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Le Racing a enregistré hier sa première défaite à domicile sous l'ère Duguépéroux contre le probable futur champion de France. Le score (0-1) aurait d'ailleurs pu être bien plus lourd sans un Stéphane Cassard des grands soirs.
Après le match plus qu'acceptable contre Monaco en milieu de semaine, les supporters auraient pu s'attendre à mieux du coté de la Meinau pour ce match de gala, qui au final, n'aura pas totalement noircit les tribunes de monde.
Première surprise de la soirée, l'absence de dernière minute d'Abdessadki, qui s'ajoute à celles déjà connues de Pagis, et Le Pen, et la non-titularisation de Devaux en défense centrale, malgré ses très bonnes dernières sorties. Rude soirée pour les Strasbourgeois qui devront batailler dur pour espérer empocher le stricte minimum, autrement dit, le point du match nul !
Dès le début de la rencontre, les Lyonnais dominent et impressionnent. Leur envie de vouloir s'assurer au plus vite du quatrième titre de champions de France qui leur tend les bras est manifeste et le Racing, en face, ne fait pas le poids bousculé qu'il est dans tous les compartiments de jeu. Un gros travail collectif permet aux hommes de Le Guen d'enchaîner les grosses « occazes » lors des 30 premières minutes, à l'image de cette double reprise de volée de Wiltord à la 15ème , du tête à tête de Stéphane Cassard face à Malouda à la 22ème, ou encore de cette frappe détournée de Govou à la 30ème qui effleure le poteau strasbourgeois. Une chose est certaine, sans une prestation impériale/magistrale/incroyable/phénoménale (choisissez...) de Cassard, le Racing aurait pu rentrer aux vestiaires avec au moins 3 buts dans la besace. Le public ne se trompe vraiment pas lorsqu'il ovationne le portier alsacien à plusieurs reprises... c'est peu dire !
Les autres Bleus, quant à eux, sont presque inexistants, à croire qu'ils ont oublié leur objectif principal qui est de se maintenir en L1 le plus rapidement possible ! Les Strasbourgeois ont peur, peur de mal faire, et se regroupent tous en défense préférant regarder jouer l'ogre lyonnais plutôt que de prendre le match en main. Cette tactique s'avère finalement plutôt efficace, puisqu'ils arrivent, non sans mal, au quart d'heure de pause sur ce score flatteur de 0-0.
Au retour des vestiaires, on retrouve un Racing un peu plus en forme, qui arrive enfin à faire bouger Coupet, mais sans pour autant l'inquiéter. Le coup franc de Niang à la 48ème est nettement au dessus. Mais quelques minutes suffisent aux Lyonnais pour reprendre leurs esprits et inscrire ainsi le seul et unique but de la rencontre. Wiltord n'hésite pas, à la 58ème, à libérer les siens, et à infliger la sentence aux strasbourgeois suite à une longue transversale de Diarra maîtrisée parfaitement par l'attaquant de l'Equipe de France. Malgré une domination stérile, les Bleus ne parviennent pas à revenir au score et c'est finalement Lyon qui s'octroie les meilleures occasions de cette deuxième période. Mais Cassard veille au grain face à Juninho ou encore Nilmar en fin de rencontre. 1-0 score final.
Le Racing était usé physiquement et sans doute aussi mentalement après le bon nul de mercredi soir. Les absences de ses cadres lui ont causé beaucoup de tort et à aucun moment les Alsaciens n'ont su jouer comme ils avaient l'habitude de le faire dernièrement à la Meinau. Dans ce demi nauffrage, on retiendra toutefois les bonnes prestations d'Arthur Boka, de Mamadou Niang fidèle à sa combativité affichée ses derniers temps, ou encore de Guillaume Lacour. La sortie prématurée de Pascal Johansen a perturbé le milieu de terrain alsacien qui ne s'est jamais montré à la hauteur avec notamment un Christian Bassila vraiment très peu en vue.
Même si on pouvait se douter que le salut alsacien ne passerait pas par ce match, les trois points se sont envolés et les bleus luttent toujours et encore pour le maintien, d'autant plus que le mois d'avril sera difficile, avec des déplacements à Bordeaux et Auxerre, et les réceptions de Marseille et Lille.
Le coach et les joueurs souhaitaient se mettre à l'abri de la relégation avant la finale de la Coupe de la Ligue, mais force est de constater que cette affaire n'est pas gagnée d'avance...
Première surprise de la soirée, l'absence de dernière minute d'Abdessadki, qui s'ajoute à celles déjà connues de Pagis, et Le Pen, et la non-titularisation de Devaux en défense centrale, malgré ses très bonnes dernières sorties. Rude soirée pour les Strasbourgeois qui devront batailler dur pour espérer empocher le stricte minimum, autrement dit, le point du match nul !
Dès le début de la rencontre, les Lyonnais dominent et impressionnent. Leur envie de vouloir s'assurer au plus vite du quatrième titre de champions de France qui leur tend les bras est manifeste et le Racing, en face, ne fait pas le poids bousculé qu'il est dans tous les compartiments de jeu. Un gros travail collectif permet aux hommes de Le Guen d'enchaîner les grosses « occazes » lors des 30 premières minutes, à l'image de cette double reprise de volée de Wiltord à la 15ème , du tête à tête de Stéphane Cassard face à Malouda à la 22ème, ou encore de cette frappe détournée de Govou à la 30ème qui effleure le poteau strasbourgeois. Une chose est certaine, sans une prestation impériale/magistrale/incroyable/phénoménale (choisissez...) de Cassard, le Racing aurait pu rentrer aux vestiaires avec au moins 3 buts dans la besace. Le public ne se trompe vraiment pas lorsqu'il ovationne le portier alsacien à plusieurs reprises... c'est peu dire !
Les autres Bleus, quant à eux, sont presque inexistants, à croire qu'ils ont oublié leur objectif principal qui est de se maintenir en L1 le plus rapidement possible ! Les Strasbourgeois ont peur, peur de mal faire, et se regroupent tous en défense préférant regarder jouer l'ogre lyonnais plutôt que de prendre le match en main. Cette tactique s'avère finalement plutôt efficace, puisqu'ils arrivent, non sans mal, au quart d'heure de pause sur ce score flatteur de 0-0.
Au retour des vestiaires, on retrouve un Racing un peu plus en forme, qui arrive enfin à faire bouger Coupet, mais sans pour autant l'inquiéter. Le coup franc de Niang à la 48ème est nettement au dessus. Mais quelques minutes suffisent aux Lyonnais pour reprendre leurs esprits et inscrire ainsi le seul et unique but de la rencontre. Wiltord n'hésite pas, à la 58ème, à libérer les siens, et à infliger la sentence aux strasbourgeois suite à une longue transversale de Diarra maîtrisée parfaitement par l'attaquant de l'Equipe de France. Malgré une domination stérile, les Bleus ne parviennent pas à revenir au score et c'est finalement Lyon qui s'octroie les meilleures occasions de cette deuxième période. Mais Cassard veille au grain face à Juninho ou encore Nilmar en fin de rencontre. 1-0 score final.
Le Racing était usé physiquement et sans doute aussi mentalement après le bon nul de mercredi soir. Les absences de ses cadres lui ont causé beaucoup de tort et à aucun moment les Alsaciens n'ont su jouer comme ils avaient l'habitude de le faire dernièrement à la Meinau. Dans ce demi nauffrage, on retiendra toutefois les bonnes prestations d'Arthur Boka, de Mamadou Niang fidèle à sa combativité affichée ses derniers temps, ou encore de Guillaume Lacour. La sortie prématurée de Pascal Johansen a perturbé le milieu de terrain alsacien qui ne s'est jamais montré à la hauteur avec notamment un Christian Bassila vraiment très peu en vue.
Même si on pouvait se douter que le salut alsacien ne passerait pas par ce match, les trois points se sont envolés et les bleus luttent toujours et encore pour le maintien, d'autant plus que le mois d'avril sera difficile, avec des déplacements à Bordeaux et Auxerre, et les réceptions de Marseille et Lille.
Le coach et les joueurs souhaitaient se mettre à l'abri de la relégation avant la finale de la Coupe de la Ligue, mais force est de constater que cette affaire n'est pas gagnée d'avance...
