Pascal Johansen
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doloreslenain2jard1 a écrit, le 2009-07-25 13:11:46 : piconcitron a écrit, le 2009-07-25 13:06:14 :
- son coeur ne bat que pour Strasbourg , mais bon il est parti à Metz !
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C'est marrant comme ce détail a été oublié pour Saint Gilbert ...
Je ne suis pas certain, mais il me semble que Gilbert a été décoré pour son oeuvre et à obtenu l'appellation de Saint après son passage à metse justement.
Pour rappel, il a fait descendre ce club en D2 après qu'il ai tâché 35 années durant la première division française, ce n'est pas rien et ça mérite toute notre estime :D.
Plus sérieusement, il n'est pas parti de Strasbourg pour signer à metse.
Comme Pouliquen, lui aussi respecté ici et qui lui aussi n'a jamais démenti aimer Strasbourg ou le Racing, il a signé la bas après une période de chômage ou après avoir évolué dans un autre club. C'est une petite différence, mais elle reste importante aux yeux de simple(t)s supporters que nous sommes.
Différence qui fait également que certains joueurs comme Niang ou Strasser ont étés bien acceuillis par le public de la Meinau ou sur les forums internet qui ne les ont jugés que sur leurs prestations.
Même Sébastien Schemmel, ordure parmi les ordures s'il en est, aurait sans aucun doute bien vécu son expérience strasbourgeoise, après un temps d'adaptation, s'il avait signé. -
Nan mais moi après je dis ça comme ça. Perso, je ne voue pas une haine farouche envers le club grenat. Le derby c'est chouette ça remplit le stade ( enfin nan .. même plus) et on s'échange quelques politesses via virages interposés, mais c'est tout.
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A participé au match Metz - Bastia 1-0 (Coupe de la Ligue) le : titulaire
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A participé au match Vannes - Metz 3-0 (Ligue 2) le : titulaire
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A participé au match Metz - Istres 2-0 (Ligue 2) le : titulaire
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Dans le Republicain Lorrain aujourd hui !
"Johansen,une fois delivre d'un poste de milieu gauche trop etriqué pour ses qualites, , en fin de 1 mi temps , il a su conduire le jue messin avec inspiration,apportant une plus value technique appreciable. Son centre parfait, de la gauche,a offert la balle du premier but messin à Cissé.
Metz s'est trouvé un meneur, à tous points de vue."
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Si on était pas dans notre situation actuelle, j'en rigolerais...
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Il s'est sorti les doigts du cul sur un match. Il l'a fait chez nous ponctuellement. On en reparle fin décembre pour rigoler si vous voulez.
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A noter qu'il a droit un article sur lui dans l'équipe d'aujourd'hui...."Johansen a la clé"...laquelle
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A participé au match Brest - Metz 2-1 (Ligue 2) le : titulaire
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Il me semble acquis que c'est la clé des champs :p
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A participé au match Metz - Bastia 1-0 (Ligue 2) le : titulaire But
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Il faut bien avouer qu'il fait un super match ce soir.
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Faut bien avouer qu'il faut être désespéré pour regarder un match de Metz. :p
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Source
Sur les côtés, PIED et JOHANSEN sont progressivement montés en puissance. Buteur décisif, l'ancien Strasbourgeois s'impose progressivement comme le véritable dépositaire du jeu messin. -
A participé au match Metz - Tours 2-1 (Coupe de la Ligue) le : titulaire Avertissement
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A participé au match Nîmes - Metz 1-1 (Ligue 2) le : titulaire
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A participé au match Metz - Tours 1-1 (Ligue 2) le : titulaire
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Pascal Johansen a disputé l'intégralité de la rencontre entre Metz et Tours (1-1).
L'Alsace -
il a joué en retrait, récupérateur-relayeur
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C'est dommage qu'il soit partis. J'ai regardé quelques minutes d'un match de Metz et il a fait un super match. Récuperateur et tout de suite vers l'avant. Dommage...
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Bof, je veux pas relancer la polémique, mais pour un bon match il en sortait 8 passables voir nazes chez nous depuis son retour en 2004... Y'a d'autres joueurs que je regrette largement plus que lui (Kanté, Niang, au hasard!)
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Je crois que le problème de Johansen aura vraiment été le choix de ses clubs.
A Strasbourg tout le monde attendait monts et merveilles de lui faute d'avoir d'autres bons joueurs alsaciens dans l'équipe.
A Marseille la pression du résultat et l'attente du public était constante.
Je crois qu'il se serait beaucoup mieux exprimé dans un club moyen, sans trop de pression sur ses épaules. La preuve semble-t-il à Metz.
Dommage, il est vraiment passé à côté de sa carrière de bon footballeur.
Moi aussi je le regrette, mais je le préfère bon ailleurs que malheureux ici. -
Euh jusqu'à son départ à Marseille, il 'était pas mauvais du tout hein!
Certes avoir un Martins à ses côtés, ça devait aider... -
A participé au match Metz - Dijon 0-0 (Ligue 2) le : titulaire
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90 minutes pour Johansen
Pascal Johansen est un des hommes de base de Metz cette saison. Disputant les 90 minutes vendredi face à Dijon, il n'a pas pu aider son équipe à trouver le chemin des filets (0-0).
L'Alsace -
A participé au match Metz - Valenciennes 2-0 (Coupe de la Ligue) le : titulaire But
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A participé au match Le Havre - Metz 2-0 (Ligue 2) le : titulaire remplacé à la 61'
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Johansen buteur
Pascal Johansen a vecu une belle soirée mercredi avec le FC Metz, en ouvrant le score sur penalty face à Valenciennes. Crédité d'une belle performance, le Colmarien a éliminé l'équipe de L1 (2-0) et se déplacera à Lyon en 8e de finale. Samedi, en championnat, il a cédé sa place après l'heure de jeu lors de la défaite au Havre (2-0).
L'Alsace -
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On dirait qu'il est en train de pondre un oeuf... :)
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A participé au match Metz - Laval 3-2 (Ligue 2) le : titulaire But
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Ce soir il a pondu un but sur penalty qui a donner la victoire au FC Metz à la 86° minute !
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Johansen offre la victoire à Metz
Le FC Metz revient de loin. Mené 2-0 à la pause face à Laval, le club lorrain a renversé cette délicate situation. Bourgeois a inscrit un doublé, avant que le Colmarien Pascal Johansen ne transforme le penalty de la victoire à la 86e minute.
L'Alsace -
A participé au match Nantes - Metz 2-2 (Ligue 2) le : titulaire
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A participé au match Metz - Guingamp 2-0 (Ligue 2) le : titulaire
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A participé au match Châteauroux - Metz 1-2 (Ligue 2) le : titulaire
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Le Grenat lui va aussi
Pascal Johansen est à la baguette d'un FC Metz presqu'irrésistible au mois d'octobre. Bien dans son corps, inspiré dans son foot, le milieu de terrain s'épanouit.
On peut visiblement renaître à trente ans. Pascal Johansen en est l'illustration. Plutôt fantomatique pour sa première saison en Lorraine perturbée par des pépins physiques, il a retrouvé des couleurs. Au terme d'une préparation sans nuage, la petite cylindrée a peaufiné son coffre initial. Avec ses trois buts et deux passes décisives en quinze matches, toutes compétitions confondues, le milieu de terrain n'est pas loin d'être rayonnant ces temps-ci.
Celui qui a fait ses classes entre les SR Colmar et le Racing, constitue l'un des points forts du FC Metz depuis trois mois. Collectivement, sur les bords de la Moselle, il a pu y avoir quelques retards à l'allumage.
« On était plus frustré qu'inquiet »
« Mais on était plus frustré qu'inquiet, souligne le n°28, au lendemain de la 5e victoire décrochée par la bande à Pouliquen, à Châteauroux (1-2). On a toujours eu le sentiment de faire des bonnes choses, même si cela ne se traduisait pas au classement. » De l'autre côté du col de Saverne, la confiance ne s'est pas délitée avec les deux défaites enregistrées lors des trois premières journées.
Depuis le 17 août, le club au Graouly a disputé dix rencontres de L 2 et il n'a perdu qu'une fois (au Havre 2-0). « D'abord, on s'est appuyé sur de la stabilité, souligne l'ancien international espoir. Le nouveau président (ndlr : Bernard Serin) n'a pas fait sauter l'entraîneur à la fin de la saison. A part les joueurs en fin de contrat, on a gardé tout le monde et l'ambiance est plus saine. »
Sans se projeter à moyen terme, refroidi par un printemps qui a fait perdre de vue aux Lorrains la perspective de remonter immédiatement, Johansen apprécie l'instant présent. « Je me sens vraiment bien, j'ai bien encaissé le boulot lors de la préparation et, puisque j'enchaîne une deuxième saison ici, j'ai l'impression de prendre de l'importance dans le vestiaire », prévient-il.
« Déjà le foutoir avant que la saison ne commence »
A l'heure d'évoquer la situation du Racing, le jeu des questions-réponses s'inverse naturellement. Pascal Johansen tente un commentaire, 72 heures avant un rendez-vous évidemment particulier pour celui qui a porté dix saisons durant, le maillot ciel et blanc.
« Le Racing a fait parler de lui en dehors du terrain, constate-t-il. C'était déjà le foutoir avant que la saison ne commence. J'appelle de temps en temps Habib Bellaïd. J'espère que ça ne va pas durer trop longtemps. Le problème, c'est que le maintien, c'est un état d'esprit différent à avoir. » A deux points du Havre, 3e, le FC Metz et Pascal Johansen sont loin de ces considérations. Ils ont le podium dans le viseur.
DNA -
A participé au match Metz - RCS 1-0 (Ligue 2) le : titulaire Avertissement
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A participé au match Sedan - Metz 1-1 (Ligue 2) le : titulaire
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A participé au match Dole Jura - Metz 1-1, 1-3ap (Coupe de France) le : titulaire But
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A participé au match Metz - Clermont 2-1 (Ligue 2) le : titulaire remplacé à la 32'
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A participé au match Metz - Ajaccio AC 2-0 (Ligue 2) le : titulaire remplacé à la 80'
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Le Colmar de Johansen
En juin 1997, Pascal Johansen avait laissé Colmar derrière lui. Le 13 décembre 2009, celui qui est passé par le Racing, l'OM et le FC Metz, jouera dans sa ville natale avec le maillot grenat sur le dos. "Pagalou" est de retour, chez lui.
Il est né à Colmar, a vécu rue de Turckheim, de l'autre côté de la voie ferrée, en bordure d'une ZUP, et ne pensait déjà qu'au foot. « Avant même de marcher, j'avais constamment un ballon de foot dans mes mains », dit le Messin, vainqueur avec le Racing de la Coupe de France (2001), puis de la Coupe de la Ligue (2005).
Faut dire qu'avec un père (Bernard) et un frère (Frédéric) - décédé à 20 ans en décembre 1992 alors qu'il était un espoir du football français - fous de foot, il n'avait pas trop le choix.
« Aux SRC, j'ai porté tous les maillots. Même celui des vétérans »
« Dès que je pouvais jouer, je jouais. Le Stade des Francs était ma deuxième maison, peut-être même la première tellement je passais de temps aux SR Colmar, sourit Pascal Johansen. Ma mère, Hélène, et mon père, allaient me voir jouer le samedi et, le lendemain, c'était au tour de mon frère. On passait notre vie au stade à faire des fêtes avec les parents des autres joueurs. Les copains venaient ensuite dormir à la maison ou j'allais dormir chez eux. »
Il suivait son père, aussi dirigeant des SRC - il a longtemps tenu le club-house -, presque partout. Parfois même sur le terrain. « C'était quelque chose le dimanche matin. La veille, je jouais avec les juniors puis on allait faire la fête. Le lendemain matin, vers 9h, il arrivait parfois à mon père de venir dans ma chambre pour me réveiller. Généralement, il venait d'avoir un de ses coéquipiers au téléphone qui le prévenait qu'il ne pourrait pas venir. Alors, dès qu'il manquait un joueur chez les vétérans, je jouais avec lui. Aux SRC, j'ai donc porté tous les maillots, même celui des vétérans. Tu te rends compte, un vétéran de quinze-seize ans », rigole-t-il.
On le sent poindre dans ses propos, il a presque certainement la nostalgie de cette époque. « Les SRC, c'était une famille à mes yeux. C'est l'esprit amateur. Tu te bats pour un maillot, pour une ville, dit-il. Quand tu passes pro, tu peux changer de club tous les six mois. Ce n'est pas pareil. »
On le pousse (à peine) à parler encore de ces SR Colmar qu'il « porte toujours dans le coeur » et des hommes qui l'ont marqué. « Ils sont tellement nombreux. Je vais en oublier et je vais encore me faire engueuler. Bon, on va commencer par Mimi Chevrier, Jean Emmeneger et Sam Aisani, le monstre sacré. Eux m'ont tout appris à l'école de foot, très réputée depuis toujours. Les bases, le respect à avoir et tout ça. Je n'ai pas le droit de ne pas penser à eux parfois. Et puis, il y a eu des gens comme Raoul Baechler, Claude Wilhelm ou Yves Bischoff. »
Il y aura aussi Claude Steib qui le lancera en DH lorsqu'il avait à peine dix-sept ans. « Je l'avais déjà eu en cadet et... comme prof de sport à l'école. Ça c'était très mal passé par ma faute. C'était ma période con-con, comme celle que connaissent tous les jeunes de cet âge. J'étais réticent à tout conseil », rigole aujourd'hui Pascal Johansen.
« Il m'a retrouvé en senior et il m'a alors couvé comme personne. Il me ménageait, me faisait souffler quand c'était nécessaire. En quelques mots, il ne m'a pas grillé alors que je voulais toujours jouer. Je lui dois beaucoup. On avait terminé champion d'Alsace. C'est un superbe souvenir. »
Cette saison 96/97, surtout, il évoluera à côté d'Olivier Roth. « Depuis tout gamin, j'allais voir tous les matches des seniors. Et lui était déjà en équipe première quand je n'étais que poussin. C'était une vraie fierté de jouer dans la même équipe que lui », dit Pascal Johansen qui épatait déjà par sa vision du jeu.
Il croisera aussi la route d'un certain Dominique Lihrmann, désormais directeur sportif du club, au sport-études de Colmar. « De tous, j'ai appris des choses. Il m'est impossible d'oublier ces souvenirs. Ce sont certainement les plus beaux de ma carrière. »
Dans la foulée, il rejoindra le Racing, passera professionnel sous les ordres d'Yvon Pouliquen (déjà) qui le lancera en Ligue 1 début 2000 face à... Metz (1-1). Pascal Johansen avait changé de surnom. "Pagalou" était devenu "Pasci".
Dimanche, il n'hésitera pas : ce sera "Pagalou", le Colmarien au coeur vert, que le public verra. « C'est la première fois que j'affronterai mon club formateur en match officiel. Ce sera particulier. Je suis toujours le parcours des SRC même si je ne connais plus personne dans l'effectif. Ce sera un vrai match de Coupe », dit celui qui s'est fait à la vie messine et aux combats de la L 2. « Je me plais bien dans ce club et dans cette ville. »
Dans quelques jours, il n'aura qu'un regret. « Celui de ne pas revoir le Stade des Francs, là où tout a commencé pour moi. » Là où un gamin, haut comme trois pommes, qui ne marchait pas encore, regardait jouer son père. Et voudra plus tard l'imiter...
DNA -
Quelque chose pour bien résumer le mec:
-un bon match avec doublé à la clé.
-après son second but et avoir essuyé quelques sifflets (logique vu que Metz mène à ce moment là), gros plan sur lui qui balance: "bande de fils de putes".
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