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- Après-match
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- Par marc
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Le Racing est un piètre voyageur et il l'a encore montré hier soir. Les Strasbourgeois ont fait le jeu se créant même des occasions franches, mais c'est finalement Metz qui se donne de l'air grâce à un but rapidement marqué. Le RCS est en danger.
3ème minute de jeu, Le Pen s'infiltre dans la surface de réparation messine et se fait arracher la cheville par Meniri. « Debout » dit l'arbitre qui estime qu'il n'y a pas pénalty. Après de longs soins prodigués sur le bord du terrain, le buteur providentiel du Racing quitte ses partenaires dès le début du match. Voilà le premier fait de cette rencontre qui a déjà activement débuté dans les tribunes où près de 700 Strasbourgeois ont pris place.
La suite, c'est un jeu haché et rugueux au milieu de terrain et un but lorrain marqué sur la première offensive messine, à la 18ème minute. Suite à une faute de Kanté à 25 mètres du but gardé par Dutruel (préféré à Fernandez ce soir), Dié, l'ancien Niçois, dépose le ballon sur la tête de Meniri qui ouvre le score contre le cours du jeu.
Le score en restera là, inutile de jouer sur un semblant de suspense qui pourrait vous maintenir en alerte. L'entame de match est catastrophique pour le Racing qui doit courir après le score, comme d'habitude. De leur côté, les Messins décident de faire bloc derrière à tel point qu'ils finiront le match avec trois tirs (dont un seul cadré) à leur compteur.
Strasbourg a dominé ce match se créant quelques occasions franches par Mouloungui, Alexander Farnerud ou encore Martins sur coup franc. Alors comment expliquer qu'il reparte de Saint Symphorien avec sa 27ème défaite en 42 confrontations ? D'autant plus inexplicable que le FC Metz semblait prenable et restait sur quatre défaites d'affilée à domicile, son compteur de victoires en Lorraine étant bloqué à 2 avant la venue des Bleus.
Nul doute que l'ouverture rapide du score et le vent tourbillonnant ont causé du tracas aux Strasbourgeois. De petites excuses en petites excuses, peut-être parviendrons nous à trouver une grande excuse à ce Racing si talentueux en début de saison et si navrant depuis le début du cycle retour. Le RCS a la poisse depuis quelques matchs. Que ce soit avec les erreurs d'arbitrage ou les blessures en cascade, Strasbourg joue en permanence avec son nouveau meilleur ennemi : la malchance.
Il paraît que la chance se provoque en football. C'est sans doute vrai mais alors faîtes que quelqu'un donne la recette à Antoine Kombouaré pour que les arbitres soient un peu plus « sympas » comme sur le duel Le Pen - Meniri, pour que les ballons cessent de frôler les poteaux comme sur l'action de Mouloungui à 10 minutes de la fin ou pour que les gardiens adverses cessent de faire le show comme sur ce joli coup franc de Martins dans les arrêts de jeu.
L'espoir d'un match nul a subsisté jusqu'à la fin chez les supporters strasbourgeois repartis logiquement déçus de Lorraine. Déçus par la défaite mais aussi déçus par ce derby qui n'a offert aucun spectacle sur le terrain, les Messins se contentant de défendre et d'attaquer maladroitement et le Racing tentant tant bien que mal de dépasser le milieu de terrain et de s'approcher des buts de Butelle.
Malgré la pauvreté du match, certains Racingmen ont toutefois réussi à sortir du lot, dans un sens comme dans l'autre. Qu'il fut bon de revoir Corentin Martins sur un terrain même si son rendement n'a pas été exceptionnel ! A ses côtés, Alex Farnerud, entré en jeu à la place d'Ulrich Le Pen, a sans doute réalisé son meilleur match sous le maillot bleu faisant preuve d'une aisance technique et d'une vision du jeu largement au dessus de la moyenne. Même s'il a pêché par fatigue en fin de match, il a tenté tant bien que mal d'éclipser les habituelles errances de l'invisible Chapuis, de la première à la dernière minute. Mamadou Niang quant à lui, n'était visiblement pas au top physiquement et même s'il a pesé comme à son habitude sur la défense adverse, il n'est pas parvenu à créer un réel danger. Mouloungui, de retour dans le groupe pro, l'a remplacé à l'heure de jeu et a véritablement dynamisé l'attaque strasbourgeoise. On a même pu apprécié un début de complicité avec le cadet des Farnerud qui laisse augurer un avenir prometteur au Racing à ces deux jeunes pousses de 19 ans. En défense, Dorsin, trop peureux et craintif, s'est cantonné à un rôle purement défensif. Son apport offensif inexistant affaiblit indéniablement le Racing. Pour l'instant. Cédric Kanté qui faisait également son retour a réalisé un match sérieux et n'a pas montrer de faiblesses physiques après sa longue indisponibilité.
Le Racing a perdu. Un de ses concurrents directs l'a battu. Les équipes du bas du classement reviennent et la fin de saison s'annonce ultra pénible, Strasbourg ne comptant plus que 5 points d'avance sur le premier relégable. Il devient plus qu'urgent de réagir, avec ou sans la manière. Metz a d'ailleurs montré qu'avec un patchwork de joueurs moyens et un fonds de jeu inexistant, il était tout à fait possible d'engranger des points. Et c'est bien ça la priorité du Racing désormais...
La suite, c'est un jeu haché et rugueux au milieu de terrain et un but lorrain marqué sur la première offensive messine, à la 18ème minute. Suite à une faute de Kanté à 25 mètres du but gardé par Dutruel (préféré à Fernandez ce soir), Dié, l'ancien Niçois, dépose le ballon sur la tête de Meniri qui ouvre le score contre le cours du jeu.
Le score en restera là, inutile de jouer sur un semblant de suspense qui pourrait vous maintenir en alerte. L'entame de match est catastrophique pour le Racing qui doit courir après le score, comme d'habitude. De leur côté, les Messins décident de faire bloc derrière à tel point qu'ils finiront le match avec trois tirs (dont un seul cadré) à leur compteur.
Strasbourg a dominé ce match se créant quelques occasions franches par Mouloungui, Alexander Farnerud ou encore Martins sur coup franc. Alors comment expliquer qu'il reparte de Saint Symphorien avec sa 27ème défaite en 42 confrontations ? D'autant plus inexplicable que le FC Metz semblait prenable et restait sur quatre défaites d'affilée à domicile, son compteur de victoires en Lorraine étant bloqué à 2 avant la venue des Bleus.
Nul doute que l'ouverture rapide du score et le vent tourbillonnant ont causé du tracas aux Strasbourgeois. De petites excuses en petites excuses, peut-être parviendrons nous à trouver une grande excuse à ce Racing si talentueux en début de saison et si navrant depuis le début du cycle retour. Le RCS a la poisse depuis quelques matchs. Que ce soit avec les erreurs d'arbitrage ou les blessures en cascade, Strasbourg joue en permanence avec son nouveau meilleur ennemi : la malchance.
Il paraît que la chance se provoque en football. C'est sans doute vrai mais alors faîtes que quelqu'un donne la recette à Antoine Kombouaré pour que les arbitres soient un peu plus « sympas » comme sur le duel Le Pen - Meniri, pour que les ballons cessent de frôler les poteaux comme sur l'action de Mouloungui à 10 minutes de la fin ou pour que les gardiens adverses cessent de faire le show comme sur ce joli coup franc de Martins dans les arrêts de jeu.
L'espoir d'un match nul a subsisté jusqu'à la fin chez les supporters strasbourgeois repartis logiquement déçus de Lorraine. Déçus par la défaite mais aussi déçus par ce derby qui n'a offert aucun spectacle sur le terrain, les Messins se contentant de défendre et d'attaquer maladroitement et le Racing tentant tant bien que mal de dépasser le milieu de terrain et de s'approcher des buts de Butelle.
Malgré la pauvreté du match, certains Racingmen ont toutefois réussi à sortir du lot, dans un sens comme dans l'autre. Qu'il fut bon de revoir Corentin Martins sur un terrain même si son rendement n'a pas été exceptionnel ! A ses côtés, Alex Farnerud, entré en jeu à la place d'Ulrich Le Pen, a sans doute réalisé son meilleur match sous le maillot bleu faisant preuve d'une aisance technique et d'une vision du jeu largement au dessus de la moyenne. Même s'il a pêché par fatigue en fin de match, il a tenté tant bien que mal d'éclipser les habituelles errances de l'invisible Chapuis, de la première à la dernière minute. Mamadou Niang quant à lui, n'était visiblement pas au top physiquement et même s'il a pesé comme à son habitude sur la défense adverse, il n'est pas parvenu à créer un réel danger. Mouloungui, de retour dans le groupe pro, l'a remplacé à l'heure de jeu et a véritablement dynamisé l'attaque strasbourgeoise. On a même pu apprécié un début de complicité avec le cadet des Farnerud qui laisse augurer un avenir prometteur au Racing à ces deux jeunes pousses de 19 ans. En défense, Dorsin, trop peureux et craintif, s'est cantonné à un rôle purement défensif. Son apport offensif inexistant affaiblit indéniablement le Racing. Pour l'instant. Cédric Kanté qui faisait également son retour a réalisé un match sérieux et n'a pas montrer de faiblesses physiques après sa longue indisponibilité.
Le Racing a perdu. Un de ses concurrents directs l'a battu. Les équipes du bas du classement reviennent et la fin de saison s'annonce ultra pénible, Strasbourg ne comptant plus que 5 points d'avance sur le premier relégable. Il devient plus qu'urgent de réagir, avec ou sans la manière. Metz a d'ailleurs montré qu'avec un patchwork de joueurs moyens et un fonds de jeu inexistant, il était tout à fait possible d'engranger des points. Et c'est bien ça la priorité du Racing désormais...
