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- Par captainflirt
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Non Renaud n'est pas mort ! Alors qu'il venait d'apprendre que Metz allait obtenir un titre cette saison, il a décidé de rechausser les crampons à travers la réecriture de son tout premier succès : l'immortel Hexagone !
(NDLR : Cet article fait partie d'une série d'articles au ton critique, décalé et résolument second degré. A lire avec précaution et humour !)
(NDLA : Cet article est une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé ne pourrait être que fortuite.)
Ils s'embrassent au mois de Janvier,
car une nouvelle saison commence,
mais depuis des éternités
l'a pas tell'ment vu l'Stade de France.
Passent les journées les semaines,
y a qu'l'ascenseur qui évolue,
leur nullité reste la même :
tous des tocards, tous des glandus.
Ils sont pas lourds, en février,
à se souvenir d'Arpinon,
des Boffin, Blanchard, des P-P
qui firent rêver tous leurs pochtrons,
la Moselle est un pays de ploucs,
à tous les coins d'rue y'en a 100,
pour entendre hurler ses boucs
suffit de prendre un abonnement.
Quand on exécute au mois d'mars,
de l'autre côté de la Moselle,
un parcours de première classe,
pour leur apprendre qui sont les brelles,
ils crient, ils pleurent comme la Horda
sur leur immonde équipe en bois,
mais ils oublient que les Ultras
chez nous aussi donneront d'la voix.
Etre né sous l'signe du FC Metz,
c'est pas c'qu'on fait d'mieux en c'moment,
et l'roi des cons sans palmarès,
j'parierai pas qu'il est all'mand.
On leur a dit, au mois d'avril,
à la télé, dans les journaux,
de pas se découvrir d'un fil,
qu'la L1 c'était pour bientôt,
les vieux séniles d'Metz Capitale,
comme ceux d'Génération Grenat,
savent pourtant bien qu'au compte final
c'est l'ascenseur qui les prendra.
Ils se souviennent, au mois de mai,
d'un sang qui coula rouge et or,
d'un titre de championnat manqué
qui faillit renverser leur sort,
j'me souviens surtout d'ces couillons,
enchaînant la médiocrité,
s'en allant passer deux saisons
en ligue 2 s'faire couronner.
Ils commémorent au mois de juin
l'préliminaire d'une coupe d'Europe,
ils pensent à l'Est Républicain
qui présageait une grande époque,
ils oublient qu'à l'issu d'ce tour,
les Francais criaient "Helsinski",
qu'ils étaient heureux pour toujours,
d'pas voir Metz en Ligue des Champions.
Etre né sous l'signe du FC Metz,
c'est pas la gloire, en vérité,
et l'roi des cons sans palmarès,
me dites pas qu'il est portugais.
Ils font la fête au mois d'juillet,
en souvenir d'une relégation,
qui n'a jamais éliminé
l'accent bouseux et leur air con,
ils s'abreuvent de bals populaires,
d'feux d'artifice et de flonflons,
ils pensent oublier dans la bière
qu'ils verront toujours jouer des pions.
Au mois d'août c'est la liberté,
après une longue saison galère,
ils crient : "Vive les congés payés",
ils oublient un peu les transferts,
dans So Foot, l'Equipe et Foot France
ils vont polluer toutes les pages,
et par leur unique présence,
abîmer tous les paysages.
Lorsqu'en septembre on recommence,
piètre entraîneur, joueurs surcotés,
rejoignent leur club en errance,
ils sont pas brillants sur l'papier,
dès qu'un vrai grand club se ramène,
bras ouverts il est accueilli,
le défaitisme c'est la gangrène
à Bordeaux comme au Graoully.
Etre né sous l'signe du FC Metz,
c'est vraiment pas une sinécure,
et l'roi des cons sans palmarès,
il est messois, ça j'en suis sûr.
Finies les vendanges en octobre,
le raisin fermente en tonneaux,
ils sont très fiers de leurs vignobles,
leurs "Côtes-de-Toul" et leurs "Pinots",
ils exportent leur poison poubelle
un peu nulle part à l'étranger,
leur pinard et leur mirabelle
c'est leur seule gloire à ces tarés.
En Novembre, au salon d'l'auto,
ils vont admirer par milliers
l'dernier modèle de chez Peugeot,
qu'ils pourront jamais se payer,
la bagnole, la télé, l'tiercé,
c'est l'opium du peuple de Moselle,
lui supprimer c'est le tuer,
c'est une drogue traditionnelle.
En décembre c'est l'apothéose,
relégables aux mercato,
ils sont toujours aussi moroses,
mais y a d'la joie dans les ghettos,
la Terre peut s'arrêter d'tourner,
ils rat'ront pas leur réveillon;
moi j'voudrais tous les voir crever,
étouffés de quiche aux lardons.
Etre né sous l'signe du FC Metz,
on peut pas dire qu'ça soit bandant
si l'roi des cons tendait les fesses,
y aurait 50 millions de prétendants!
Bonus :
- Les vraies paroles
- La vraie version en vidéo
(NDLA : Cet article est une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnages existants ou ayant existé ne pourrait être que fortuite.)
En exclusivité, les paroles !
Ils s'embrassent au mois de Janvier,
car une nouvelle saison commence,
mais depuis des éternités
l'a pas tell'ment vu l'Stade de France.
Passent les journées les semaines,
y a qu'l'ascenseur qui évolue,
leur nullité reste la même :
tous des tocards, tous des glandus.
Ils sont pas lourds, en février,
à se souvenir d'Arpinon,
des Boffin, Blanchard, des P-P
qui firent rêver tous leurs pochtrons,
la Moselle est un pays de ploucs,
à tous les coins d'rue y'en a 100,
pour entendre hurler ses boucs
suffit de prendre un abonnement.
Quand on exécute au mois d'mars,
de l'autre côté de la Moselle,
un parcours de première classe,
pour leur apprendre qui sont les brelles,
ils crient, ils pleurent comme la Horda
sur leur immonde équipe en bois,
mais ils oublient que les Ultras
chez nous aussi donneront d'la voix.
Etre né sous l'signe du FC Metz,
c'est pas c'qu'on fait d'mieux en c'moment,
et l'roi des cons sans palmarès,
j'parierai pas qu'il est all'mand.
On leur a dit, au mois d'avril,
à la télé, dans les journaux,
de pas se découvrir d'un fil,
qu'la L1 c'était pour bientôt,
les vieux séniles d'Metz Capitale,
comme ceux d'Génération Grenat,
savent pourtant bien qu'au compte final
c'est l'ascenseur qui les prendra.
Ils se souviennent, au mois de mai,
d'un sang qui coula rouge et or,
d'un titre de championnat manqué
qui faillit renverser leur sort,
j'me souviens surtout d'ces couillons,
enchaînant la médiocrité,
s'en allant passer deux saisons
en ligue 2 s'faire couronner.
Ils commémorent au mois de juin
l'préliminaire d'une coupe d'Europe,
ils pensent à l'Est Républicain
qui présageait une grande époque,
ils oublient qu'à l'issu d'ce tour,
les Francais criaient "Helsinski",
qu'ils étaient heureux pour toujours,
d'pas voir Metz en Ligue des Champions.
Etre né sous l'signe du FC Metz,
c'est pas la gloire, en vérité,
et l'roi des cons sans palmarès,
me dites pas qu'il est portugais.
Ils font la fête au mois d'juillet,
en souvenir d'une relégation,
qui n'a jamais éliminé
l'accent bouseux et leur air con,
ils s'abreuvent de bals populaires,
d'feux d'artifice et de flonflons,
ils pensent oublier dans la bière
qu'ils verront toujours jouer des pions.
Au mois d'août c'est la liberté,
après une longue saison galère,
ils crient : "Vive les congés payés",
ils oublient un peu les transferts,
dans So Foot, l'Equipe et Foot France
ils vont polluer toutes les pages,
et par leur unique présence,
abîmer tous les paysages.
Lorsqu'en septembre on recommence,
piètre entraîneur, joueurs surcotés,
rejoignent leur club en errance,
ils sont pas brillants sur l'papier,
dès qu'un vrai grand club se ramène,
bras ouverts il est accueilli,
le défaitisme c'est la gangrène
à Bordeaux comme au Graoully.
Etre né sous l'signe du FC Metz,
c'est vraiment pas une sinécure,
et l'roi des cons sans palmarès,
il est messois, ça j'en suis sûr.
Finies les vendanges en octobre,
le raisin fermente en tonneaux,
ils sont très fiers de leurs vignobles,
leurs "Côtes-de-Toul" et leurs "Pinots",
ils exportent leur poison poubelle
un peu nulle part à l'étranger,
leur pinard et leur mirabelle
c'est leur seule gloire à ces tarés.
En Novembre, au salon d'l'auto,
ils vont admirer par milliers
l'dernier modèle de chez Peugeot,
qu'ils pourront jamais se payer,
la bagnole, la télé, l'tiercé,
c'est l'opium du peuple de Moselle,
lui supprimer c'est le tuer,
c'est une drogue traditionnelle.
En décembre c'est l'apothéose,
relégables aux mercato,
ils sont toujours aussi moroses,
mais y a d'la joie dans les ghettos,
la Terre peut s'arrêter d'tourner,
ils rat'ront pas leur réveillon;
moi j'voudrais tous les voir crever,
étouffés de quiche aux lardons.
Etre né sous l'signe du FC Metz,
on peut pas dire qu'ça soit bandant
si l'roi des cons tendait les fesses,
y aurait 50 millions de prétendants!
Bonus :
- Les vraies paroles
- La vraie version en vidéo
