Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Les actionnaires du Racing

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Flux RSS 7505 messages · 585.425 lectures · Premier message par superdou · Dernier message par jmr

  • katzo68 a écrit, le 2010-05-17 05:34:49 :
    Gindorf amer. Sur les ondes de « France Bleu Alsace », l'ancien président Egon Gindorf (2003-2005), toujours actionnaire minoritaire et membre du pool de candidats régionaux à la reprise, a exprimé son amertume hier soir après la relégation du Racing en National : « Je crains que la misère en soit pas terminée. Un déficit de 7 à 8 millions est annoncé. Je ne crois pas que la nouvelle direction soit prête à débourser cette somme. Il va y avoir un plan social. Et trinqueront les salariés dévoués qui, pour la plupart, sont là depuis 20 ans. Le vrai responsable, c'est Philippe Ginestet. En quatre ans, il a vendu les meilleurs joueurs, détruit l'équipe. Il a déstabilisé le club en vendant les éléments importants. Je suis d'autant plus amer qu'en 2005, je lui ai cédé mes parts. Je me sens responsable. »

    L'Alsace


    Bien dit ! Il est où Ginestet en ce moment ? Il a pris la fuite ? En tout cas son million en cas de remontée en L1 il peut s'asseoir dessus, j'espère que c'est bien limité dans le temps !
  • Ou est Ginestet... Pas très loin, aux Internationnaux de Tennis de Strasbourg... Des bruits courent sur le fait qu'il aurait fait venir Sharapova (N° 13 ancienne N°1)... Il a encore quelques Euros lui, c'est certainement le moins débile en ce moment...
  • Bernard Tapie va surement racheter le Paris FC ! il aurait mieux fait de venir au Racing :-w par contre, c'est pas une bonne nouvelle pour le Racing car lui voudra rapidement grimper les echelons, avec le Paris FC, il va faire un club de L1 !
  • Bernard Tapie ? L'acteur ?
  • Commisaire Tapie :)
  • jean-marie a écrit, le 2010-05-18 10:36:37 :
    Bernard Tapie va surement racheter le Paris FC ! il aurait mieux fait de venir au Racing :-w par contre, c'est pas une bonne nouvelle pour le Racing car lui voudra rapidement grimper les echelons, avec le Paris FC, il va faire un club de L1 !


    Pourquoi, on ne voudra pas, nous ? :-/
  • guigues a écrit, le 2010-05-18 14:21:35 :
    Bernard Tapie ? L'acteur ?


    Non, le chanteur!

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  • En chiens de faïence

    L'hostilité va crescendo entre, d'un côté, les actionnaires londoniens et Jean-Claude Plessis, de l'autre, la Ville et ceux qui souhaitent que le Racing revienne dans des mains alsaciennes. Plus que jamais, la situation semble inextricable et l'avenir bouché. Ambiance, ambiance...
    La sanction est certes la même, mais les remèdes employés pour repartir du bon pied diffèrent du tout au tout. Alors qu'à Strasbourg, « chacun se balance la vaisselle à la gu... », dixit Jean-Claude Plessis, Guingamp a déjà évacué les débris consécutifs à sa relégation en National et s'est remis sérieusement au travail.
    En Bretagne, la saison prochaine se prépare dans la sérénité. Noël Le Graët, un temps tenté de jeter l'éponge sous le coup de la déception, a décidé de rempiler pour deux ans. L'emblématique président de l'En Avant a d'ores et déjà rassuré les employés, nommé son nouvel entraîneur, Jocelyn Gourvenec, et planché sur l'effectif amené à renvoyer illico presto le vainqueur de la Coupe de France 2009 en Ligue 2.

    L'incertitude lézarde les
    murs, déjà ébranlés par
    les saillies de toute part


    A la Meinau, l'incertitude lézarde les murs, déjà ébranlés par les saillies venues de toute part ces derniers jours. Personne ne sait plus sur quel pied danser (lire ci-dessous). Pascal Janin, par exemple, attend de « pouvoir rencontrer le président » pour être fixé sur son sort. Mais l'avenir de l'entraîneur alsacien, dont le contrat court jusqu'en 2011, parait presque anecdotique au regard de la situation générale du club.
    Dans le bureau présidentiel, Jean-Claude Plessis est un homme isolé. La ligne de fracture entre celui qui défend mordicus les intérêts des propriétaires londoniens et ceux qui plaident pour un retour du club dans le giron alsacien, à l'image du maire Roland Ries, n'a jamais été aussi nette et prononcée. Les deux camps se regardent en chiens de faïence, sans esquisser le moindre mouvement d'ouverture.
    Hier, Plessis a encore rappelé que « les actionnaires n'ont pas l'intention de déposer le bilan, comme le colporte la rumeur, encore moins de vendre. » Au contraire, l'ex-président de Sochaux et les Londoniens travaillent « tous ensemble sur le budget, qui va pouvoir être élaboré d'ici la fin de semaine. »

    « Les gens de bonne
    volonté ne vont pas
    abandonner le Racing »


    Du côté du pool des Alsaciens, cette attitude ne cesse d'inquiéter. Henri Ancel, le médiateur mandaté par Roland Ries cet hiver, craint que les ennuis enflent dans les prochaines semaines : « Il faut vraiment éviter que ça aille trop loin, même si les propriétaires ont déjà dépassé les bornes. »
    Confronté à « un manque total de visibilité », Ancel et les repreneurs entendent adopter « une position non interventionniste. » « Les Londoniens nous ont baladés durant deux mois avant de refermer la porte des négociations en mars, rappelle-t-il. Il est hors de question de formuler la moindre offre. Le jour où la situation sera clarifiée, on sera là. Les gens de bonne volonté ne vont pas abandonner le Racing. »
    Déjà plongé dans le chaos, le club peut-il poursuivre sa descente aux enfers ? Le passage devant le gendarme financier du football français, la DNCG, permettra peut-être d'y voir plus clair. Initialement programmée le 26 mai, l'audition du club strasbourgeois pourrait finalement être reportée, histoire de laisser à Jean-Claude Plessis le temps d'intégrer la nouvelle donne de la relégation.
    D'ici-là, le président compte dégraisser l'effectif « sans brader les bijoux de famille. » Tout le problème consiste à savoir si les propriétaires veulent juste rentrer dans leurs frais en vendant les - rares - joueurs un tant soit peu cotés avant de quitter le navire en perdition ou s'il est dans leur intention d'échafauder un vrai plan de relance, en y mettant les moyens financiers. Personne ne le sait.

    Les hommes comme
    Olivier Sadran ne
    courent pas les rues


    « Actuellement, tout le monde lave son linge sale en public, mais c'est peut-être un passage obligé pour repartir sur des bases saines, veut croire Pascal Janin. Il s'agit d'élaborer un projet sportif cohérent, comme l'avait fait Toulouse voilà quelques années après être tombé en National (à l'issue de la saison 200/2001). Il faudrait s'en inspirer. »
    Laissé pour mort, le Téfécé avait pu s'en sortir puis s'installer durablement en élite grâce à l'arrivée d'un jeune entrepreneur dynamique, Olivier Sadran. Las, ce genre d'homme ne court pas les rues. Au Racing, on est bien placé pour le savoir.

    DNA
  • Pour ne pas ajouter à la chienlit ambiante, « L'Alsace » a, ces dernières semaines, volontairement passé sous silence les déchirements des coulisses. Aujourd'hui que le désastreux verdict sportif est tombé avec la relégation en National, il est temps de rétablir certaines vérités. Premier épisode d'une série intitulée « L'enfer du décor » : le rôle occulte de Rolland Courbis.

    L'information a filtré la veille, mais elle paraît alors trop surréaliste pour être exploitée noir sur blanc. Le mardi 9 mars, Alain Fontenla, propriétaire « officiel » du Racing, mais en réalité homme de paille de Jafar Hilali, le président de Carousel Finance, est l'invité de RMC dans l'émission « Coach Courbis » animée par l'ex-entraîneur de Bordeaux, Marseille et Montpellier. Le trader tourangeau y arrive avec une idée en tête qu'il va mettre à exécution sans en mesurer les conséquences. Ou plutôt l'inconséquence.
    Alors que le RCS a, en deux mois, relevé la tête (14 e alors, avec 4 points d'avance sur la zone rouge), l'actionnaire majoritaire béotien sème une fois de plus le trouble en proposant en direct un poste de consultant à un technicien sorti de prison un mois plus tôt (1). L'intéressé, approché les jours précédents, mime la surprise. « Pourquoi pas ? », finit-il par lâcher du bout des lèvres.
    Depuis, son influence sur la vie du Racing ne s'est jamais démentie. Après la défaite à Istres le vendredi 9 avril (2-0), Hilali est catégorique : Courbis prendra l'équipe en main dès le lundi. Jean-Claude Plessis dissuade son actionnaire et le convainc d'attendre le résultat contre Dijon à la Meinau. D'autant que le bourreau du RCS avec Montpellier en mai 2009 est consigné dans la cité héraultaise avec un bracelet électronique de surveillance. Le succès face aux Bourguignons le 16 avril (3-1) offrira un énième sursis à Pascal Janin et, au Racing, six points d'avance sur le premier relégable à cinq journées de la fin.
    Ces derniers temps, alors que la situation sportive s'était de nouveau détériorée, le président se demandait s'il n'avait pas eu tort de s'opposer au limogeage d'un coach qu'il avait conforté quinze jours plus tôt (le 1 er avril) pour 2010-2011.
    Quand Courbis appelle Lacour
    Aussi, lorsque Hilali renoue avec Courbis le fil d'un dialogue jamais vraiment rompu, Plessis se garde-t-il d'intervenir. Il échange même avec le technicien (2). Le mercredi 5 mai, à 48 h d'un rendez-vous capital contre Le Havre à la Meinau, « Coach Courbis » appelle Guillaume Lacour. Relais de Pascal Janin dans le vestiaire et sur le terrain, le capitaine est impliqué malgré lui. Pour ne pas se mettre en porte-à-faux et éviter une énième crise, il demandera le silence radio sur l'information. « L'Alsace », qui en a eu vent, respectera son souhait. « Courbis m'a appelé un quart d'heure », ne dément-il pas à l'époque. « Il m'a passé ce coup de fil parce que les dirigeants le lui avaient demandé. Il s'est contenté de choses simples que je devais répercuter auprès du groupe. Il n'est pas entré dans les détails sur le plan tactique, mais m'a conseillé de dire à mes partenaires de jouer le plus simplement et le plus sereinement possible. »
    À 800 km de distance, Courbis joue ainsi les conseillers occultes. Mardi, sur l'insistance des propriétaires londoniens, il élabore un onze de départ pour le dernier match. Jean-Claude Plessis le soumet à Pascal Janin et lui suggère d'entrer en contact avec son confrère. Toujours droit dans ses bottes, le coach refuse catégoriquement.
    « C'est scandaleux »
    Jeudi, à la veille du baisser de rideau à Châteauroux, P. Janin prend la parole devant ses hommes avant l'entraînement. Il les informe que sa direction a tenté de lui imposer les choix d'un autre entraîneur et leur dévoile son refus. Il justifie alors son intervention par une unique préoccupation : qu'ils ne l'apprennent pas par la bande, d'autant qu'un joueur est déjà au parfum. Depuis plus d'une semaine, Guillaume Lacour ne s'est pourtant ouvert à aucun coéquipier de son échange téléphonique avec Courbis.
    « Au début, nous n'avons d'ailleurs pas très bien compris ce que le coach voulait dire », témoigne un Racingman, « Milovan (Sikimic) a dû lui demander d'être plus précis. C'est là qu'il nous a parlé de Courbis. Guillaume a alors révélé avoir été approché. »
    Dans le vestiaire, certains sont révoltés par la manière. « Quand j'ai entendu ça, je suis tombé sur le cul », confie un autre. « Vous vous rendez compte ? Utiliser de tels procédés à 48 h d'un match décisif pour la survie du club, c'est effrayant et lamentable. Si les dirigeants étaient persuadés que le coach n'était pas capable de remplir sa mission, il valait mieux qu'ils le virent plutôt que d'employer ces méthodes susceptibles de le fragiliser. Ça se fait dans tous les clubs du monde et c'est la règle du jeu dans le foot. Mais ce qu'ils ont fait là, c'est scandaleux. »
    Voilà donc dans quelles conditions abracadabrantesques le Racing a préparé le match du désastre. En agissant dans son dos d'abord, puis en tentant sur la fin de l'associer à une démarche pour laquelle il n'avait pas été consulté, les dirigeants ont scié la branche sur laquelle leur entraîneur (3) était assis. Pour le résultat que l'on sait. Ça n'explique pas tout, mais ça en dit long. Les prochains épisodes de « L'enfer du décor » compléteront la chronique d'une descente annoncée.
    Stéphane Godin
    (1) Il a passé cinq mois en prison dans l'affaire des transferts frauduleux de l'OM entre 1997 et 1999.
    (2) Dans son bureau lors d'un entretien individuel avec « L'Alsace » le jeudi 13 mai, Plessis reconnaîtra avoir eu Courbis au téléphone, en éludant la teneur de leurs discussions.
    (3) Pascal Janin a refusé de commenter nos informations. Une position compréhensible à l'heure où son avenir se joue en coulisses.
  • C'est vraiment triste...
  • Dérapages incontrôlés
    Le budget 2009-2010 du RCS est passé d'un déficit prévisionnel de 1,7 million d'euros en mai 2009 à 7,7 millions un an plus tard. Comment expliquer une telle dérive ? Après les deux premiers volets publiés lundi et mardi, voici le troisième épisode de notre série intitulée « L'enfer du décor ». Ou la saga d'un club relégué pour la première fois de son histoire au 3 e niveau national.
    29 mai 2009. Battu 2-1 à Montpellier, le Racing échoue pour un point dans sa course à la remontée immédiate en Ligue 1. Des deux hypothèses budgétaires préparées pour 2009-2010, l'option Ligue 2 est fatalement retenue. Selon la projection établie quinze jours plus tôt, le club bouclera l'exercice suivant – autrement dit, celui qui s'achèvera le 30 juin 2010 – avec un déficit de 1,7 million d'euros. Le Racing est alors censé enregistrer 15,6 millions de recettes, contre 17,3 millions de charges.
    Ce budget prévisionnel englobe une rentrée financière non négligeable, mais très aléatoire : la prime de 3 millions que Sportfive, l'agence qui gère le marketing du RCS, doit lui verser contractuellement en cas de remontée en L 1.
    On connaît la suite : un début de saison catastrophique, une guerre sans précédent dans les coulisses du club et l'obligation de ranger très vite aux oubliettes l'éventuelle prime de 3 millions. À la mi-novembre, Philippe Ginestet et son président délégué Jean-Luc Herzog revoient leur copie. Les chiffres valsent. Les millions aussi. Pas forcément dans le bon sens.
    Les recettes ne s'élèvent alors plus qu'à 12,798 millions. Une baisse d'environ 3 millions d'autant plus logique qu'elle correspond au bonus prévu dans le contrat de Sportfive. Il y a belle lurette en effet que le rêve d'une accession s'est évanoui.
    Mais si les recettes ont subi une déflation sensible, les charges, elles, ont déjà sérieusement augmenté. Le nouveau budget détaillé fin novembre devant la DNCG ( 1) fait état de 19,3 millions de dépenses. Deux millions de plus qu'estimé six mois plus tôt. Conséquence : à quelques jours de la revente au fantôme Roman Loban, qui cache derrière son suaire Jafar Hilali et Alain Fontenla, les propriétaires actuels, le déficit a grimpé à 6,5 millions. « Oui, mais après la campagne foireuse du recrutement estival, nous avons dû enrôler en dernière minute Nicolas Fauvergue, Habib Bellaïd et Arnaud Maire pour renforcer l'équipe », se défend Herzog, « ce qui a engendré 1,5 million de charges supplémentaires. Ce montant, ajouté à la prime de Sportfive à laquelle nous ne pouvions plus prétendre, explique le différentiel entre mai et novembre (2). Avec les derniers renforts de l'été, la masse salariale est passée de 4,5 à 6 millions. »
    8,6 millions de trou si la Ville ne paie pas
    Malgré un mercato hivernal sous masse salariale contrôlée, le Racing va poursuivre son dérapage financier avec les nouveaux propriétaires. Le mercredi 12 mai, l'actionnaire majoritaire Alain Fontenla, le directeur général Christophe Cornelie et le président Jean-Claude Plessis présentent en conseil d'administration la dernière mouture d'un budget 2009-2010 qui n'a cessé d'évoluer. Si, en six mois, les recettes sont restées sensiblement les mêmes (12,9 millions), les charges se sont encore alourdies de 1,3 million, pour culminer à 20,6 millions. Le déficit s'élève désormais à 7,7 millions (Ndlr : hors cessions de joueurs et abandons de comptes courants d'actionnaires), alors qu'il inclut pourtant le partenariat de la Ville (900000 euros environ) toujours pas versé.
    L'indemnité de départ versée à Herzog (200000 euros) et les émoluments de Luc Dayan, Benoît Rousseau, Christophe Cornelie (3) et Hervé Seck (et de l'expert financier Bernard Barberi ?) payés par la holding Racing Investissements, mais refacturés à la SASP Racing (4), expliquent en partie le creusement du déficit. Le justifient-ils ? C'est une autre histoire. Et encore ne tient-on pas compte ici du litige en cours avec l'ex-président Julien Fournier, licencié sans ménagement. La procédure engagée par ce dernier devant la commission juridique de la Ligue, (voir ci-contre) qui pourrait déboucher sur un procès aux Prud'hommes si aucun accord amiable n'était trouvé, fait courir un risque maximum de 1,3 million à un RCS déjà méchamment plombé.
    Stéphane Godin
    (1) Direction nationale du contrôle de gestion de la Ligue de Football Professionnel.
    (2) Philippe Ginestet et Jean-Luc Herzog avaient aussi intégré à ce budget présenté fin novembre une baisse des recettes de billetterie pour 300000 euros.
    3). Le directeur général délégué reste officiellement salarié de Carousel Finance, la société de Jafar Hilali, qui facture ses prestations à la SASP pour un montant estimé à 12500 euros bruts par mois, plus 2000 euros de frais.
    (4) Société anonyme sportive professionnelle. Ce subterfuge a été dénoncé par l'actionnaire minoritaire Pignatelli après le dernier CA (« L'Alsace » de lundi 17 mai).

    L'Alsace du 20 mai 2010
  • Tous des mauvais si je gérais mon budget comme certains .
  • Et où on va trouver cet argent ? :|s

    La vente de joueur peut au maximum apporter 4M€, il en manque encore autant.

    La relégation administrative approche, les gars :|s :|s :|s
  • Alors reprenons :

    Gueye : 1.5 - 2 M€
    Fanchone : 1M €
    Othon : 1M €
    Bah : 1M €

    Niang : vendu 10 M€ -> 30% (?) du bénéfice de 3M -> ~ 1M €
    Gameiro : vendu 12M € -> 30% (?) du bénéfice de 9M -> ~ 3M €

    Avec tout ça on peut espérer récupérer jusqu'à 9 millions d'euros (dans l'hypothèse la plus optimiste). [-o
  • Si on récupère la moitié fin Août cela serait déjà bien.
  • superdou a écrit, le 2010-05-20 09:03:15 :
    Et où on va trouver cet argent ? :|s

    La vente de joueur peut au maximum apporter 4M€, il en manque encore autant.

    La relégation administrative approche, les gars :|s :|s :|s



    Complétement d'accord avec ça d'autant plus que nous savons tous que le mercato s'emballe surtout la dernière semaine et que les présidents de club n'ont aucune raison de se presser pour acheter un joueurs du RCS. Si ce dernier dépose le bilan (ce qui est inéluctable d'après moi, mais j'espère me planter) les joueurs seront libres de signer ou bon leur semble sans couter un seul centime.
  • Après vérification c'est bien 30% sur Gameiro au-dessus de 3M, donc on peut espérer environ 2 à 2.5M d'€ s'il part autour de 10-12M d'€.
    Pour Niang c'est 15% au-dessus de 6.7 M, donc s'il part autour de 10M d'€ ça fait environ 500k€.

    Bref pour ces 2 là au mieux on récupère 3M d'€.
  • mouloungoal a écrit, le 2010-05-20 09:32:04 :
    Alors reprenons :

    Gueye : 1.5 - 2 M€
    Fanchone : 1M €
    Othon : 1M €
    Bah : 1M €

    Niang : vendu 10 M€ -> 30% (?) du bénéfice de 3M -> ~ 1M €
    Gameiro : vendu 12M € -> 30% (?) du bénéfice de 9M -> ~ 3M €

    Avec tout ça on peut espérer récupérer jusqu'à 9 millions d'euros (dans l'hypothèse la plus optimiste). [-o


    Lors du passage devant la DNCG il faudra présenter un budget où je doute fort que les hypothèses de ventes et plus-valus soient acceptées par la Commission de contrôle, ces gens demandent du concret et non d'un buget à laGinestet qui prévoyait le paradis au lieu de l'enfer. Dans l'hypothèse de vente des joueurs que tu viens de citer il ne restera au Racing que des ruines
  • Ce qui représente à peine la somme d'argent que le Racing doit impérativement récupérer avant fin juin (entre 2 et 2,5 millions d'euros) :-s
  • Citation:
    Dans l'hypothèse de vente des joueurs que tu viens de citer il ne restera au Racing que des ruines.

    On n'a pas le choix, vendre Gueye, Fanchone, Othon et Bah c'est tenter de sauver le club...
    Derrière Gameiro et Niang ont 90% de chances d'être vendus au mercato, je pense sincèrement qu'au total on récupèrera 7 à 8M d'€ de ces différentes ventes. De toute façon c'est simple on n'a pas le choix !
  • Sauf que ce n'est pas nous qui décidons et dans la mesure ou le RCS est pris a la gorge, il y a des fortes chances qu'ils soient obligés de brader certains joueurs s'il veux récupérer un peu de fric. (En espérant que des offres arrivent rapidement, chose dont je doute)
  • Un club Turc a proposé 1M pour Bah, allez emballé c'est pesé! :)
    Suivant!
  • Non non. Un club turc SERAIT intéressé et POURRAIT éventuellement mettre 1 million d'euro. Il y a une grande nuance. ;)
  • pur-et-dur68 a écrit, le 2010-05-20 08:19:28 :
    . Selon la projection établie quinze jours plus tôt, le club bouclera l'exercice suivant – autrement dit, celui qui s'achèvera le 30 juin 2010 – avec un déficit de 1,7 million d'euros. Le Racing est alors censé enregistrer 15,6 millions de recettes, contre 17,3 millions de charges.
    Ce budget prévisionnel englobe une rentrée financière non négligeable, mais très aléatoire : la prime de 3 millions que Sportfive, l'agence qui gère le marketing du RCS, doit lui verser contractuellement en cas de remontée en L 1.


    Assez hallucinante cette gestion des comptes du club :O

    Un déficit d'1.7 M€ qui lui même englobe une prime exceptionnel et variable de 3 M€...bref on comprend un peu mieux le déficit qu'on nous annonçait il y a quelques semaines et notamment la demande de la DNCG qui imposait à Fontenla un apport en compte courant.

    Mais j'avoue rester scotché par l'écart des charges et recettes du budget strasbourgeois mais comment la doublette Ginette/Herzog a t il pu aussi mal gérer financièrement notre club... I-)
  • En se remplissant les poches :-s oui, je sais, c'est un peu tiré par les cheveux comme raisonnement :(
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Stammtisch
  • backhoe 😂😂
  • athor Le meilleur hommage à Matz Sels, c'est de bien écrire son nom
  • sylvain67 sissoko méritait un hommage, seltz etc etc
  • sylvain67 Je pense que ces dernières années beaucoup de joueurs ont aidé à redresser le club et mérite plus que gameiro
  • sylvain67 pour au final revenir quand le club était de retour en ligue 1 depuis quelques années déjà
  • sylvain67 mais dans les faits c'est un joueur qui a fait un an et demi en pro puis il est partis à lorient puis paris puis séville
  • sylvain67 Je suis d'accord l'histoire est belle le joueur formé au club qui revient en fin de carrière
  • sylvain67 Je trouve personnellement que on en fait beaucoup avec gameiro...
  • rachmaninov Son départ a été annoncé 48h avant le match, difficile d'organiser un hommage grandiose en si peu de temps
  • supporter67 Kevin méritait bien plus que de voir banderole sur BC dehors
  • supporter67 salut à tous, décu par la manque d'hommage en tribune pour Kevin & Ibra
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