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- Après-match
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Retour sur la seconde victoire consécutive du RCS... en match de préparation.
Pour ce second match amical le Racing a donc choisi de jouer la carte de l'amateurisme. En effet il affronte Besançon, équipe du Championnat de France Amateur dans son antre de Geispolsheim, terrain officiel de l'équipe réserve depuis 2 ans sur décision présidentielle.
Avant match
Le temps est ensoleillé avec un léger parfum de campagne, l'affluence est correcte mais sans doute quelque peu éloignée des 1500 spectateurs annoncés par les DNA. Sur le terrain le Racing s'échauffera en bleu nuit avant de revêtir son habit de lumière à savoir le maillot gilet de sécurité cher à Karl Lagerfeld.
Le BRC est lui en rouge, sa couleur traditionnelle et il le restera pendant tout le match.
Jean-Marc Furlan arrive sur le banc de touche provoquant quelques murmures conspirateurs le long du terrain, après avoir serré quelques mains et signé quelques autographes, il prend place. Le match peut commencer.
Première mi-temps
Les 2 équipes entrent sur le terrain par un tunnel amovible du même style de ce que l'on peut voir à San Siro, tandis que de l'autre côté du terrain 5 fumigènes sont allumés derrière les drapeaux de l'Alsace et des UB90. C'est donc un match de prestige qui se profile comme l'annonçait le coach bisontin.
La partie démarre rapidement avec une équipe du Racing visiblement supérieure et volontaire. Le Racing profite de son milieu de terrain inédit mais solide avec la présence de Lacour, Ducrocq, Bah et Othon.
Le premier strasbourgeois à se mettre en valeur est Correia qui réussit une échappée sur son côté grâce à sa pointe de vitesse mais il tire malheureusement en force au dessus du cadre.
Le deuxième strasbourgeois sous les feux des projecteurs est l'ex-Grenoblois Belghazouani qui avec le numéro 10 floqué dans le dos entend jouer avant tout "personnel" et tout en dribble. Si sa technique ne fait aucun doute, ses actions ne se concrétisent pas face à la modeste équipe de Besançon.
Il y a fort à parier que JM Furlan aura fort à faire avec ce joueur qui s'annonce fantasque.
L'action du match est certainement le une-deux avec remise talonnade à l'aveugle de Santos pour Correia qui tirera au dessus.
Du côté de la défense et du Besançon Racing Club, il n'y a pas grand-chose à signaler, les rouges relevant néanmoins la tête et se montrant dangereux en fin de première mi-temps. Greg Paisley est là pour faire avorter toutes leurs tentatives, leader d'une défense biberon.
Composition de l'équipe en 1ère mi-temps :
[equipe]Cassard- -Ekwe Ebélé,Weber,Paisley,Othon- -Lacour-Ducrocq,Bah- -Belghazouani,,,Correia- Marcos[/equipe]
La mi-temps
Quelques minutes avant le sifflet arbitral, il est temps pour les plus courageux de se diriger vers le stand buvette ou plutôt les stands. Si le traditionnel chapiteau a pris place devant le centre de la tribune, une roulotte buvette est située sur la droite à côté du stand merguez. C'est à cet endroit stratégique que nous assisterons à une bonne partie du match en compagnie de Egon Gindorf qui est venu soutenir ses favoris sous le soleil alsacien.
Dans cet espace VIP, à côté de François Keller se trouvent les Herzog, Specht, Bonis et Rudy Carlier.
Renaud Cohade et Abdessadki ne font que passer respectivement de chaque côté du terrain. Pendant ce temps là, le match a déjà recommencé.
Seconde mi-temps
C'est une équipe rajeunit qui fait son retour sur le terrain, les cadres s'appellent Ekobo, Gasmi, Zenke, Mathlouthi. Besançon continue sur sa lancée de la première mi-temps et plante un but à Gurtner après une belle action et une jolie frappe des 20 mètres.
A ce moment on se demande dans le public comment cette équipe du Racing va réussir à remonter la pente, et en effet les Bleus et Blancs (qui jouent en Or) continue de subir, ne réussissant qu'à apporter le danger que sur des raids par les couloirs de Jean-Alain Fanchone ou Mathlouthi.
Néanmoins, après 10 minutes de domination bisontine au score, Gasmi trouve Mathlouthi qui plein d'altruisme offre l'égalisation à Ledy.
Le match continue a être disputé et le BRC n'est pas loin de prendre l'avantage sur des ballons perdus ou des cafouillages de la défense.
L'illumination arrive sur un coup franc excentré tiré par Emil Gargorov qui crucifie le gardien adverse sous les vivas d'une foule en délire.
Le match se termine et les joueurs signent encore quelques autographes pendant qu'Alexender Vencel récupère le ballon dans le public tel Guy Roux au sommet de sa forme.
Composition de l'équipe en seconde mi-temps :
Le Racing n'a pas perdu, il a même gagné. Par contre il n'a pas convaincu et doit encore beaucoup travailler pour être au rendez-vous de son premier match officiel le premier août.
Avant match
Le temps est ensoleillé avec un léger parfum de campagne, l'affluence est correcte mais sans doute quelque peu éloignée des 1500 spectateurs annoncés par les DNA. Sur le terrain le Racing s'échauffera en bleu nuit avant de revêtir son habit de lumière à savoir le maillot gilet de sécurité cher à Karl Lagerfeld.
Le BRC est lui en rouge, sa couleur traditionnelle et il le restera pendant tout le match.
Jean-Marc Furlan arrive sur le banc de touche provoquant quelques murmures conspirateurs le long du terrain, après avoir serré quelques mains et signé quelques autographes, il prend place. Le match peut commencer.
Première mi-temps
Les 2 équipes entrent sur le terrain par un tunnel amovible du même style de ce que l'on peut voir à San Siro, tandis que de l'autre côté du terrain 5 fumigènes sont allumés derrière les drapeaux de l'Alsace et des UB90. C'est donc un match de prestige qui se profile comme l'annonçait le coach bisontin.
La partie démarre rapidement avec une équipe du Racing visiblement supérieure et volontaire. Le Racing profite de son milieu de terrain inédit mais solide avec la présence de Lacour, Ducrocq, Bah et Othon.
Le premier strasbourgeois à se mettre en valeur est Correia qui réussit une échappée sur son côté grâce à sa pointe de vitesse mais il tire malheureusement en force au dessus du cadre.
Le deuxième strasbourgeois sous les feux des projecteurs est l'ex-Grenoblois Belghazouani qui avec le numéro 10 floqué dans le dos entend jouer avant tout "personnel" et tout en dribble. Si sa technique ne fait aucun doute, ses actions ne se concrétisent pas face à la modeste équipe de Besançon.
Il y a fort à parier que JM Furlan aura fort à faire avec ce joueur qui s'annonce fantasque.
L'action du match est certainement le une-deux avec remise talonnade à l'aveugle de Santos pour Correia qui tirera au dessus.
Du côté de la défense et du Besançon Racing Club, il n'y a pas grand-chose à signaler, les rouges relevant néanmoins la tête et se montrant dangereux en fin de première mi-temps. Greg Paisley est là pour faire avorter toutes leurs tentatives, leader d'une défense biberon.
Composition de l'équipe en 1ère mi-temps :
[equipe]Cassard- -Ekwe Ebélé,Weber,Paisley,Othon- -Lacour-Ducrocq,Bah- -Belghazouani,,,Correia- Marcos[/equipe]
La mi-temps
Quelques minutes avant le sifflet arbitral, il est temps pour les plus courageux de se diriger vers le stand buvette ou plutôt les stands. Si le traditionnel chapiteau a pris place devant le centre de la tribune, une roulotte buvette est située sur la droite à côté du stand merguez. C'est à cet endroit stratégique que nous assisterons à une bonne partie du match en compagnie de Egon Gindorf qui est venu soutenir ses favoris sous le soleil alsacien.
Dans cet espace VIP, à côté de François Keller se trouvent les Herzog, Specht, Bonis et Rudy Carlier.
Renaud Cohade et Abdessadki ne font que passer respectivement de chaque côté du terrain. Pendant ce temps là, le match a déjà recommencé.
Seconde mi-temps
C'est une équipe rajeunit qui fait son retour sur le terrain, les cadres s'appellent Ekobo, Gasmi, Zenke, Mathlouthi. Besançon continue sur sa lancée de la première mi-temps et plante un but à Gurtner après une belle action et une jolie frappe des 20 mètres.
A ce moment on se demande dans le public comment cette équipe du Racing va réussir à remonter la pente, et en effet les Bleus et Blancs (qui jouent en Or) continue de subir, ne réussissant qu'à apporter le danger que sur des raids par les couloirs de Jean-Alain Fanchone ou Mathlouthi.
Néanmoins, après 10 minutes de domination bisontine au score, Gasmi trouve Mathlouthi qui plein d'altruisme offre l'égalisation à Ledy.
Le match continue a être disputé et le BRC n'est pas loin de prendre l'avantage sur des ballons perdus ou des cafouillages de la défense.
L'illumination arrive sur un coup franc excentré tiré par Emil Gargorov qui crucifie le gardien adverse sous les vivas d'une foule en délire.
Le match se termine et les joueurs signent encore quelques autographes pendant qu'Alexender Vencel récupère le ballon dans le public tel Guy Roux au sommet de sa forme.
Composition de l'équipe en seconde mi-temps :
Le Racing n'a pas perdu, il a même gagné. Par contre il n'a pas convaincu et doit encore beaucoup travailler pour être au rendez-vous de son premier match officiel le premier août.
