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- Par racing67400
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Après un bon match nul récolté à Arles une semaine plus tôt, le Racing a confirmé ce bon résultat en s'imposant de manière très convaincante face à l'AC Ajaccio.
Disposés en 4-4-2 classique avec Zenke et Fauvergue en pointe, le Racing accueillait pour le compte de la 22ème journée, une équipe d'Ajaccio en forme, qui restait avant cette rencontre sur quatre succès de rang. Côté ajaccien, on pouvait voir le retour d'un ancien, Thierry Debès, ainsi qu'un des joueurs mystères de ces dernières années : Leyti N'Diaye.
Le match debute sous les meilleurs auspices lorsque, sur un corner tiré par Quentin Othon, Arnaud Maire, à la réception d'un mini-cafouillage, parvient à placer sa tête hors de portée du gardien adverse. Soulagement dans les travées de la Meinau, garnies par plus de 9 000 spectateurs selon les chiffres officiels mais sans doute pas plus de 5 000 en réalité.
Les minutes suivantes seront relativement calmes même si le RCS aurait pu, grâce à quelques situations favorables, doubler la mise. Nous jouons la 30' lorsque Guillaume Lacour surgit dans les pieds d'un des défenseurs centraux de l'ACA pour se présenter devant Debès. Et pour la seconde fois en deux matchs, « Cap'tain Lacour » ne se prive pas pour inscrire un second but qui rassure complétement l'équipe strasbourgeoise. Les Ajacciens sont toujours aussi impuissants, peu créatifs et on ne voit vraiment pas comment le Racing pourrait laisser filer ce match.
Rien de vraiment notable en seconde période, les Bleus gèreront très tranquillement leur avance. Quelques éclairs de génie signés Fauvergue ou Gargorov mettront encore à contribution le portier ajaccien. La seule réelle opportunité de but pour Ajaccio survient dans les arrêts de jeu.
Succès convainquant pour le Racing, même si l'ont peut regretter la sortie sur blessure de Stéphane Cassard, remplacé à la 75' par Régis Gurtner.
Le match debute sous les meilleurs auspices lorsque, sur un corner tiré par Quentin Othon, Arnaud Maire, à la réception d'un mini-cafouillage, parvient à placer sa tête hors de portée du gardien adverse. Soulagement dans les travées de la Meinau, garnies par plus de 9 000 spectateurs selon les chiffres officiels mais sans doute pas plus de 5 000 en réalité.
Les minutes suivantes seront relativement calmes même si le RCS aurait pu, grâce à quelques situations favorables, doubler la mise. Nous jouons la 30' lorsque Guillaume Lacour surgit dans les pieds d'un des défenseurs centraux de l'ACA pour se présenter devant Debès. Et pour la seconde fois en deux matchs, « Cap'tain Lacour » ne se prive pas pour inscrire un second but qui rassure complétement l'équipe strasbourgeoise. Les Ajacciens sont toujours aussi impuissants, peu créatifs et on ne voit vraiment pas comment le Racing pourrait laisser filer ce match.
Rien de vraiment notable en seconde période, les Bleus gèreront très tranquillement leur avance. Quelques éclairs de génie signés Fauvergue ou Gargorov mettront encore à contribution le portier ajaccien. La seule réelle opportunité de but pour Ajaccio survient dans les arrêts de jeu.
Succès convainquant pour le Racing, même si l'ont peut regretter la sortie sur blessure de Stéphane Cassard, remplacé à la 75' par Régis Gurtner.
