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- Côté tribunes
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- Par nicky
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Le Racing se déplaçait à Dijon pour affronter la réserve du DFCO. Environ 150 supporters l'ont accompagné.
Match en plein après-midi signifie forcément départ de bonne heure de la Meinau en ce frisquet dimanche matin.
Ce sont pas moins de trois bus qui sont du voyage vers Dijon. Si les UB90 font figure d'habitués en la matière, on note aussi la présence d'un bus affrété par le CCS et un autre mis en place par la Fédération des supporters, qui organisait ce faisant son tout premier déplacement.
Arrivés à Dijon sous un soleil radieux, la majorité des supporters Strasbourgeois investissent finalement la petite tribune du stade des Poussots. Ce dernier est bien garni, et tout acquis à la cause des Bleus et Blancs, si bien que l'on pourrait croire que ce n'est pas le Racing qui évolue à l'extérieur. Pour avoir échangé quelques mots avec une bénévole s'occupant de la buvette, ils n'ont jamais eu autant de supporters adversaires, pour un match de leur réserve. Ce qui a évidemment impressionné les quelques Dijonnais présents.
L'accueil dijonnais fut sympathique, et j'ai pu discuter un peu avec certains d'entre eux. Mention spéciale à la bénévole de la buvette qui m'a enlevé une bonne épine du pied en me rendant un service inestimable, ainsi qu'à l'entraîneur de l'équipe féminine de Dijon, venu encourager ses homologues masculins.
Sur le terrain, pas grand chose et les tribunes sont en conséquence assez calmes. Ou plutôt, la tribune, où a également pris place Frédéric Sitterlé. Fidèles à leurs habitudes, les UB90 ont assuré l'ambiance. Quelle ne fut pas la surprise de tous, quand un supporter strasbourgeois isolé de l'autre côté du terrain, a répondu aux UB90 lors du fameux chants "Aux Armes".
Le voyage retour s'est fait dans une purée de pois, et le sentiment de frustration devait être présent chez chacun, car les quatre points n'étaient pas dans la musette.
Ce sont pas moins de trois bus qui sont du voyage vers Dijon. Si les UB90 font figure d'habitués en la matière, on note aussi la présence d'un bus affrété par le CCS et un autre mis en place par la Fédération des supporters, qui organisait ce faisant son tout premier déplacement.
Arrivés à Dijon sous un soleil radieux, la majorité des supporters Strasbourgeois investissent finalement la petite tribune du stade des Poussots. Ce dernier est bien garni, et tout acquis à la cause des Bleus et Blancs, si bien que l'on pourrait croire que ce n'est pas le Racing qui évolue à l'extérieur. Pour avoir échangé quelques mots avec une bénévole s'occupant de la buvette, ils n'ont jamais eu autant de supporters adversaires, pour un match de leur réserve. Ce qui a évidemment impressionné les quelques Dijonnais présents.
L'accueil dijonnais fut sympathique, et j'ai pu discuter un peu avec certains d'entre eux. Mention spéciale à la bénévole de la buvette qui m'a enlevé une bonne épine du pied en me rendant un service inestimable, ainsi qu'à l'entraîneur de l'équipe féminine de Dijon, venu encourager ses homologues masculins.
Sur le terrain, pas grand chose et les tribunes sont en conséquence assez calmes. Ou plutôt, la tribune, où a également pris place Frédéric Sitterlé. Fidèles à leurs habitudes, les UB90 ont assuré l'ambiance. Quelle ne fut pas la surprise de tous, quand un supporter strasbourgeois isolé de l'autre côté du terrain, a répondu aux UB90 lors du fameux chants "Aux Armes".
Le voyage retour s'est fait dans une purée de pois, et le sentiment de frustration devait être présent chez chacun, car les quatre points n'étaient pas dans la musette.
