Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

RCS - KSC, le jeu et les joueurs

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Après-match
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Par bluefever67
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Bah, le patron du milieu de terrain © yeca

Avec ce dernier match amical face au KSC, procédons à la première analyse joueur par joueur de la saison.

Stéphane Cassard (6) : N'a pas eu d'arrêt décisif à faire, si ce n'est deux sorties dans les pieds. Par contre, son jeu au pied a été mis à contribution à plusieurs reprises et il s'en est à chaque fois parfaitement sorti. Un match somme tout assez tranquille.

Stéphane Pichot (6) : Le nouveau venu de Sochaux a fait le boulot. Débordé à une seule reprise par son vis-à-vis, il a constamment essayé de jouer simple et de garder la balle au sol. Vraiment rassurant.

Steven Pelé (5) : Un peu en dedans en début de partie, le grand défenseur s'est par la suite bien repris, malgré le fait qu'il concède un penalty plutôt logique. A également raté l'immanquable de la tête alors qu'il avait le but ouvert.

Milovan Sikimic (6,5) : La bonne trouvaille ? On s'en dirige tout droit ! Comme son compère en défense centrale, il a été mis en difficulté par la vivacité de Iashvili en début de partie. Après cela, il s'est illustré par ses interventions tranchantes et son impeccable jeu de tête, d'où le rendu d'une copie vraiment satisfaisante, qui aurait même pu être très satisfaisante si le poteau n'avait pas croisé sa route. Remplacé par Jérémy Abadie (58e).

Quentin Othon (4,5) : Pas vraiment dans son assiette en début de rencontre où son adversaire lui a souvent pris le dessus, il s'est ressaisi en seconde mi-temps en arpentant son côté gauche et en combinant de belle manière avec Romain Gasmi. L'ensemble reste toutefois assez moyen.

Jérémy Abadie (4) : Le jeune Strasbourgeois a débuté la partie à un poste de milieu récupérateur, qui ne lui a guère sied, comme en témoignent les incessantes gueulantes de Gilbert Gress à son égard. Manque d'impact et de clairvoyance, il a joué à l'envers. Après avoir été remplacé par Damour à la mi-temps, il supplée Sikimic en défense centrale (58e), poste où il se sentira beaucoup mieux et sera l'auteur de quelques belles interventions, qui lui permettent d'éviter une note calamiteuse. Loïc Damour (5,5) qui l'a supplée au milieu après le repos, s'est efforcé de bouger le cocotier à la faveur de quelques feintes et mouvements de corps.

Mamadou Dioulde Bah (6,5) : Le patron de ce milieu. Pour sa rentrée, l'international guinéen a, comme à son habitude, utilisé sa puissance pour s'imposer. Auteur d'une belle percée qui aurait mérité meilleur sort dans le premier acte. Il a rassuré tout le monde. Remplacé par Minka Camara à un quart d'heure de la fin, qui malgré une jolie frappe, n'a pas vraiment eu le temps de s'exprimer.

Guy-Armand Feutchine (5) : Placé sur l'aile droite, le Camerounais a fait preuve d'une belle pointe de vitesse et d'engagement. Il est logiquement récompensé par un but plein d'audace. Malgré cela, il n'a que très rarement fait la différence sur son côté, bien pris par son défenseur. Remplacé à la 62e par Simon Zenke, qui a eu du retard à l'allumage, mais qui s'est bien rattrapé en faisant parler sa puissance. A deux doigts de faire la décision, sans une claquette décisive de Kornetzky.

Marcos Dos Santos (5) : Placé en numéro 10 derrière David Ledy, le Brésilien a tenté d'animer les débats tant qu'il pouvait. Sa protection de balle et sa vision de jeu sont intactes, mais il n'a jamais réussi à se rendre décisif. S'est éteint au fil de la rencontre, malgré une occasion en or, où, sur un bon centre de Gasmi, il se jette et voit le ballon mourir à quelques centimètres du poteau.

Yassine Bezzaz (3) : L'international algérien, placé sur son habituel côté gauche, a raté sa partie. Il a multiplié les mauvais choix et a loupé des passes faciles, tout en ratant ses centres. A oublier. Logiquement remplacé par Romain Gasmi (5) à la pause, qui a démontré sa technique et a bien combiné avec Damour, mais comme souvent, a tergiversé au moment de lâcher sa balle.

David Ledy (3,5) : Le pauvre Mulhousien, placé à la pointe de l'attaque, n'a pratiquement rien eu à se mettre sous la dent. Bougé physiquement par les deux montagnes qui forment la défense centrale du KSC, il fut également envoyé au diable à chaque ballon aérien. Jamais avare en efforts, il est, par la suite, singulièrement descendu d'un cran pour toucher le ballon. A touché la barre de Kornetzky, à la faveur d'une jolie reprise de volée sur corner.

bluefever67

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