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Retour sur ce derby qui ne restera pas dans la mémoire des habitués de la Meinau mais dont se souviendra Mikael Dorsin.
Un derby est souvent l'occasion d'ambiances très spéciales et celui-ci n'a pas dérogé à la règle. Si seulement 18 000 spectateurs viendront braver le froid pour assister à cette rencontre, les supporters sochaliens quant à eux sont venus en nombre et garnissent allégrement le secteur visiteurs. Ce soir, au traditionnel kop bleu et blanc s'ajoutera un inhabituel et très coloré kop jaune et bleu acquis à la cause de l'équipe visiteuse.
Les minutes qui précédent la rencontre seront le théâtre de la traditionnelle bataille vocale entre les deux kops, les uns répondant aux autres. Puis au moment de l'entrée des joueurs, c'est l'heure du tifo confectionné par les UB90 à base d'étendards bleus et blancs et d'un voile représentant le logo du club (le vrai, pas l'hérétique...). Le résultat est tout simplement somptueux ! La suite sera malheureusement beaucoup moins glorieuse... Notre équipe est pleine de bonne volonté mais est dominée par une équipe de Sochaux monstrueuse de maîtrise. Dorsin est largement fautif sur les deux buts et cela, l'impitoyable public de la Meinau ne le pardonnera pas. Le pauvre Suédois vivra un véritable calvaire lors de sa fin de première période en étant copieusement sifflé. Il sera d'ailleurs remplacé à la pause, impossible en effet de jouer sereinement dans ces conditions. Espérons pour lui qu'il connaîtra des jours meilleurs sous le maillot bleu et que ce match ne sonnera pas le glas de sa carrière strasbourgeoise, comme ce fut le cas pour Aziz Rabbah en 1998 lors de circonstances similaires.
La bataille des kops a finalement tourné à l'avantage du kop jaune qu'on entendra beaucoup plus malgré les chants constants entonnés par les UB90 mais suivis plus timidement. Seuls le génie de Pontus Farnerud, la découverte de la classe et du culot de son petit frère Alex et quelques déboulés de Mamadou Niang, toujours aussi combatif mais un peu en dedans ce soir là, parviendront à arracher des cris d'admiration de la part du public. Le kop applaudira tout de même son équipe à la fin du match, un Racing vaillant mais simplement inférieur à son adversaire du jour. Bassila, Lacour, Drobny et les frères Farnerud viendront saluer longuement le quart de virage. Sinon, ce ne fut pas vraiment une soirée mémorable... Un derby qui ne restera donc pas dans la mémoire collective des supporters du Racing.
Les minutes qui précédent la rencontre seront le théâtre de la traditionnelle bataille vocale entre les deux kops, les uns répondant aux autres. Puis au moment de l'entrée des joueurs, c'est l'heure du tifo confectionné par les UB90 à base d'étendards bleus et blancs et d'un voile représentant le logo du club (le vrai, pas l'hérétique...). Le résultat est tout simplement somptueux ! La suite sera malheureusement beaucoup moins glorieuse... Notre équipe est pleine de bonne volonté mais est dominée par une équipe de Sochaux monstrueuse de maîtrise. Dorsin est largement fautif sur les deux buts et cela, l'impitoyable public de la Meinau ne le pardonnera pas. Le pauvre Suédois vivra un véritable calvaire lors de sa fin de première période en étant copieusement sifflé. Il sera d'ailleurs remplacé à la pause, impossible en effet de jouer sereinement dans ces conditions. Espérons pour lui qu'il connaîtra des jours meilleurs sous le maillot bleu et que ce match ne sonnera pas le glas de sa carrière strasbourgeoise, comme ce fut le cas pour Aziz Rabbah en 1998 lors de circonstances similaires.
La bataille des kops a finalement tourné à l'avantage du kop jaune qu'on entendra beaucoup plus malgré les chants constants entonnés par les UB90 mais suivis plus timidement. Seuls le génie de Pontus Farnerud, la découverte de la classe et du culot de son petit frère Alex et quelques déboulés de Mamadou Niang, toujours aussi combatif mais un peu en dedans ce soir là, parviendront à arracher des cris d'admiration de la part du public. Le kop applaudira tout de même son équipe à la fin du match, un Racing vaillant mais simplement inférieur à son adversaire du jour. Bassila, Lacour, Drobny et les frères Farnerud viendront saluer longuement le quart de virage. Sinon, ce ne fut pas vraiment une soirée mémorable... Un derby qui ne restera donc pas dans la mémoire collective des supporters du Racing.
