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- Après-match
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- Par zottel
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Tout est plus facile quand un joueur sort du lot, dans ce Racing plus que jamais solidaire et déterminé. La déception de Metz est déjà loin, mais la lutte continue.
C'est une composition inédite qui entame le match côté Racing : Emil Gargorov semblait encore fragile, et Jean-Marc Furlan opte pour un milieu défensif à trois avec, Cohade, Lacour, Bah : devant, on retrouve Traoré et J.Fanchone, mais aussi le jeune David Ledy dans le couloir gauche sinistré. Derrière, Shereni renvoie Paisley sur le banc.
L'EAG est euphorique, à quelques jours de la finale de la Coupe de France, et il faut attendre la 11' pour voir une occasion strasbourgeoise, une jolie bicyclette de J.Fanchone qui passe au dessus. Comme annoncé, Eduardo est la véritable star de Guingamp, et est omniprésent dans le jeu. Le match est enlevé ; Le Racing se contente de subir quelque peu, et s'efforce de sauter le milieu de terrain de l'EAG par de longs ballons. Le débat s'équilibre en fin de première mi-temps, et l'on note avec plaisir que les minots Ledy et Bah semblent parfaitement dans le coup.
A la reprise, le Racing concrétise ces belles intentions dans un mouvement collectif de Traoré et Fanchone, conclut par Mamadou Bah (49') qui confirme son bon match contre Metz. La riposte guingampaise (méritée, si l'on était objectif) arrive bientôt, d'abord avec Eduardo qui frappe la transversale, puis par Oruma très bon également sur l'ensemble du match qui égalise.
Le match reste très ouvert, même si Jean-Marc Furlan semble vouloir jouer la sécurité en remplaçant David Ledy par Grégory Paisley. Aussitôt, Shereni monte dans l'entrejeu, et Bah passe à gauche à la place de Ledy.
C'est dans cette position qu'il récupère un ballon mal renvoyé par le défense de Guingamp ; tout seul comme un grand échalas qu'il est, il reprend ce ballon et inscrit un superbe but, dans un moment de grâce comme celui de Lacour. Voire : le Racing tient peut-être là un milieu défensif puissant et frappeur, peut être trop sous-estimé.
Dans la foulée, Gargorov rentre à la place de Shereni, dans l'ambition minimale de faire tourner le ballon et de faire courir les Guingampais qui doivent songer très fort à leur finale. Les minutes passent, et l'on soupire au coup de sifflet tant ce match était serré comme un bottin chinois. Dans le même temps, les nouvelles de la journée sont excellentes pour le Racing ; de tous les concurrents, seul Montpellier fera aussi bien en marquant à la dernière minute. Une bonne journée donc.
L'EAG est euphorique, à quelques jours de la finale de la Coupe de France, et il faut attendre la 11' pour voir une occasion strasbourgeoise, une jolie bicyclette de J.Fanchone qui passe au dessus. Comme annoncé, Eduardo est la véritable star de Guingamp, et est omniprésent dans le jeu. Le match est enlevé ; Le Racing se contente de subir quelque peu, et s'efforce de sauter le milieu de terrain de l'EAG par de longs ballons. Le débat s'équilibre en fin de première mi-temps, et l'on note avec plaisir que les minots Ledy et Bah semblent parfaitement dans le coup.
A la reprise, le Racing concrétise ces belles intentions dans un mouvement collectif de Traoré et Fanchone, conclut par Mamadou Bah (49') qui confirme son bon match contre Metz. La riposte guingampaise (méritée, si l'on était objectif) arrive bientôt, d'abord avec Eduardo qui frappe la transversale, puis par Oruma très bon également sur l'ensemble du match qui égalise.
Le match reste très ouvert, même si Jean-Marc Furlan semble vouloir jouer la sécurité en remplaçant David Ledy par Grégory Paisley. Aussitôt, Shereni monte dans l'entrejeu, et Bah passe à gauche à la place de Ledy.
C'est dans cette position qu'il récupère un ballon mal renvoyé par le défense de Guingamp ; tout seul comme un grand échalas qu'il est, il reprend ce ballon et inscrit un superbe but, dans un moment de grâce comme celui de Lacour. Voire : le Racing tient peut-être là un milieu défensif puissant et frappeur, peut être trop sous-estimé.
Dans la foulée, Gargorov rentre à la place de Shereni, dans l'ambition minimale de faire tourner le ballon et de faire courir les Guingampais qui doivent songer très fort à leur finale. Les minutes passent, et l'on soupire au coup de sifflet tant ce match était serré comme un bottin chinois. Dans le même temps, les nouvelles de la journée sont excellentes pour le Racing ; de tous les concurrents, seul Montpellier fera aussi bien en marquant à la dernière minute. Une bonne journée donc.
