[Arrivée] Nicolas Belvito
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captainflirtAu fait tous ces recrutements en attaque : il est mort Kébé ? -
Presque...
Plus sérieusement, c'est dommage car ce joueur n'a certainement rien a envier a YENGA ou BELVITO a mon avis. -
Belvito veut rebondir
Nicolas Belvito ne connaît pas ses nouveaux coéquipiers, mais se dit prêt à s'intégrer. Photo Jean-Marc Loos
Très peu utilisé à Dijon, le grand avant-centre arrive à Strasbourg avec l'espoir d'y trouver du temps de jeu. Il signera officiellement aujourd'hui.
Il a longtemps patienté hier après-midi à la Meinau, mais n'a rien vu venir. Du moins pas la lettre de résiliation que le Dijon FCO devait adresser au Racing. Du coup, Nicolas Belvito, joli poupon de 1,89 m et 80 kg, ne devrait s'engager officiellement avec le RCS qu'aujourd'hui, une fois le document arrivé. Une fois aussi la traditionnelle visite médicale passée cet après-midi.
Sauf contretemps, le futur ex-attaquant dijonnais, qui n'a disputé que neuf matches de L 2 en une saison et demie (1 but), sera strasbourgeois jusqu'en juin, avec une année supplémentaire en cas d'accession. Il vient en Alsace relancer une carrière freinée en Côte d'Or et espère être qualifié pour le déplacement de samedi à Cannes.
Nicolas, pourquoi quitter Dijon où vous aviez signé en 2009 et où il vous restait six mois de contrat ?
Ça fait un an et demi que j'y suis barré par Sebastian Ribas, qui vient d'être élu meilleur joueur de L 2 en 2010 (1). Depuis un an, le coach (Patrice Carteron) me demande de patienter. Sebastian devait partir en juin, puis en septembre, puis encore en décembre. Mais il est toujours là. A 24 ans, j'ai besoin de temps de jeu. J'ai soif de jouer, de m'éclater sur le terrain. Le Racing me permet de pouvoir le faire, même si je sais qu'il y aura de la concurrence. Mais cette concurrence sera saine - ce qui n'était pas forcément le cas à Dijon - et bénéfique pour le groupe et moi.
N'est-ce pas une régression que de redescendre en National ?
Pas du tout. Le passé récent l'a montré : le National peut aussi être l'antichambre de la Ligue 1. Certains joueurs y sont passés pour relancer leur carrière et ont retrouvé l'élite. Pour moi, c'est une opportunité. D'autant que Strasbourg est un club avec une identité, un palmarès et une histoire. Une terre de foot aussi, contrairement à Dijon.
On a dit que le Paris FC et le DFCO étaient tombés d'accord pour votre départ dans le club parisien ?
C'est tout à fait ça. Ils s'étaient plus ou moins entendus.
« J'ai encore à progresser »
Ma signature à Paris a même été annoncée dans les journaux locaux alors qu'il n'y avait rien de fait. Je n'ai pas trop aimé être considéré comme un bout de viande.
Comment se sont noués les premiers contacts avec Strasbourg ?
Grâce à l'agent Frédéric Dobraje (2), ancien directeur sportif de Dijon qui venait souvent voir nos matches et connaissait ma situation. Jafar Hilali travaille avec Fred. Je l'ai rencontré, lui et Laurent Fournier, à Paris entre Noël et Nouvel An. Le président a tenu un discours positif. Aujourd'hui, le club part de loin pour la montée. Mais c'est possible. Si d'aventure il devait échouer, je suis certain qu'il serait armé pour jouer les premiers rôles la saison suivante.
Sa situation délicate ne vous a-t-elle pas dissuadé ?
Elle m'effrayait davantage l'an passé en Ligue 2. Quand on voyait la qualité de l'effectif strasbourgeois et ses résultats, on se disait : « Quelque chose ne tourne pas rond. » Là, j'ai le sentiment que ça change, que les dirigeants repartent sur un challenge positif, avec l'envie de remonter d'abord en L 2, puis en L 1 à plus long terme. En plus, j'ai eu des contacts avec le coach (Laurent Fournier) qui, comme moi, est de la région lyonnaise. Ça s'est fait simplement et naturellement. Si Stéphane Noro et Yannick Yenga ont pu s'engager, il n'y aura pas de souci pour moi non plus.
Dans quel état de forme êtes-vous ?
Je suis prêt. Bien sûr, le rythme de la compétition me manque. Mais je me sens bien.
Comment vous définiriez-vous ?
Je suis un pur avant-centre, droitier. Je joue en pivot, même si je peux aussi prendre la profondeur. Je pense avoir une bonne frappe de balle, être plutôt à l'aise techniquement. Il me manque peut-être de la vitesse d'exécution sur deux ou trois mètres. Alors, je travaille. J'ai encore à progresser dans tous les domaines. Sinon, je ne serais pas en National. Je ne suis pas Ronaldinho (sourire).
Recueilli par Stéphane Godin
(1) Par France Football. L'avant-centre uruguayen a inscrit 16 buts en L 2 en 2009-2010 et déjà 9 cette saison.
(2) Agent de Stéphane Noro notamment.
L'Alsace -
Pourquoi pas d'essai pour ce joueur alors que même Noro a été testé une semaine?
Présente t-il autant de garanties que cela? Ses stats laissent penser le contraire, et j'ai peur d'un bide le concernant... -
Bah je trouve qu'au moins il est réaliste.
Moi cet interview ça me va. Reste à le voir jouer mais au moins ses réponses sont intelligentes. Même la dernière mdr -
Dobraje tu le fous à la porte il revient par la fenêtre, on dirait.
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Je suppose que tu lui préfères pas l'autre zouave suisse et ses filières pourries
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A noter que la lettre de résiliation de la 3e recrue de l'hiver, l'attaquant Nicolas Belvito (ex-Dijon), n'est toujours pas arrivée.
« Il a un document attestant qu'il est libre, mais la lettre officielle de résiliation n'a été signée ni par le président de Dijon, ni par Nicolas Belvito lui-même. Nicolas est rentré là-bas pour tenter de la récupérer », s'inquiète l'entraîneur strasbourgeois qui dit ne pas vouloir attendre trop longtemps que l'imbroglio se démêle.
L'Alsace -
"Quand on a joué le Racing, la saison dernière, on sentait bien que quelque chose ne tournait pas rond." extrait de son entretetien au DNA
Sacrément révélateur des problèmes de l'an dernier pour que ça soit ressenti même sur le terrain -
Bon, il a intérêt à être bon celui là!!! Est ce qu'il pourra jouer avec la CFA ce week-end?
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Belvito, ça coince
Alors que l'attaquant était à la Meinau lundi, il a regagné Dijon hier pour régler des détails administratifs, pas si anodins que cela.
Il semblait bien décidé à rebondir en Alsace. Mais les apparences peuvent être trompeuses. En fait, Nicolas Belvito, l'attaquant attendu pour renforcer l'escouade offensive strasbourgeoise, n'est plus tout à fait sûr de terminer la saison au Racing.
En effet, contrairement à ce qu'il laissait entendre, le joueur barré par Ribas en Bourgogne n'a pas résilié son contrat avec le club de L 2. Pour continuer à pouvoir revendiquer quelques indemnités ? La question se pose. Dans tous les cas, il est impossible pour le club strasbourgeois de l'engager tant que le joueur n'a pas réglé sa situation avec son futur-ex club et notamment son président.
DNA -
il fait la Une des DNA et l'Alsace et n'a meme pas résilié son contrat avec Dijon?!!!!
quelle intelligence ou plutot stupidité,pourquoi le RCS doit toujours tomber sur des Cas? -
Parce qu'il est géré par des cas ?!
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On ne sait même pas encore les causes exactes et tout le monde lui fait déjà un projet d'intention ... :(
Le mec ne joue pas et le Racing lui offre cette possibilité. Si il veut encore faire 6 mois sur le banc ça sera pour sa pomme ...
Le précédent BAKARI a laissé des traces dis donc
:))
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Projet d'intention ?
C'est bien lui-même qui a déclaré avoir rompu son contrat avec Dijon, ce qui est finalement inexact, il est toujours sous contrat avec ce club.
Je pense surtout que le mec a voulu couvrir ses arrières, il est venu voir comment c'était au Racing avant de rompre, histoire de ne pas se retrouver dans un club de merde.
Et vu ce qu'il a dû voir, ça m'étonnerais qu'il revienne. D'un autre côté, on pourrait alors faire signer Baning. -
Non, moi je fais un procès d'intention à nos dirigeants !
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oui c'est bien connu,à Strasbourg on fait toujours le proces des dirigeants!
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Lol en voilà une bonne nouvelle de guignol.
Je voudrais pas dire mais ce joueur me semble déjà une vrai tare pour venir en mentant à ses futurs employeurs. Ca préfigure rien de bon. -
Menteur, opportuniste, mercenaire => HAUS Belvito et merci d'avoir contribué à souiller l'image du club !
Bon vent sur le banc de Dijon !
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Encore un qui ne sait pas faire de courrier avec AR.
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Allez bon vent, on ne râte surement pas grand chose.
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Où est Belvito ?
S'il n'est pas encore annulé, le transfert de Nicolas Belvito au Racing est encore loin d'être conclu.
Hier midi, Jean-Marc Pellissier, secrétaire général du Dijon FCO auquel l'attaquant est lié jusqu'en juin, a empoigné son téléphone pour appeler la rédaction de « L'Alsace ». Il tenait à apporter certaines précisions sur la signature retardée du joueur à Strasbourg. « J'ai lu dans vos colonnes que la lettre de résiliation n'était pas arrivée à Strasbourg lundi. C'est faux. Le directeur sportif Jean-Luc Witzel a sollicité lundi après-midi le document que j'ai scanné et envoyé aussitôt à sa secrétaire. J'ai en ma possession les preuves que ça a été fait. Si Nicolas Belvito avait signé tout de suite l'avenant de résiliation et nous l'avait retourné, notre président l'aurait paraphé à son tour et nous l'aurions envoyé à la Ligue. C'est le mode opératoire habituellement en vigueur dans notre club. Belvito prétend aussi que nous étions tombés d'accord avec le Paris FC et voulions lui forcer la main. Là aussi, c'est faux. Notre position est la même qu'il y a un mois et demi quand Amiens s'est manifesté pour lui. Simplement, Paris a eu la courtoisie de nous appeler pour s'enquérir de la situation contractuelle du joueur chez nous, ce que n'a jamais fait Strasbourg. Nous n'avons eu aucune nouvelle de la direction strasbourgeoise. Pas avant ce début de semaine en tout cas. Nicolas préfère aller à Strasbourg qu'à Paris ? C'est son choix et nous ne nous y opposerons pas, puisque nous ne demandons rien à quiconque et n'attendons rien, financièrement, de son départ. »
Averti pour avoir séché l'entraînement
Alors, quoi ? Jean-Marc Pellissier reconnaît à mi-mots que Belvito tente d'obtenir de Dijon une compensation financière. « Il a posé la question vendredi, oui. Mais notre président Bernard Gnecchi a été clair. Il lui a dit : ''Tu n'obtiendras rien de Dijon. Ou tu retrouves ta liberté pour te relancer comme tu le souhaites, mais sans indemnité compensatoire, ou tu restes.'' En fait, Nicolas est très mal conseillé. »
Après cette entrevue, l'attaquant avait pourtant annoncé aux dirigeants strasbourgeois avoir résilié son bail en Bourgogne. Mais placé face à cet imbroglio, Jean-Luc Witzel a préféré le renvoyer mardi matin à Dijon « pour tenter de régler le problème. Il n'est pas question d'engager un joueur dont la situation contractuelle avec son club n'est pas claire. Ça ne veut pas dire que son arrivée ne se fera pas. Mais Nicolas doit d'abord régler son problème avec le DFCO. »
Le problème justement, c'est que depuis mardi, Dijon n'a aucune nouvelle de son attaquant. « Il n'est pas présent à l'entraînement et n'est pas passé dans nos bureaux », regrette J.-M. Pellissier, « Je ne comprends pas pourquoi Nicolas Belvito n'a pas signé. Ce serait déjà réglé. » Hier, le toujours Dijonnais a dû recevoir par courrier recommandé avec AR un avertissement pour avoir séché l'entraînement début 2011.
L'Alsace -
Autant tenter de relancer M'Bongo en attaque et recruter Baning plutôt que d'essayer de débloquer une situation où le joueur et son agent (Fred Dobraje, par ailleurs l'agent de Furlan quand celui ci était chez nous ...) mènent le Racing en bateau ...
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"Je crois beaucoup en Nicolas Belvito"
El Jafardo s'est encore une fois fait enfumer (+) -
katzo68 a écrit, le 2011-01-13 05:25:04 : Où est Belvito ?
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athor a écrit, le 2011-01-13 07:28:50 : Autant tenter de relancer M'Bongo en attaque et recruter Baning plutôt que d'essayer de débloquer une situation où le joueur et son agent (Fred Dobraje, par ailleurs l'agent de Furlan quand celui ci était chez nous ...) mènent le Racing en bateau ...
Du même avis, M'Bongo a encore une carte à jouer ! Inutile de charger le secteur offensif en quantité...
Discussion verrouillée.