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- Par tonylefort
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Pour son dernier match amical d'avant-saison, le Racing est sorti vainqueur (1-0) face à nos voisins, les Karlsruher SC. Retour sur ce match qui s'annonçait prestigieux.
Sous le soleil timide d'Haguenau, le Racing affrontait hier soir le club de Karlsruhe, maintenu en 1. Bundesliga. Ce match aura servi de test pour les deux protagonistes. Malgré la proche localisation des 2 clubs et une météo favorable, seulement 2 100 personnes se sont déplacées à Haguenau pour voir ce match opposant Bas-Rhinois et Allemands.
RACING : Cassard - Szelesi, Ducrocq, Paisley (cap.), Othon (J-A. Fanchone, 46e) - Bah, Lacour - Fanchone (Zenke, 65e), Gargorov (Marcos, 65e), Belghazouani - Carlier (Mathlouthi, 65e).
KARLSRUHE : Miller (Kornetzky, 45e) - Celozzi, Sebastian, Franz (Stoll, 45e), Eichner - Mutzel (Porcello, 45e), Aduobe (Langkamp, 61e) - Timm (Freis, 45e), Iashvili, Carnell (Tewelde, 76e) - Kennedy (Stindl, 61e)
La 1ère mi-temps, calme, était au profit des Alsaciens. Ces derniers se sont créés nettement plus d'occasions de buts, sans pour autant les mettre au fond. Pour commencer ce match séduisant sur l'affiche, Jean-Marc Furlan a aligné l'équipe type qui jouera le premier match officiel, contre Montpellier. La seule surprise du jour est la titularisation de Rudy Carlier, seul en pointe.
Celui-ci se dépensait à perte. Mis a part quelques déviations intéressantes, l'attaquant n'a su trouver le chemin des filets. Et, parti trop tard, il s'est vu refusé un but pour une position de hors-jeu.
En réalité, les seules actions chaudes de cette première période se trouvaient sur coups de pied arrêtés. En effet, c'est notre nouveau numéro 10 qui provoquait le danger. Bon tireur de coups francs, mais aussi de corners, Emil Gargorov n'a pas réussi à débloquer le score, resté vierge jusqu'à la mi-temps.
Derrière eux, le milieu de terrain et la défense ont plutôt bien joué. Mamadou Bah prend de plus en plus de confiance au sein de l'équipe. Guillaume Lacour, toujours présent sur les quatre coins du terrain, prend son rôle très à coeur. Les deux copains Ducrocq et Paisley ont eux fait leur match sans pour autant être transcendants dans les relances, notamment Pierre Ducrocq.
Jean-Alain Fanchone a remplacé Othon à la mi-temps. Zenke, Marcos et Mathlouthi ont quant à eux remplacé respectivement Fanchone, Carlier et Gargorov à la 61ème minute. Ce qui nous donne la composition suivante :
Pour cette 2ème partie de rencontre, les hommes de J-M Furlan se sont plus coltinés les attaquants allemands, surtout Kennedy et Iashvili qui furent énormes.
On notera par ailleurs les tirs de Bah (sur une remise de Gargorov) au-dessus, les rares mais immenses arrêts de Stephane Cassard, comme sur le coup franc de Porcello à la 58ème minute.
Il faudra tout de même attendre la fin du match pour voir le Racing marquer. En effet, dans les arrêts de jeu, sur une ultime accélération de Zenke, celui-ci délivre une belle passe en faveur de Marcos qui tire et trouve le montant droit du jeune gardien Kornetzky, mais la balle rentre. Invaincus jusque-là, les joueurs du KSC réagissent immédiatement sans réussite, à cause du gardien alsacien Cassard, en état de grâce, lorsqu'il repousse 2 tirs à bout portant.
Côté négatif, seuls les attaquants et les arrières latéraux ont manqué de mordant, mais le Racing a marqué grâce à Marcos, au contraire de Karlsruhe qui n'a, pour la première fois cette saison, pas trouver le chemin des filets... Le silence de Charles était bien présent ce soir-là.
En conclusion, pour ce dernier match avant la reprise du championnat de Ligue 2, le Racing a fait preuve de solidité défensive et d'un courage remarquable jusqu'à la fin de la rencontre. Cela suffira-t-il pour reprendre l'ascenseur de la Ligue 1 ?
RC Strasbourg - Karlsruhe SC
Les équipes
RACING : Cassard - Szelesi, Ducrocq, Paisley (cap.), Othon (J-A. Fanchone, 46e) - Bah, Lacour - Fanchone (Zenke, 65e), Gargorov (Marcos, 65e), Belghazouani - Carlier (Mathlouthi, 65e).
KARLSRUHE : Miller (Kornetzky, 45e) - Celozzi, Sebastian, Franz (Stoll, 45e), Eichner - Mutzel (Porcello, 45e), Aduobe (Langkamp, 61e) - Timm (Freis, 45e), Iashvili, Carnell (Tewelde, 76e) - Kennedy (Stindl, 61e)
La 1ère période
La 1ère mi-temps, calme, était au profit des Alsaciens. Ces derniers se sont créés nettement plus d'occasions de buts, sans pour autant les mettre au fond. Pour commencer ce match séduisant sur l'affiche, Jean-Marc Furlan a aligné l'équipe type qui jouera le premier match officiel, contre Montpellier. La seule surprise du jour est la titularisation de Rudy Carlier, seul en pointe.
Celui-ci se dépensait à perte. Mis a part quelques déviations intéressantes, l'attaquant n'a su trouver le chemin des filets. Et, parti trop tard, il s'est vu refusé un but pour une position de hors-jeu.
En réalité, les seules actions chaudes de cette première période se trouvaient sur coups de pied arrêtés. En effet, c'est notre nouveau numéro 10 qui provoquait le danger. Bon tireur de coups francs, mais aussi de corners, Emil Gargorov n'a pas réussi à débloquer le score, resté vierge jusqu'à la mi-temps.
Derrière eux, le milieu de terrain et la défense ont plutôt bien joué. Mamadou Bah prend de plus en plus de confiance au sein de l'équipe. Guillaume Lacour, toujours présent sur les quatre coins du terrain, prend son rôle très à coeur. Les deux copains Ducrocq et Paisley ont eux fait leur match sans pour autant être transcendants dans les relances, notamment Pierre Ducrocq.
La 2ème période
Jean-Alain Fanchone a remplacé Othon à la mi-temps. Zenke, Marcos et Mathlouthi ont quant à eux remplacé respectivement Fanchone, Carlier et Gargorov à la 61ème minute. Ce qui nous donne la composition suivante :
Pour cette 2ème partie de rencontre, les hommes de J-M Furlan se sont plus coltinés les attaquants allemands, surtout Kennedy et Iashvili qui furent énormes.
On notera par ailleurs les tirs de Bah (sur une remise de Gargorov) au-dessus, les rares mais immenses arrêts de Stephane Cassard, comme sur le coup franc de Porcello à la 58ème minute.
Il faudra tout de même attendre la fin du match pour voir le Racing marquer. En effet, dans les arrêts de jeu, sur une ultime accélération de Zenke, celui-ci délivre une belle passe en faveur de Marcos qui tire et trouve le montant droit du jeune gardien Kornetzky, mais la balle rentre. Invaincus jusque-là, les joueurs du KSC réagissent immédiatement sans réussite, à cause du gardien alsacien Cassard, en état de grâce, lorsqu'il repousse 2 tirs à bout portant.
Côté négatif, seuls les attaquants et les arrières latéraux ont manqué de mordant, mais le Racing a marqué grâce à Marcos, au contraire de Karlsruhe qui n'a, pour la première fois cette saison, pas trouver le chemin des filets... Le silence de Charles était bien présent ce soir-là.
En conclusion, pour ce dernier match avant la reprise du championnat de Ligue 2, le Racing a fait preuve de solidité défensive et d'un courage remarquable jusqu'à la fin de la rencontre. Cela suffira-t-il pour reprendre l'ascenseur de la Ligue 1 ?
