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- Par jybet
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Après un mois de janvier périlleux, le Racing n'a pas sombré mais au contraire s'est lâché et son bilan est plus que positif !
Il n'y a pas que dans le sport que le mois de janvier est difficile. Se remettre des réveillons de Noël et du nouvel an, ce n'est pas évident que ce soit pour un cadre supérieur ou pour un ouvrier. Redémarrer l'année avec de belles résolutions c'est bien beau, mais ce n'est pas facile de suite.
Dans le sport il semble que ce soit pareil et le Racing nous le fait remarquer presque tous les ans : après la trêve on ne le reconnaît plus. Cette année nos joueurs n'ont pas failli à la tradition et le mois de janvier fut très difficile.
Bilan de ce mois de janvier :
- 4 matchs de championnat et 2 petits points récoltés
- élimination à Sedan en Coupe de France
- qualification limite face à la modeste équipe de Clermont en Coupe de la Ligue
Rien de bien glorieux, vous l'admettrez !
Mais alors une fois ce maudit mois de janvier écoulé, on a retrouvé le Racing qui nous avait tant fait vibrer un samedi soir de novembre face à l' AJ Auxerre (ce soir-là Guy Roux l'avait même comparé à la Seleçao !). L'objectif maintien pouvait redémarrer de plus belle (car avant la trêve, nous étions bel et bien sorti de la zone des relégables au soir de notre victoire face à Rennes).
Tout débuta face à St Etienne en ½ finale de la Coupe de la Ligue (1-0), et oui pour la 4ème fois en 10 ans le Racing et tous ses supporters allaient regoûter aux joies d'une finale dans la capitale. Puis s'enchaînèrent un 5-0 face à Caen (score plus réalisé depuis 10 ans avec la réception de Martigues à l'époque), un 3-1 face au PSG (ce PSG à qui on n'avait jamais mis plus de 2 buts dans le même match depuis la remontée en L1 en 1992 ; ce même PSG qu'on n'avait plus battu en championnat depuis le 17/02/1996 et à qui on n'a mis seulement 5 buts à la Meinau lors des 10 dernières rencontres de championnat) et au passage une belle victoire 1-0 face au Sparta de Prague en match amical.
Et ce n'est pas la défaite à Nantes fin février qui allait nuire à cette remontée... car depuis cette contre performance, le Racing est tout simplement invaincu à l'extérieur avec tout de même des déplacements à Nice, Bordeaux, Auxerre et Sochaux (1 seul but encaissé et 8 points glanés sur 12 possible). Le seul point négatif pourrait être les défaites à domicile face aux deux premiers de notre championnat mais rappelons que la Meinau est resté inviolée de la défaite face à Nantes à la 9ème journée jusqu'à la venue du Champion incontestable qu'est l'Olympique Lyonnais à la 30ème journée... difficile de se plaindre !
C'est donc simple depuis début février 2005, le Racing a disputé toutes compétitions confondues 16 rencontres.
Résultat des courses :
- 9 victoires
- 4 nuls
- 3 défaites
- 21 buts marqués (soit 1,3 buts par match)
- 9 encaissés (soit 0,5 but par match)
- 9 matchs sans prendre de but
Alors même si depuis février l'hiver semble s'être quelque peu arrêté sur la France, le ciel bleu et blanc lui brille de tout son être et cela faisait bien longtemps qu'on n'était pas sur une telle série de résultats. Sans compter qu'on a dans ce même temps remporté un trophée, qu'on est qualifié pour la Coupe de l'UEFA 2006 et que le maintien est quasi assuré depuis la victoire de samedi à Sochaux (où l'on ne s'était plus imposé depuis 1995). Comme le dit si bien Jean-Yves Lafesse : Pourvu que ça dure !
Annexe : « Merci Jacky ! »
Tous ces retours en arrière et notamment à la saison 1995 ne sont pas sans nous rappeler qui avait pris l'équipe en main à l'époque en cours de saison ... un certain Jacky Duguépéroux qui fut par la suite débarqué de son poste d'entraîneur comme un malpropre par Patrick Proisy. Les années ont passé depuis et une fois n'est pas coutume, les mauvais sont partis et les bons restent ! Jacky semble ainsi tourner définitivement cette page Proisy-Mc Cormack qui lui a fait tant de mal, ainsi qu'à notre Racing.
Son émotion et son comportement dans les vestiaires à Bonal samedi soir après la victoire montrent à quel point le coach du Racing est attaché aux valeurs les plus simples de ce superbe sport qu'est le football, ainsi qu'à ce club et à ses « garçons » comme il les nomme ! Une scène à voir et à revoir !
Dans le sport il semble que ce soit pareil et le Racing nous le fait remarquer presque tous les ans : après la trêve on ne le reconnaît plus. Cette année nos joueurs n'ont pas failli à la tradition et le mois de janvier fut très difficile.
Bilan de ce mois de janvier :
- 4 matchs de championnat et 2 petits points récoltés
- élimination à Sedan en Coupe de France
- qualification limite face à la modeste équipe de Clermont en Coupe de la Ligue
Rien de bien glorieux, vous l'admettrez !
Mais alors une fois ce maudit mois de janvier écoulé, on a retrouvé le Racing qui nous avait tant fait vibrer un samedi soir de novembre face à l' AJ Auxerre (ce soir-là Guy Roux l'avait même comparé à la Seleçao !). L'objectif maintien pouvait redémarrer de plus belle (car avant la trêve, nous étions bel et bien sorti de la zone des relégables au soir de notre victoire face à Rennes).
Tout débuta face à St Etienne en ½ finale de la Coupe de la Ligue (1-0), et oui pour la 4ème fois en 10 ans le Racing et tous ses supporters allaient regoûter aux joies d'une finale dans la capitale. Puis s'enchaînèrent un 5-0 face à Caen (score plus réalisé depuis 10 ans avec la réception de Martigues à l'époque), un 3-1 face au PSG (ce PSG à qui on n'avait jamais mis plus de 2 buts dans le même match depuis la remontée en L1 en 1992 ; ce même PSG qu'on n'avait plus battu en championnat depuis le 17/02/1996 et à qui on n'a mis seulement 5 buts à la Meinau lors des 10 dernières rencontres de championnat) et au passage une belle victoire 1-0 face au Sparta de Prague en match amical.
Et ce n'est pas la défaite à Nantes fin février qui allait nuire à cette remontée... car depuis cette contre performance, le Racing est tout simplement invaincu à l'extérieur avec tout de même des déplacements à Nice, Bordeaux, Auxerre et Sochaux (1 seul but encaissé et 8 points glanés sur 12 possible). Le seul point négatif pourrait être les défaites à domicile face aux deux premiers de notre championnat mais rappelons que la Meinau est resté inviolée de la défaite face à Nantes à la 9ème journée jusqu'à la venue du Champion incontestable qu'est l'Olympique Lyonnais à la 30ème journée... difficile de se plaindre !
C'est donc simple depuis début février 2005, le Racing a disputé toutes compétitions confondues 16 rencontres.
Résultat des courses :
- 9 victoires
- 4 nuls
- 3 défaites
- 21 buts marqués (soit 1,3 buts par match)
- 9 encaissés (soit 0,5 but par match)
- 9 matchs sans prendre de but
Alors même si depuis février l'hiver semble s'être quelque peu arrêté sur la France, le ciel bleu et blanc lui brille de tout son être et cela faisait bien longtemps qu'on n'était pas sur une telle série de résultats. Sans compter qu'on a dans ce même temps remporté un trophée, qu'on est qualifié pour la Coupe de l'UEFA 2006 et que le maintien est quasi assuré depuis la victoire de samedi à Sochaux (où l'on ne s'était plus imposé depuis 1995). Comme le dit si bien Jean-Yves Lafesse : Pourvu que ça dure !
Annexe : « Merci Jacky ! »
Tous ces retours en arrière et notamment à la saison 1995 ne sont pas sans nous rappeler qui avait pris l'équipe en main à l'époque en cours de saison ... un certain Jacky Duguépéroux qui fut par la suite débarqué de son poste d'entraîneur comme un malpropre par Patrick Proisy. Les années ont passé depuis et une fois n'est pas coutume, les mauvais sont partis et les bons restent ! Jacky semble ainsi tourner définitivement cette page Proisy-Mc Cormack qui lui a fait tant de mal, ainsi qu'à notre Racing.
Son émotion et son comportement dans les vestiaires à Bonal samedi soir après la victoire montrent à quel point le coach du Racing est attaché aux valeurs les plus simples de ce superbe sport qu'est le football, ainsi qu'à ce club et à ses « garçons » comme il les nomme ! Une scène à voir et à revoir !
