : "Cette génération née sous Moubarak et avec Internet a été capable de créer une nouvelle identité anti-classe moyenne et de provoquer la moralité ambiante. Ils sont une face de la révolution que tout le monde voudrait oublier : celle de la rage, de la colère. Pas la face proprette à fleurs du jeune poli : la face anti-sociale, anti-famille, anti-institution, anti-morale. Ils utilisent le stade pour promouvoir cette nouvelle identité."

    Athlétiques, théâtraux, rapides, à demi dénudés, les ultras continuent à crier leur haine de la police et des militaires dans les manifestations en enchaînant leurs chorégraphies fétiches sous l'oeil réprobateur des salafistes et des mères de famille. "Il n'y a pas de virginité de la place Tahrir, commente Mohammed Gamal, laconique. Je me mets à poil si je veux."


    http://www.lemonde.fr/afrique/article/2011/10/17/egypte-generation-ultras_1589030_3212.html#xtor=RSS-3208
  • Les poètes polonais :

    http://www.europeanultras.com/wp-content/gallery/legia_3/legia-ch...
    (contre Tel Aviv)

    http://legionisci.com/photos12j/12rapid1_f78.jpg
    (en déplacement)

    La version suisse, plus blagueuse :

    http://www.rpcs-geneva.ch/servette%20fc%20-%20fc%20sion/slides/DS...
    (Genève)

    La version pétanque :
    http://i46.servimg.com/u/f46/16/96/81/35/u11.jpg
  • Le projet de stade à Chelsea bloqué par les supporters

    http://www.francefootball.fr/Medias/Photos/201110/644x416/le-proj...

    Chelsea n'a pu racheter ce jeudi les parts du titre de propriété de son stade de Stamford Bridge, détenues par une association (CPO) de supporters, afin de construire une nouvelle enceinte de 60.000 places sur un autre site. Lors d'une assemblée extraordinaire des propriétaires du stade londonien, 61,6% seulement des 5.796 votants de l'association ont approuvé la vente des parts aux dirigeants du club. Il fallait 75% pour valider la vente.

    Très attachés à Stamford Bridge (41.800 places), les supporters de Chelsea ont créé dès le milieu des années 90 cette association de propriétaires du terrain de Chelsea en vue de conserver leur site.

    FF
  • Six supporters de l'OM condamnés

    http://www.francefootball.fr/Medias/Photos/201201/644x416/six-sup...

    Six supporters des South Winners ont été condamnés ce jeudi par le tribunal correctionnel de Marseille à des peines allant de quatre mois à un an de prison avec sursis, pour des violences contre un autre groupe de fans, en 2009.

    Au début d'un match face au Chakhtior Donetsk, une quarantaine de membres des South Winners avait quitté les gradins pour aller agresser plus bas les dirigeants des Cosa Ultra. Sept personnes avaient été blessées, dont deux gravement (10 et 21 jours d'ITT).

    FF
  • Des fumigènes planqués dans leur vagin

    Le hooliganisme chez les femmes, ça existe aussi. Comme le révèle le quotidien suisse Le Matin, des femmes hooligans jouent les "chevaux de Troie" pour introduire des engins pyrotechniques dans les stades. Pour ce faire, leur technique est simple et efficace : elles glissent des pétards ou des fumigènes de taille réduite dans leur vagin. Ni vu ni connu.

    "Nous avons découverts plusieurs fois des préservatifs qui ont contenu des petits fumigènes dans les toilettes des femmes, la dernière fois dans le courant de la saison dernière", raconte Christian Python, responsable de la sécurité du Stade de Genève.

    La technique est astucieuse car elle permet de déjouer la sécurité dans les stades. Toute inspection des parties intimes doit être opérée par la police et requiert l'autorisation d'un juge. Or, ce sont souvent des entreprises privées qui se chargent de la sécurité dans les stades.

    Mais attention mesdames, ce stratagème est également risqué. Au cours d'un match du FC Zurich l'an passé, une femme a dû être transportée d'urgence à l'hôpital. Complètement abasourdis par le spectacle qui leur était donné de voir, les médecins ont dû extraire un engin pyrotechnique de ses parties intimes !

    SoFoot
  • La bêtise n'a vraiment pas de limite chez l'être humain X-(
  • Pas pour rien qu'on l'appelle le sexe faible. :-B

    :p
  • Dans ce cas précis, cela ne souffre d'aucune contestation :)) (+)
  • katzo68 a écrit, le 2012-01-23 16:18:32 :
    La bêtise n'a vraiment pas de limite chez l'être humain X-(

    c'est plutôt fun, non ?
  • faudrait pas tout mélanger non plus. Dans les journaux Suisses, ils apparentent ça à du hooliganisme, c'est un "raccourci" plutôt "fallacieux" !

    plus sérieusement, même si le procédé est plutôt rigolus, faut arrêter de voir le mal partout ! Si ces demoiselles ont voulu joindre l'utile à l'agréable, grand bien leur fasse après tout... :))
  • un tampon fumeux ou explosif,selon !!!
  • technique imparable en tout cas (+) pour rentrer des torches
  • J'en connais qui en on rentré en les plaçant savamment au niveau de la poitrine, d'autres (masculin comme féminin) entre les bourrelets...
  • lekost a écrit, le 2012-01-23 17:36:39 :
    faudrait pas tout mélanger non plus.


    Ne mélangeons pas les torches et les serviettes, tu as bien raison!

    en bonus:
    Attention spoiler - cliquez pour afficher




  • Ah les coquines...Dans la version les coquins y avait ça:2009

    C'est une pratique aussi inédite qu'inquiétante, découverte le week-end dernier par des policiers chargés du service d'ordre autour du match de Ligue 1 Le Mans - Nantes. Deux supporteurs du club nantais avaient en effet dissimulé des fumigènes dans leur anus afin de déjouer les contrôles à l'entrée. Agés de 18 ans, ils ont été interpellés, placés en garde à vue et seront jugés prochainement devant le tribunal correctionnel du Mans (Sarthe) pour avoir apporté des fumigènes dans une enceinte sportive. Le week-end dernier, devant le stade Léon-Bollée du Mans. Les cars de supporteurs nantais viennent de déverser les fans des Canaris venus assister au match. Les stewards du stade les soumettent à une « palpation de sécurité ». Sur deux jeunes supporteurs âgés de 18 ans, ils découvrent deux fioles remplies d'un liquide suspect. Face à l'embarras du duo, les stewards avertissent les policiers chargés du service d'ordre. Ces derniers ne tardent pas à identifier la nature du liquide. Il s'agit de poppers, un puissant vasodilatateur.enveloppés dans des préservatifs Détourné de son usage initial, le poppers provoque l'euphorie, la sensation orgasmique et la dilatation des muscles, notamment ceux de l'anus, ce qui en a fait depuis longtemps un produit utilisé comme « un jouet sexuel ». Interloqués par cette découverte, les policiers décident d'interroger les deux supporteurs un peu à l'écart de la foule . Et là, les jeunes garçons finissent par reconnaître qu'ils ont dissimulé des fumigènes à l'intérieur de leurs anus, enveloppés dans des préservatifs et que le poppers devait faciliter l'expulsion des objets une fois arrivés en tribune. Conduits au commissariat, ils ont passé la nuit en garde à vue avant d'être relâchés le lendemain matin avec une convocation pour le tribunal correctionnel où ils seront jugés pour tentative d'introduction de fumigène dans une enceinte sportive. Cet événement assez inquiétant a motivé la rédaction d'une note du service départemental d'information générale (ex-RG) de la Sarthe qui s'interroge : « Epiphénomène ou nouvelle pratique ? » La note rappelle aussi que depuis le début de la saison de Ligue 1, vingt-trois supporteurs ont été interpellés en possession de fumigènes à proximité des stades de football. Il y en avait eu cinquante-huit lors de la saison passée. Quant à l'usage pourtant interdit des fumigènes dans l'enceinte des stades, il reste important puisque plus de mille faits ont déjà été constatés depuis le début de la saison.

    Le Parisien

    ACAB
  • Affaire Taton: peines réduites

    La Cour d'appel de Belgrade a considérablement réduit les peines de prison prononcées contre 14 personnes condamnées pour la mort de Brice Taton, un supporteur français tué en 2009 dans la capitale serbe.

    Si les peines initiales prononcées par un tribunal de Belgrade en janvier 2011 allaient de 4 à 35 ans de prison, celles prononcées par la Cour d'appel vont de 4 à 15 ans de prison, selon un communiqué publié sur le site cette institution.

    "La Cour d'appel estime que le tribunal a correctement établi les circonstances (...) mais, pour la plupart des accusés, ces circonstances n'ont pas été prises en compte lorsque les peines initiales ont été prononcées", indique cette institution dans un communiqué. La Cour qui a maintenu le chef d'accusation de "meurtre aggravé" estime que même les peines réduites vont "pleinement couvrir la raison de la punition". Selon l'avocat de la famille Taton, Me Slobodan Ruzic, désormais seul le parquet ou les avocats des condamnés peuvent saisir la Cour suprême de cassation de Serbie.

    Il a précisé avoir informé la famille Taton de ce verdict, sans donner de détails sur leur réaction. "J'ai le sentiment qu'il s'agit d'une décision de compromis, afin de satisfaire le besoin de punir les meurtriers, mais aussi de réduire leurs peines, car la Cour n'a pas réussi à établir ce qui s'est passé exactement", lorsque Brice Taton a été tué, a-t-il poursuivi. Djordje Prelic et Dejan Puzigaca, tous les deux fugitifs depuis le drame, avaient écopé respectivement de 35 et de 32 ans de prison. Désormais, leur peines sont réduites respectivement à 15 et 14 ans. Deux autres personnes, Ivan Grkovic et Ljubomir Markovic, ont vu leurs peines initiales de 30 ans de prison chacun, réduites à 13 ans de prison chacun.

    Les quatre hommes étaient considérés comme les leaders du groupe et étaient accusés d'avoir "planifié et organisé" leur action. Les huit autres condamnés pour "meurtre aggravé", mis à part les quatre organisateurs, s'étaient vu infliger des peines de douze à quatorze ans. Selon la décision de la Cour d'appel, leurs peines vont désormais de 7 à 8 ans et demi de prison. Pour les deux derniers inculpés, Dejan Stankovic et Stepa Petrovic, reconnus coupables de violences contre d'autres supporteurs français, les peines initiales étaient de respectivement 4 et 5 ans. La peine de Stankovic a été maintenue et celle de Petrovic ramenée à 4 ans. Brice Taton avait été mortellement frappé le 17 septembre 2009 à Belgrade, où il était venu assister à un match de l'équipe de Toulouse, dont il était supporteur, contre le Partizan Belgrade en Europa League.

    Quelques heures avant la rencontre, Brice Taton et ses compagnons avaient été attaqués avec une violence extrême par des supporteurs serbes dans le centre de Belgrade. Grièvement blessé à la tête et au thorax, Brice Taton est mort le 29 septembre dans un hôpital de Belgrade. Il avait 28 ans. Ce drame avait suscité une émotion considérable en France, mais aussi en Serbie, attirant de nouveau l'attention sur la violence de supporteurs sportifs serbes, dont s'était inquiété le président Boris Tadic lui-même.

    Eurosport
  • Suite à l'utilisation de très nombreux engins pyrotechniques dans la tribune Populaire Sud et constatant la répétition très fréquente de ces incidents depuis le début de la saison, et l'insécurité qui règne dans cette partie du stade, la Commission, après avoir entendu en procédure d'urgence le directeur de l'organisation et de la sécurité de l'OGC Nice (conformément aux articles 408 et suivants du règlement administratif de la LFP et à l'article 521 du règlement des compétitions de la LFP), a décidé de prononcer un huis-clos partiel par la fermeture de la tribune Populaire Sud sur le prochain match à domicile. Cette sanction est effective à partir du lundi 30 janvier 2012. La Commission ordonne son exécution provisoire. L'appel de cette décision est donc non suspensif.

    Ca devient n'importe quoi :-& :-& :-&
  • En même temps ça ne m'étonne guère, d'ailleurs ça m'étonne qu'ils ont pas fait avant ...
    Enfin bon depuis que moustache est la vaut mieux être assis et applaudir pas trop fort si on pas se faire sanctionner b-( .
  • ça va être rigolo, au dernier huis clos à Nice, ça avait donné un joli feu d'artifice depuis les alentours du stade, immeubles compris. Les Nicois avaient même parachuté des fumigènes sur le terrain :O
  • Quelques vidéos des Ultras Ahlawy, des Egyptiens qui chantent du Diams dans leur tribune en cramant des torches... =P~

    Impossible d'afficher la vidéo YouTube RIJsQSgK4J0 via l'API [Client error: `GET https://www.youtube.com/oembed?url=https://www.youtube.com/watch?v=RIJsQSgK4J0&format=json` resulted in a `403 Forbidden` response:
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