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- Par marc
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Les 20 000 spectateurs annoncés étaient presque tous présents à la Meinau espérant voir leur Racing prendre sa revanche. Le réalisme et la maîtrise sochalienne ont vite remis les pendules à l'heure, Strasbourg enregistrant sa 4ème défaite à dom
Au coup d'envoi, ni Abdessadki, ni Camadini ne figurent dans le Onze de départ. Kombouaré a tenté un coup de poker en alignant d'entrée Alexander Farnerud sur le côté droit et en relançant Guillaume Lacour au poste habituellement occupé par Le Pen. Derrière, Dorsin et bien présent et devant Niang fait son retour aux côtés de Chapuis. Les premières offensives sont alsaciennes mais dès la 7ème minute, Sochaux fait parler la poudre par Pierre-Alain Frau. Décalé sur la droite par une longue passe de Pedretti, l'attaquant doubiste dans un angle impossible décoche une volée terrible et PAF ! But ! Vincent Fernandez ne peut rien faire (0-1, 7ème).
Le Racing est cueilli à froid. Les Lionceaux tiennent bien le ballon grâce à un classieux Pedretti et à un Oruma très à l'aise face aux Alsaciens. Sochaux déroule son jeu bien décidé à doubler la mise. Un quart d'heure après le premier but, le même Pierre-Alain Frau mystifie le jeune Dorsin, centre directement devant le but et assiste tout sourire à une relance hasardeuse de la défense Strasbourgeoise qui profite à Mickael Isabey posté en embuscade qui ne se fait pas prié pour tromper le portier alsacien des 16 mètres (0-2, 24ème).
On commence à craindre le pire dans les travées de la Meinau tant le jeu proposé par le Racing est limité. Mamadou Niang a beau bien remué sur le front de l'attaque, le cadet des Farnerud a beau s'activer pour dynamiser les offensives, le score ne bouge pas. Les Sochaliens maîtrisent le jeu et attendent les Strasbourgeois. Juste avant la mi-temps, on est cependant à deux doigts de voir Pontus Farnerud réduire le score, sa superbe frappe de demi volée allant s'écraser sur la transversale du but de Gnanhouan. La mi-temps est sifflée et il est difficile d'imaginer le Racing revenir au score tant Sochaux a la main mise sur la rencontre.
Au retour des vestiaires, Dorsin laisse sa place à Abdessadki. Deroff se charge du côté gauche tandis que Lacour passe à droite de la défense. La deuxième mi-temps se résumera à des offensives alsaciennes, Sochaux attendant tranquillement dans son camp faisant preuve de sérieux et de professionnalisme. Les frères Farnerud qui étaient titularisés ensemble pour la première fois font le jeu et sont les seuls à se démarquer côté strasbourgeois. Le Racing aura beau tenté tout au long de la mi-temps, il ne parviendra pas à marquer le moindre but. Certes, Chapuis, Niang et Pontus Farnerud auraient pu réduire la marque. Certes, l'arbitre aurait pu siffler un pénalty sur une main d'un défenseur sochalien suite à une frappe de Mouloungui rentré en cours du jeu. Mais avec des "certes" ou des "si", on refait le monde. Ce soir, Sochaux était tout simplement un ton au-dessus, voire même plusieurs tons au-dessus. Le Racing reste trop naïf, pêche sans doute par sa jeunesse. A l'inverse, Sochaux montre l'exemple en faisant preuve d'une maîtrise et d'un réalisme à rendre jaloux.
La prochaine étape pour les Alsaciens, c'est Nantes à la Beaujoire. Le Racing n'y a plus gagné depuis 34 ans et n'a ramené que deux fois (en 32 confrontations) les points de la victoire de ce déplacement. Rien de très rassurant... même si la défaite est logique ce soir, on peut se permettre de continuer à croire dans ce nouveau Strasbourg. Nul doute qu'un jour la fougue et l'envie de ces jeunes finiront par payer...
Le Racing est cueilli à froid. Les Lionceaux tiennent bien le ballon grâce à un classieux Pedretti et à un Oruma très à l'aise face aux Alsaciens. Sochaux déroule son jeu bien décidé à doubler la mise. Un quart d'heure après le premier but, le même Pierre-Alain Frau mystifie le jeune Dorsin, centre directement devant le but et assiste tout sourire à une relance hasardeuse de la défense Strasbourgeoise qui profite à Mickael Isabey posté en embuscade qui ne se fait pas prié pour tromper le portier alsacien des 16 mètres (0-2, 24ème).
On commence à craindre le pire dans les travées de la Meinau tant le jeu proposé par le Racing est limité. Mamadou Niang a beau bien remué sur le front de l'attaque, le cadet des Farnerud a beau s'activer pour dynamiser les offensives, le score ne bouge pas. Les Sochaliens maîtrisent le jeu et attendent les Strasbourgeois. Juste avant la mi-temps, on est cependant à deux doigts de voir Pontus Farnerud réduire le score, sa superbe frappe de demi volée allant s'écraser sur la transversale du but de Gnanhouan. La mi-temps est sifflée et il est difficile d'imaginer le Racing revenir au score tant Sochaux a la main mise sur la rencontre.
Au retour des vestiaires, Dorsin laisse sa place à Abdessadki. Deroff se charge du côté gauche tandis que Lacour passe à droite de la défense. La deuxième mi-temps se résumera à des offensives alsaciennes, Sochaux attendant tranquillement dans son camp faisant preuve de sérieux et de professionnalisme. Les frères Farnerud qui étaient titularisés ensemble pour la première fois font le jeu et sont les seuls à se démarquer côté strasbourgeois. Le Racing aura beau tenté tout au long de la mi-temps, il ne parviendra pas à marquer le moindre but. Certes, Chapuis, Niang et Pontus Farnerud auraient pu réduire la marque. Certes, l'arbitre aurait pu siffler un pénalty sur une main d'un défenseur sochalien suite à une frappe de Mouloungui rentré en cours du jeu. Mais avec des "certes" ou des "si", on refait le monde. Ce soir, Sochaux était tout simplement un ton au-dessus, voire même plusieurs tons au-dessus. Le Racing reste trop naïf, pêche sans doute par sa jeunesse. A l'inverse, Sochaux montre l'exemple en faisant preuve d'une maîtrise et d'un réalisme à rendre jaloux.
La prochaine étape pour les Alsaciens, c'est Nantes à la Beaujoire. Le Racing n'y a plus gagné depuis 34 ans et n'a ramené que deux fois (en 32 confrontations) les points de la victoire de ce déplacement. Rien de très rassurant... même si la défaite est logique ce soir, on peut se permettre de continuer à croire dans ce nouveau Strasbourg. Nul doute qu'un jour la fougue et l'envie de ces jeunes finiront par payer...
