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- Par athor
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La victoire fut longue à se dessiner mais grâce à un doublé de Kandia Traoré, le Racing poursuit son début de saison parfait, laissant ses adversaires à bonne distance.
L'équipe type pour débuter
Malgré une semaine d'entraînement perturbée par les blessures et les petits pépins physiques, Jean-Marc Furlan avait cette fois-ci l'embarras du choix pour composer son 11 de départ. Sur la foi du bon début de saison réalisé par ses joueurs, l'entraîneur alsacien avait donc décidé de composer une équipe proche de celle que l'ont peut déjà considérer comme une équipe type. La seule nouveauté réside dans le changement d'organisation, avec une attaque à deux hommes, Marcos soutenant la dernière recrue en date, l'ivoirien Kandia Traoré.
Côté tribunes, dire que le Vannes Olympique Club n'attire pas les foules est presque une lapalissade et seuls 12 000 personnes sont venus remplir les travées de la Meinau.
Une mi temps sans saveur
Afin de faire mentir leur réputation de vainqueur de fin de match, les Strasbourgeois avaient décidé de se montrer tout de suite dangereux sur le plan offensif. La première occasion aura d'ailleurs lieu dès la deuxième minute avec ce centre de James Fanchone et cette reprise de Traoré qui contraint Costil, le gardien breton, à concéder le corner. Sur celui-ci, la bonne tête de Steven Pelé manquera le cadre d'un rien. Le début de match du Racing est bon et les accélérations de Belghazouani ou de Cohade font mal à l'arrière garde de Vannes. Toutefois, les occasions ont beau se multiplier, le compteur but ne décolle pas. D'ailleurs, après dix bonnes minutes de pressing intense, les débats s'équilibrent et les visiteurs en profitent pour souffler, eux qui mettront près d'une demi heure avant de tirer en direction du but d'un Stéphane Cassard bien tranquille ce soir. Le match sombre alors tout doucement dans un faux rythme qui nous rappelle bien que nous sommes en L2 et que le foot champagne est bien loin. Juste avant la mi-temps, on notera le carton jaune plus que logique adressé à Chahir Belghazouani, suite à une intervention musclée dans les pieds d'un Vannetais. Les 22 acteurs regagnent donc les vestiaires, laissant la Meinau un peu sur sa faim.
Un nouveau quart d'heure d'ennui
Changement de côté, mais pas changement de rythme : on est reparti dans la lignée de la première période, avec un jeu qui peine à dépasser le milieu de terrain. A vrai dire, on s'ennuie à la Meinau et les spectateurs n'ont que la chute de l'arbitre assistant ainsi que la présence d'un mystérieux éléphant bleu dans le kop pour égayer un peu leur soirée. A l'heure de jeu, Jean-Marc Furlan décide de sortir Marcos, sevré de ballons mais combatif, et de faire rentrer un milieu créateur en la personne d'Emil Gargorov.
Gargorov - Traoré, duo gagnant
On sent alors le Racing commencer à hausser le ton, face à un adversaire qui lui ne se montre que rarement menaçant. Renaud Cohade, très actif tout au long du match, tente d'ailleurs à plusieurs reprises de lancer ses attaquants mais sans réussite. Dans le même temps, les latéraux multiplient les montées et sur l'une d'elles, Guillaume Lacour centre pour Steven Pelé, mais la tête du défenseur rase le poteau de Costil. Une première alerte, mais qui démontre bien la montée en puissance des Strasbourgeois en cette fin de rencontre. Deux minutes plus tard, nouveau corner que s'en va tirer Gargorov. Le Bulgare le joue en deux temps avec James Fanchone avant de décocher un centre parfait pour la tête victorieuse de Kandia Traoré.
C'est le premier but de l'ancien Sochalien sous ses nouvelles couleurs, mais c'est surtout le but de la délivrance après plus d'une heure et quart de domination stérile. Mais le score n'en restera pas là. A peine quelques instants après l'ouverture du score, Belghazouani talonne pour Gargorov côté gauche, qui déborde en effaçant son vis-à-vis avant de fixer le gardien et se servir parfaitement Traoré. Comme lors de ses années havraises, l'ivoirien retrouve ses sensations de buteur et sortira dans la foulée sous les acclamations du public.
Le Racing déroule tranquillement en cette fin de match et gère son avance de deux buts face à des Bretons assommés. Mais ceux-ci finiront tout de même par profiter de l'inattention alsacienne pour réduire la marque par Gimbert d'une frappe croisée. Un but pour l'honneur qui ne change rien au résultat. Ce soir, c'est bien le Racing qui remporte les 3 points et porte son total à 19 unités, soient 4 de plus que le second, Boulogne-sur-Mer. De bonne augure avant un déplacement à Clermont qui ne s'annonce pas simple, les Auvergnats ayant pris une claque (défaite 1-5 à Ajaccio) à faire oublier...
Malgré une semaine d'entraînement perturbée par les blessures et les petits pépins physiques, Jean-Marc Furlan avait cette fois-ci l'embarras du choix pour composer son 11 de départ. Sur la foi du bon début de saison réalisé par ses joueurs, l'entraîneur alsacien avait donc décidé de composer une équipe proche de celle que l'ont peut déjà considérer comme une équipe type. La seule nouveauté réside dans le changement d'organisation, avec une attaque à deux hommes, Marcos soutenant la dernière recrue en date, l'ivoirien Kandia Traoré.
Côté tribunes, dire que le Vannes Olympique Club n'attire pas les foules est presque une lapalissade et seuls 12 000 personnes sont venus remplir les travées de la Meinau.
Une mi temps sans saveur
Afin de faire mentir leur réputation de vainqueur de fin de match, les Strasbourgeois avaient décidé de se montrer tout de suite dangereux sur le plan offensif. La première occasion aura d'ailleurs lieu dès la deuxième minute avec ce centre de James Fanchone et cette reprise de Traoré qui contraint Costil, le gardien breton, à concéder le corner. Sur celui-ci, la bonne tête de Steven Pelé manquera le cadre d'un rien. Le début de match du Racing est bon et les accélérations de Belghazouani ou de Cohade font mal à l'arrière garde de Vannes. Toutefois, les occasions ont beau se multiplier, le compteur but ne décolle pas. D'ailleurs, après dix bonnes minutes de pressing intense, les débats s'équilibrent et les visiteurs en profitent pour souffler, eux qui mettront près d'une demi heure avant de tirer en direction du but d'un Stéphane Cassard bien tranquille ce soir. Le match sombre alors tout doucement dans un faux rythme qui nous rappelle bien que nous sommes en L2 et que le foot champagne est bien loin. Juste avant la mi-temps, on notera le carton jaune plus que logique adressé à Chahir Belghazouani, suite à une intervention musclée dans les pieds d'un Vannetais. Les 22 acteurs regagnent donc les vestiaires, laissant la Meinau un peu sur sa faim.
Un nouveau quart d'heure d'ennui
Changement de côté, mais pas changement de rythme : on est reparti dans la lignée de la première période, avec un jeu qui peine à dépasser le milieu de terrain. A vrai dire, on s'ennuie à la Meinau et les spectateurs n'ont que la chute de l'arbitre assistant ainsi que la présence d'un mystérieux éléphant bleu dans le kop pour égayer un peu leur soirée. A l'heure de jeu, Jean-Marc Furlan décide de sortir Marcos, sevré de ballons mais combatif, et de faire rentrer un milieu créateur en la personne d'Emil Gargorov.
Gargorov - Traoré, duo gagnant
On sent alors le Racing commencer à hausser le ton, face à un adversaire qui lui ne se montre que rarement menaçant. Renaud Cohade, très actif tout au long du match, tente d'ailleurs à plusieurs reprises de lancer ses attaquants mais sans réussite. Dans le même temps, les latéraux multiplient les montées et sur l'une d'elles, Guillaume Lacour centre pour Steven Pelé, mais la tête du défenseur rase le poteau de Costil. Une première alerte, mais qui démontre bien la montée en puissance des Strasbourgeois en cette fin de rencontre. Deux minutes plus tard, nouveau corner que s'en va tirer Gargorov. Le Bulgare le joue en deux temps avec James Fanchone avant de décocher un centre parfait pour la tête victorieuse de Kandia Traoré.
C'est le premier but de l'ancien Sochalien sous ses nouvelles couleurs, mais c'est surtout le but de la délivrance après plus d'une heure et quart de domination stérile. Mais le score n'en restera pas là. A peine quelques instants après l'ouverture du score, Belghazouani talonne pour Gargorov côté gauche, qui déborde en effaçant son vis-à-vis avant de fixer le gardien et se servir parfaitement Traoré. Comme lors de ses années havraises, l'ivoirien retrouve ses sensations de buteur et sortira dans la foulée sous les acclamations du public.
Le Racing déroule tranquillement en cette fin de match et gère son avance de deux buts face à des Bretons assommés. Mais ceux-ci finiront tout de même par profiter de l'inattention alsacienne pour réduire la marque par Gimbert d'une frappe croisée. Un but pour l'honneur qui ne change rien au résultat. Ce soir, c'est bien le Racing qui remporte les 3 points et porte son total à 19 unités, soient 4 de plus que le second, Boulogne-sur-Mer. De bonne augure avant un déplacement à Clermont qui ne s'annonce pas simple, les Auvergnats ayant pris une claque (défaite 1-5 à Ajaccio) à faire oublier...
